Le nouveau président du Musée national de l'Histoire de l'immigration explique au micro de l'Humanité.fr en quoi la connaissance de l'histoire de l'immigration en tant que partie intégrante de l'Histoire commune est un facteur indiscutable et nécessaire de cohésion nationale.
Il insiste également sur le travers qui consiste à réduire l'apport des immigrés à leurs particularismes religieux ou culturels en oubliant qu'ils ont été et restent aujourd'hui les bâtisseurs du pays où ils vivent et travaillent et que nombre d'entre eux sont aux avant-postes de la résistance, de la militance, et des luttes sociales et politiques qui font progresser la liberté et les droits de tous.