Ouf l'Ukraine est sauvée, BHL est venu soutenir ses copains néonazis !
Lundi 10 Février 2014Oui les valeurs de Svoboda, des néonazis, du fascisme, de la violence, de la haine et de l'Union Européenne s'incarnent bien à Kiev.
La décision du Conseil constitutionnel du 29 décembre 2013 suscite des interrogations sur son contenu et une dramatisation qui n’a pas lieu d’être comme le rapport du Groupe de travail (1) le confirme.
En effet, la décision du Conseil constitutionnel du 29 décembre 2013 renvoie au dispositif transitoire issu de l’article 51 de la loi n°2002-92 du 22 janvier 2002 relative à la Corse, modifié par l’article 33 de la loi n°2008-1443 du 30 décembre 2008 de finances rectificative pour 2008, qui continue à s’appliquer.
Sont également annulées pour vice de forme les dispositions proposées par le gouvernement et destinées à aménager, sur l’ensemble du territoire national, les modalités d’imposition en cas de défaut de titre de propriété immobilière. Il s’agissait d’inciter au titrage des biens par une exonération de 30 % sur les droits à acquitter dans le cas où la constitution du titre précéderait une donation.
Dans ces conditions entrent en vigueur d’une part, l’exonération partielle de droits de succession de 50 % de la valeur vénale des biens situés en Corse pour les successions ouvertes entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2017. D’autre part le délai légal de dépôt des déclarations est ramené à six mois.
Le rapport du Groupe de travail relève ainsi que « le premier symptôme des successions non réglées » est relatif au nombre de biens non délimités (BND). Les données de la Direction générale des finances publiques et du Groupement d’intérêt public pour la reconstitution des titres de propriété en Corse (GIRTEC) permettent de les situer sur le territoire.
Les BND sont plus fréquents en zone montagneuse et d’une valeur foncière faible. En plaine, ils peuvent également exister mais souvent en parcelles cultivées. L’examen des fichiers fonciers montre que 23.3 % des propriétaires nés avant 1900 sont décédés. De ce fait, 63,7 % des parcelles et 62,1 % de la surface sont détenus par des propriétaires dont la succession n’a pas été réglée.
Dans de nombreuses communes, notamment rurales ou montagneuses, des parcelles de terre et des propriétés bâties, souvent en mauvais état, sont délaissées. Lorsque les propriétaires ont disparu ou sont inconnus, le bien est réputé vacant ou sans maître et sa propriété peut être transférée de plein droit à la puissance publique, la commune ou l’État si la commune a renoncé à exercer le droit de propriété qui lui est reconnu par la loi. L’attribution à la commune ou à l’État ne peut intervenir qu’après des tentatives pour identifier les propriétaires.
L’article 1400 du code général des impôts dispose que toute propriété, bâtie ou non bâtie, doit être imposée au nom du propriétaire actuel. Le propriétaire concerné par cet article est le propriétaire apparent. Peu importe qu’il dispose ou non d’un titre de propriété pour être inscrit au rôle de taxe foncière.
Le nombre total de personnes physiques enregistrées en tant que propriétaires dans les fichiers fonciers en Corse est de 397 000 personnes physiques, dont 174 800 en Corse-du-Sud et 222 200 en Haute-Corse. En moyenne, la moitié des parcelles n’ont fait l’objet d’aucune publication pendant 47 ans (1956/2003), ce qui laisse supposer une absence de régularisation des successions. Ce pourcentage peut monter jusqu’à 60 % pour certaines communes.
Pour mesurer le pourcentage de déclarations de succession comportant des immeubles situés dans l’île, un échantillon de déclarations de successions déposées en 2012 a été étudié.Il ressort de cette étude que 81 % d’entre elles comportent un immeuble situé en Corse.Au regard de la taxe d’habitation au titre de 2012 le nombre de résidences secondaires s’élève à 35 % en Corse-du-Sud et à 34 % en Haute-Corse, alors qu’il s’établit à 11 % au niveau national.
Selon l’INSEE 132 000 ménages 55 % sont propriétaires de leur résidence principale inversement 45 % ne le sont pas et 39.4 % en sont locataires. En même temps la Corse est faiblement peuplée et la population y est très concentrée. La densité de population y est de 36 habitants/ km2, contre une moyenne nationale de 115 habitants/ km2 mais 43 % des habitants vivent sur 2 % du territoire.
Ce phénomène de concentration, plus marqué que sur le continent, résulte de l’attraction urbaine des communes centres : Ajaccio et Bastia où 36 % de la population insulaire vit, contre 28 % au niveau national. Ces communes à forte attractivité, comme celles qui les jouxtent et plus largement celles qui ont une façade littorale, hors sites préservés, ne présentent aucune difficulté liée au désordre juridique ou à l’absence de délimitation, constatés par ailleurs.
Les ratios établissent que 78 % des déclarations faites en 2012 sont d’un montant, en valeur, inférieur à 250 000 € et que 76 % concernent un nombre d’héritiers de une à trois personnes.
Ces chiffres montrent que la décision du Conseil constitutionnel devrait avoir un impact pour 9 % des transmissions de biens immobiliers dont la valeur serait comprise entre 500 000 € et 1 000 000 € et qui seraient soumises à contribution. Pour 91 % des transmissions dont la valeur est comprise entre 0 et 500 000 €, selon les mêmes critères, les droits seront acquittés jusqu’en 2018 avec l’abattement supplémentaire de 50 % s’ajoutant à l’abattement de 100 000 € par héritier l’un et l’autre procurant une exonération totale dans 9 cas sur 10.
Les éléments de diagnostic développés attestent des particularités de la situation foncière à prendre en compte et montrent que la question de la reconstitution des titres de propriété demeure une préoccupation au regard des difficultés pratiques rencontrées.
La voie la plus sérieuse au regard de ces éléments ne peut être la réforme constitutionnelle mais bien la reprise de l’amendement du gouvernement dans une loi ordinaire respectant « le principe d’égalité devant la loi et les charges publiques ». L’objectif étant non pas de maintenir un privilège fiscal pour une infime minorité mais de sortir du désordre juridique qui entrave l’établissement de titres de propriété et d’aboutir à une situation conforme à l’expression d’une justice fiscale.
C’est l’esprit avec lequel nous avons amendé la délibération de l’Assemblée de Corse demandant un transfert de compétence concernant la fiscalité du patrimoine pour dégager les moyens financiers nécessaires à la mise en œuvre d’une politique de maîtrise du foncier et de construction de logements sociaux dans le but de réduire la pression spéculative et les dérives affairistes mafieuses qui la caractérisent.
Or l’exonération totale de droits sur les successions a comme conséquence d’inciter à une surestimation des biens qui constitue une forme d’optimisation fiscale à la revente du bien sans plus-value avec un effet spéculatif indiscutable. Cela peut expliquer pour partie que les biens anciens soient plus couteux avec une moyenne de 260 000 € en Corse très supérieure à la moyenne nationale de 162 000 €. Seules les régions PACA (299 000 €) et l’Ile-de-France (302 300 €) enregistrent des prix plus élevés au second trimestre 2013.
Et contrairement à ce qui se dit, le volume des donations montre une anticipation sur le retour au droit commun au 1er janvier 2018 sinon en 2023 puisque plus de 2 000 actes de ce type ont été enregistrés en 2013. Ainsi si un couple donateur est âgé entre 50 et 60 ans au moment de l’acte, le bénéficiaire de la donation ne sera imposé que sur 50 % de la valeur du bien. De cette façon, le bien transmis en nue-propriété à 2 enfants d’une valeur de 800 000 leur sera acquis en pleine propriété au décès des parents sans qu’aucune contribution ne soit réclamée.
Par ailleurs, s’agissant des biens immobiliers transmis sur plusieurs générations par des décès successifs et restant en indivisions, les héritiers qui souhaitent régulariser la situation de ces biens n’ont pas à acquitter des droits de succession et des droits de partage correspondant à toutes les transmissions intervenues. Seules les transmissions postérieures au 1er janvier 2007 sont légalement taxables. Les héritiers n’ont donc pas à acquitter des droits de succession pour les transmissions antérieures intervenues au cours de la période où l’action de contrôle de l’administration est prescrite.
Le droit de reprise de l’administration, pour les droits de mutation par décès, peut s’exercer jusqu’à l’expiration de la troisième année suivant l’enregistrement d’un acte ou d’une déclaration. Sous réserve des dispositions particulières prévue, c’est en revanche la prescription sexennale de droit commun qui est applicable. Elle court à compter de la date du décès qui constitue le fait générateur des droits de succession et le point de départ du délai qu’a l’administration pour agir, quelle que soit la nature du manquement : absence de déclaration, omission de bien, inexacte indication du lien de parenté entre le défunt et les héritiers, etc.
On le voit nous sommes loin d’un régime fiscal confiscatoire dans tous les cas de figures. Cela vient contredire les arguments trompeurs dont la base n’est plus la fiscalité du patrimoine et le désordre juridique constaté sur ce plan, mais la réforme constitutionnelle. De même on ne peut accepter que toute recherche du gouvernement hors cette réforme, et allant dans le sens d’ailleurs des sollicitations des parlementaires corses, soit qualifiée d’obstacle au dialogue initiée avec lui à la demande l’Assemblée de Corse.
Présentée de cette façon la réforme constitutionnelle est un préalable qui ne repose sur aucune démonstration sinon la demande de transfert de la compétence fiscale avec les dangers qu’elle comporte d’autant que les détournements de réfactions de TVA ou de la taxe de transport ne plaident pas pour un tel transfert dont on sait par avance qu’il sera inspiré par le patronat. Par conséquent le dialogue avec le gouvernement ne peut être fondé sur ce préalable mais sur l’examen de ce qui fonctionne ou pas, l’évaluation précise des choses, la définition de ce qu’il est possible et nécessaire de faire pour répondre en priorité aux fortes attentes sociales exprimées en Corse.
Michel STEFANI
Groupe de travail
le Préfet de Corse, le Directeur régional des finances publiques, le Directeur des affaires civiles et du Sceau, André Valat, Conseiller-Maître honoraire à la Cour des comptes, José COLOMBANI, inspecteur général des services à la Collectivité territoriale de Corse, Paul GRIMALDI, président du GIRTEC, Louis ORSINI, maître de conférences en droit de l’Université de Corse, Alain SPADONI, président du conseil régional des notaires corses.
Alors que fascistes et réactionnaires de toutes obédience s'agitent et que la recherche universitaire et les contenus des cours sont chaque jour de plus en plus soumis aux exigences des entreprises, il n'est pas inutile de rappeler l'initiative d'une
"Cet événement national, déclare l'UEC, est organisé pour la quatrième fois sur toutes les universités où nous sommes présents. Face à l'idéologie dominante qui se veut triomphante, qui prétend avoir « gagné la lutte des classes », à la loi Fioraso, aux connivences entre le ministère et le patronat, l'UEC propose tout au long de cette semaine des conférences de niveau universitaire, des projections de films, des expositions et des débats"
Cette année la Semaine de la Pensée Marxiste portera sur le centenaire de la première guerre mondiale. L'année 2014 sera riche en commémorations, et les étudiants communistes apporteront tout au long de la semaine un éclairage sur cette période.
Elle est organisée en partenariat avec la revue scientifique "Progressistes", la revue d'Histoire "Les Cahiers d'Histoire", la revue économique "Économie et politique", la revue politique "La revue du projet", La société des lectrices et des lecteurs du journal l'Humanité ainsi qu'Espaces Marx.
Cent ans après les tranchées, les communistes luttent toujours pour la paix, pour un monde plus juste.
source:J.P. Luciani
Appel au sursaut républicain —
Il est temps, grand temps de s’inquiéter.
Républicains, progressistes, humanistes, le moment est venu de réagir et de nous mobiliser. Des forces aux habits noirs prospèrent dans les fentes de la crise et défilent, depuis trois semaines consécutives, dans les rues de nos villes. Sans grandes réactions. Ces forces occupent les nouveaux moyens de communication que sont les réseaux sociaux et y déversent les venins du mensonge, des rumeurs et des contrevérités. Elles appellent au grand bond en arrière, contre les valeurs de la République et toute idée de progrès. De ce mouvement baptisé « jour de colère » raciste, antisémite et xénophobe à l’opposition au droit à l’avortement, du passage au rejet « du mariage pour tous » au « jour de retrait de l’école », qui n’est rien d’autre qu’une attaque contre l’école publique et ses enseignants, au combat contre la supposée « familiphobie » du gouvernement, après les immondes séquences de Dieudonné, ce que le pays compte de plus réactionnaire occupe le haut du pavé, dans la rue et dans les médias. Oui, il est temps, il est grand temps de se lever. Ces mouvements rassemblent une myriade de groupes intégrés aux mouvances de l’extrême-droite, pénétrant les franges de la droite qui vont de l’UNI à l’Action française, du GUD à Jeunesse nationaliste. De plus en plus portés par des journaux comme « Valeurs Actuelles » et le « Figaro », ils ont table ouverte à la radio et à la télévision et se retrouvent dans le nouveau réceptacle lepéniste, baptisé « rassemblement bleu-marine ». Le ventre de la violente crise sociale, avec son cortège sans fin de chômage, de précarité au travail, de mal être et de mal vivre, les enfante en ce moment, ici et dans toute l’Europe. Elle nourrit la désespérance et avec elle les vieilles rengaines du rejet de l’autre, de la haine et les poisons de la réaction. Paris n’avait pas bruit de slogans antisémites aussi violents tels : « dehors les juifs », depuis l’occupation nazie. Le terreau pourrissant de la crise de la politique, accentuée encore ces derniers temps par l’élection d’un Président irrespectueux de ses propres engagements, tournant le dos à la gauche et aux idéaux de sa propre famille de pensée, fait perdre toute confiance et brouille bien des repères. C’est encore le cortège d’affaires d’argent et les mensonges, particulièrement ceux répétés par l’UMP et certains socialistes depuis des années selon lesquels l’Europe ultralibérale allait nous protéger. En vérité, elle nous a livré pieds et poings liés aux rapaces de la finance. Si on ajoute l’abîme béant des inégalités qui fait que la minorité des possédants s’enrichit au fur et à mesure que les effets désastreux de la crise s’amplifient pour le plus grand nombre, on comprend mieux que le trouble puisse être grand chez nos concitoyens. Mais il n’y a aucune issue pour eux du côté de ces extrémismes de droite. Si des responsables issus de la gauche occupent le pouvoir en remplacement de ceux de la droite pour faire à peu près la même politique au service des puissances d’argent, c’est qu’ils se sont mis sous le commandement des institutions européennes. Faute d’avoir tenté de libérer le pays et nos concitoyens des griffes des marchés financiers, le pouvoir actuel – au nom d’une prétendue gauche – comme le précédent, porte la lourde responsabilité d’avoir libéré des paroles et des forces aux visages portant le triste reflet de la bête immonde, auxquels se joignent depuis des mois dans nos rues, des élus et des responsables du clan Le Pen et de l’UMP. Cette galaxie de droite extrême et d’extrême droite, défile ensemble, entraînant derrière elle une multitude de personnes aux idées courtes, réunies dans « un simplisme populiste identitaire », colportant rumeurs et mensonges, vitupérant des slogans racistes, homophobes, antisémites, islamophobes, antiparlementaires ou contre les journalistes. Il faut avoir le courage de dire que l’appauvrissement du débat politique télévisuel nourrit ces simplismes et manipulations. Il faut avoir le courage aussi de pointer l’affaissement du pluralisme dans les médias, Une censure s’exerce particulièrement contre les journalistes de l’Humanité ou ceux de La Croix et Politis, alors que d’autres y débitent du soir au matin les mêmes thèses avec des accents différents. Cette discrimination ouvre la porte au pire ! Des sifflets contre le chef de l’Etat le 11 novembre dernier on est passé à d’ignobles insultes contre Mme Taubira, puis à cette diatribe d’un député UMP déclarant que l’élection de M. Hollande et celle de sa majorité étaient « illégitimes ». Il s’agit ici d’un cocktail très dangereux, ouvrant la voie à un coup de force, si les progressistes et les démocrates ne réagissent pas plus ! Pire, en reculant sur la loi « famille » le gouvernement vient de leur faire le cadeau qu’ils n’espéraient même pas. C’est hallucinant ! Un déclic progressiste doit se produire chez toutes celles et ceux qui ont le cœur à gauche. Non pas pour verser dans une sorte d’union nationale pour applaudir les chantres de la mondialisation capitaliste, qu’appelait hier M. Fillon et que M. Ayrault a repris aujourd’hui. C’est précisément faute de porter les débats sur les valeurs de la République et de montrer que la perte de repères doit beaucoup à la satisfaction permanente des demandes du grand patronat, au suivisme européiste ultralibéral, qui engloutit tant de nos concitoyens dans le trou noir de la misère et du chômage. On ne traitera pas convenablement, les enjeux sociétaux sans traiter en profondeur les urgences sociales. L’organisation des divisions de la société, à des fins de conservation des pouvoirs et du système, permet à des forces aux desseins les plus sombres de se développer sur des désillusions et la désespérance, sous couvert de porter des « colères ». Filles aînées du désespoir, celles-ci boucheront tout avenir progressiste en mettant en péril les libertés et les valeurs de solidarité, de fraternité sur lesquelles s’est fondée notre République. Rien de tel pour assurer la pérennité d’un système qui produit tant d’inégalités, de malheurs, dans une version encore plus autoritaire et rétrograde. La plus grande vigilance s’impose ! A chaque ouvrier comme à chaque jeune, nous disons : N’oubliez pas l’histoire ! Regardez la Hongrie, ou « l’Aube dorée » en Grèce. Regardez ce qu’ils faisaient à Toulon ou à Orange. Ces forces tentent de se coaliser en vue du scrutin européen pour recomposer tout le paysage politique en le tirant toujours plus à droite et pour plus de malheur encore. Voilà qui confère d’immenses responsabilités à tous les progressistes pour, dans le débat et l’action, inverser le rapport de forces en faveur d’une rupture au service des priorités sociales, écologiques, culturelles et démocratiques. Voilà qui confère une énorme responsabilité au Front de gauche pour porter en avant, dans l’unité la plus large, un projet mobilisateur pour des issues progressistes, en France comme en Europe. Les forces existent pour se lever contre l’infâme et inventer un nouvel avenir. Cela nous commande d’être au rendez-vous des mobilisations syndicales envisagées, à celle de la journée du 21 mars contre le racisme, à celle de la confédération européenne des syndicats du 4 avril, à celui des mouvements européens pour défendre le droit à l’avortement, à la préparation d’un grand premier mai unitaire, social et combatif. Il est urgent qu’une majorité de nos concitoyens empêche qu’une droite extrémiste installe une longue et triste nuit. Nous ne ménagerons pas nos efforts pour contribuer à ce que se réalise ce rassemblement de salubrité publique pour que vivent réellement la liberté, l’égalité, la fraternité.
Clio, la muse de l'Histoire
Conseil départemental élargi à 14 heures 30.
· Remises des cartes d'adhésion 2014 à 18 heures autour du verre de l'amitié.
Samedi 8 février 2014 à 14 heures 30 (apéritif 18 heures)
Espace d'éducation populaire Albert Stefanini : 11 rue césar Campinchi Bastia