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CHANTS REVOLUTIONNAIRES

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6 avril 2017 4 06 /04 /avril /2017 16:11

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6 avril 2017 4 06 /04 /avril /2017 08:50

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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 17:03

Quand Jean-Luc Mélenchon a tancé Marine Le Pen sur la laïcité

Jean-Luc Mélenchon n'y est pas allé par quatre chemins. Alors que les candidats à l'Elysée étaient invités à exposer leurs projets sur la laïcité, le candidat de la France insoumise a coupé la parole à Marine Le Pen, pour fustiger ses prises de position sur le sujet. "60% des Français n'ont pas de religion. Fichez-nous la paix avec la religion ! Nous ne sommes pas obligés de subir vos foucades, vos trouvailles, vos manières de nous imposer à tous votre manière de vivre qui n'est pas la nôtre !"

 

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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 16:46

Quand Jean-Luc Mélenchon a tancé Marine Le Pen sur la laïcité

Jean-Luc Mélenchon n'y est pas allé par quatre chemins. Alors que les candidats à l'Elysée étaient invités à exposer leurs projets sur la laïcité, le candidat de la France insoumise a coupé la parole à Marine Le Pen, pour fustiger ses prises de position sur le sujet. "60% des Français n'ont pas de religion. Fichez-nous la paix avec la religion ! Nous ne sommes pas obligés de subir vos foucades, vos trouvailles, vos manières de nous imposer à tous votre manière de vivre qui n'est pas la nôtre !"

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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 16:40
REMUE-MENINGES:L'ENGRENAGE IDENTITAIRE

Selon le rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits de l'homme sur « La lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie », les « menaces » et « actions » à caractère antisémite, antimusulman et autre ont connu une baisse significative de 44,69 % durant l’année 2016.

Par Dominique Vidal (La valise diplomatique, 5 avril 2017)
monde-diplomatique.fr
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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 15:20
En 2017, 10 mesures d’urgence pour les étudiants
  • 3 avr. 2017
  •  UNION DES ETUDIANTS COMMUNISTES
Déçues par le niveau du débat présidentiel, plusieurs organisations syndicales étudiantes unissent leurs voix. «C’est pourquoi nous mettons en débat sans plus attendre 10 mesures d’urgence pour les 2,5 millions d’étudiant.e.s de France. Nous appelons l’ensemble des candidat.e.s républicain.e.s à répondre à ces urgences. Mais surtout, nous appelons les étudiant.e.s à s’emparer de ces propositions».
 

Alors que l’année 2017 s’annonce inquiétante pour le monde du travail et les étudiant.e.s de notre pays, nous voulons prendre la parole. Divers.es par nos opinions comme par nos engagements, qu’ils soient politiques, associatifs, syndicaux, sportifs ou culturels, nous sommes avant tout d’accord sur ce qui nous rassemble. Agissant au quotidien pour l’égalité et la réussite sur nos campus, nous aspirons à voir ces valeurs relayées lors des échéances électorales.

Et pourtant, le débat présidentiel auquel nous assistons n’est pas à la hauteur. C’est pourquoi nous mettons en débat sans plus attendre 10 mesures d’urgence pour les 2,5 millions d’étudiant.e.s de France. Nous appelons l’ensemble des candidat.e.s républicain.e.s à répondre à ces urgences. Mais surtout, nous appelons les étudiant.e.s à s’emparer de ces propositions, à manifester leurs exigences et à les porter sans relâche, jusqu’à la fin des élections présidentielle et législatives et au-delà. Nous savons que ces combats sont justes, nous voulons maintenant qu’ils soient majoritaires.

1. Investir 5 milliards d’euros en plus dans nos établissements pour en finir avec la pénurie budgétaire, assurer l’avenir du pays et permettre la réussite des jeunes toujours plus nombreux.se.s dans le supérieur.

2. Garantir le droit pour tout.e bachelier.e d’accéder à la filière de son choix, en combattant les mesures de sélection et de tirage au sort et en refinançant les services d’orientation.

3. Construire 100 000 logements CROUS en 5 ans pour répondre aux besoins des étudiant.e.s qui en sont aujourd’hui exclu.e.s et permettre la réduction des loyers dans le privé.

4. Créer un revenu versé à tou.te.s les étudiant.e.s pour revaloriser nos études, combattre la précarité et garantir une vraie protection sociale pendant la formation.

5. Reconnaître l’ensemble de nos diplômes dans le monde du travail en les inscrivant dans les conventions collectives, afin d’assurer de vrais droits salariaux à l’entrée dans l’emploi.

6. Renforcer les droits des étudiant.e.s stagiaires, en instaurant l’obligation pour les établissements de trouver un stage à l’étudiant.e lorsqu’il est obligatoire pour valider le cursus, et en augmentant les contrôles pédagogiques et juridiques pour éviter les abus.

7. Rembourser vraiment nos soins médicaux, en instaurant le remboursement à 100% par la Sécurité sociale en tiers-payant.

8. Lutter contre le sexisme sur les campus en adoptant partout en France des chartes féministes permettant d’en finir avec les événements étudiants sexistes et LGBT-phobes, et en créant dans les établissements des cellules de veille contre les violences sexistes.

9. En finir avec la traque des étudiant.e.s sans-papiers, en garantissant pour toute carte étudiante, la délivrance d’un titre de séjour.

10. Démocratiser la vie universitaire et favoriser la gestion étudiante, en accordant aux étudiant.e.s et personnels la majorité des sièges des conseils d’administration des établissements et des résidences étudiantes.

Premiers signataires :

Antoine Guerreiro, secrétaire national de l’Union des Etudiants Communistes (UEC) ; Lilâ Le Bas, présidente de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF); Minh DucNguyen, président de l’Union des Etudiants Vietnamiens de France (UEVF); Axel Loscertales, Vice-président étudiant de l’Université Toulouse 2 Jean Jaurès; Abdoul Latif Yayé Harouna, étudiant à Lyon, président de l'UESNF (Union des étudiants et stagiaires Nigériens en France); Jonas Costagliola, Vice-président étudiant de l’Université Grenoble Alpes; Tarek Natsheh, président de l’Union Générale des Etudiants Palestiniens (GUPS); Corentin Maltret, étudiant à Amiens, coresponsable du BDE Sciences de l’éducation; Sultan Kurt, coresponsable de l’Union des Etudiants Kurdes de France (UEKF); Luca Pozzo, Vice-président étudiant de l’Institut d’Etudes Politiques de Toulouse; Mathieu Gregori, étudiant à Poitiers, responsable de Tsig-in, projet étudiant d'insertion des Rroms; Julien Fraincart, président de la Fédération des étudiants en Résidences Universitaires de Reims (FERURCA)...

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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 15:13
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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 15:06
Poutou sur Fillon, Le Pen et la corruption : "Il n'y a pas d'immunité ouvrière"
 

Philippe Poutou (NPA), interrogé lors du débat avec les 11 candidats à la présidentielle sur sa vision d'une "présidence exemplaire", a effectué un tir de barrage contre la "corruption" du candidat Fillon, englué dans les affaires, et s'en est pris dans un second temps à Marine Le Pen, qui a refusé de se présenter à la convocation de juges, lâchant : "Nous, les ouvriers, quand on est convoqué par la police, on n'a pas d'immunité ouvrière", allusion à l'immunité des parlementaires européens du

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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 14:49
 MARE NOSTRUM:Le 5 avril journée de l'enfance en Palestine
L’image contient peut-être : 2 personnes, plein air
Hedia Ounalli avec Ziad Medoukh et 9 autres personnes.
1 h ·

5 avril est la journée de l'enfance en Palestine! 300 enfants sont injustement enfermés dans les prisons israéliennes...

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4 avril 2017 2 04 /04 /avril /2017 14:20
Michel Stefani
Une enquête sociétale exige expertise et déontologie

3 Avril 2017

Intervention exposant les motifs de la motion déposée au nom du groupe des élus communistes et citoyens du Front de gauche à propos du questionnaire sur la diversité commandé par le président de l'Assemblée de Corse à l'ESPE.

Monsieur le président,

Les 72 questions de ce questionnaire devaient être scientifiquement et juridiquement inattaquables. Ce n’est pas le cas. La plupart des enseignants chercheurs et formateurs de l’Ecole supérieure du professorat et de l’enseignement (ESPE) ont tenu à exprimer leur désapprobation : « il est de notre devoir de dénoncer des manquements qui rejaillissent sur l'ensemble de notre communauté (…) Le projet n'a été validé par aucun des laboratoires de recherche de l’Université alors que la nature particulièrement sensible des questions posées et du public visé imposait une réflexion collective. Nous regrettons la précipitation et l’absence de garanties scientifiques avec lesquels cette enquête a été lancée. »

Une enquête « sociétale » exige effectivement expertise et déontologie. Les questionnaires de l’INSEE ne s’adressent jamais à des enfants de moins de treize ans non accompagnés des parents. Ils évitent de s’introduire dans l’intimité des familles. Si l’on se réfère à votre courrier adressé au président de l’Université après « un échange fructueux » avec la directrice de l’ESPE, il s’agissait de dresser un « état des lieux » de la diversité culturelle en Corse, « l’objectif assigné consistant à élaborer un modèle de gestion de cette diversité » !

La lettre est datée du 10 février pour un retour d’enquête au mois mai. Dans ces conditions, contrairement à ce qui a été affirmé, la CNIL ne pouvait être saisie. La seule consultation, pour une analyse du questionnaire, demandait un délai beaucoup plus important.

Cette commande passée à l’ESPE a pour fondement la résolution adoptée le 28 juillet 2016 par l’ensemble des groupes à l’exception du notre. Celle-ci envisageait d’ouvrir « un large débat, sous la forme d’états généraux impliquant l’ensemble des forces vives de l’île ainsi que les représentants des différents cultes religieux autour du thème : "La Corse et son peuple : quel modèle de société et d’appartenance citoyenne ?" » n’autorisait pas la validation de ce questionnaire.

Pourquoi confier à l’ESPE une telle enquête et inversement pourquoi ne pas avoir eu recours à l’expertise de l’INSEE et de l’INED, organismes habilités à lancer des enquêtes officielles qui respectent scrupuleusement les règles en vigueur ?

La méthode renforce les interrogations. On a pu précédemment lire dans votre livre « Avanza, la Corse que nous voulons » la position, reprise d’ailleurs par Madame Verdoni, consistant à affirmer que le modèle français d’intégration et de citoyenneté avait failli contrairement au modèle anglo-saxon ou québécois cités en exemples.

Ce raisonnement ne peut être déconnecté de l’affirmation selon laquelle le peuple corse, « de racine chrétienne », « seule communauté de droit sur la terre corse », serait le principal ciment d'unité, pour agréger d’autres personnes et communautés extérieures.

En retenant le principe des « accommodements raisonnables » avec la laïcité, nous y voyons poindre le risque d’une « gestion de la diversité » communautariste car ainsi sont mises en cause les valeurs républicaines de liberté, d'égalité, de fraternité et la laïcité qui fondent le vivre ensemble dans notre pays.

De même, la volonté de prévenir les affrontements nés de tensions dans la société sur fond de crise ne peut valablement justifier un questionnaire aussi intrusif dans l'Education nationale non conforme à l’exigence élémentaire de respect des libertés individuelles et de la loi de 1978.

Par conséquent en dénoncer le caractère en y voyant un objectif idéologique, n’a rien de polémique. En revanche, il est inquiétant que la hiérarchie de l'Education nationale ait pu, même momentanément, le valider, sans se soucier de son impact dans la sphère éducative ou doit prévaloir la double exigence de formation d'esprits libres et de protection des enfants.

Cela révèle une ambiguïté entre l’autorité académique et l’institution régionale, s’agissant de l’exercice des missions et des compétences dévolues à chacun sur la base des principes républicains qui organisent la vie publique dans notre pays.

Telles sont les raisons qui ont motivé le dépôt de cette motion visant :

  • à ce que toute étude portant sur l’analyse de la diversité sociale en Corse soit réalisée dans un cadre scientifique inattaquable indépendant et respectueux de la législation protégeant les libertés individuelles ;
  • à ce que le devoir de réserve et de neutralité soient respectés pour garantir un exercice serein de l’enseignement conforme aux principes de laïcité ;
  • à réaffirmer le respect des valeurs républicaines et des principes de laïcité qui constituent le fondement du vivre ensemble dans notre pays la France.
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