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CHANTS REVOLUTIONNAIRES

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 15:03

 

                                                                      CERVEAU

 

 

iraq-war-childL'invasion américaine de l'Irak a fait au moins 500 000 morts depuis 2003



Traduction MA pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/



D'après un article original publié sur CubaDebate



L'invasion de l'Irak par les États-Unis, lancée officiellement en mars 2003, et achevée en décembre 2011, a coûté la vie à près d'un demi-million de personnes, selon un groupe de chercheurs.



Le nombre de victimes de cette guerre varie selon les sources. Ainsi, en 2008, l'organisation Opinion Research Business a calculé un chiffre compris entre 733 000 et 1,5 million de pertes civiles.



De son côté, le projet Iraq Body Count parle de 162 000 morts, dont 79 % de civils. Cependant, la majorité des sources fiables s'abstient de calculer le nombre total de victimes et ne traite que de la seule période comprise entre 2003 et 2006.



La dernière et, peut-être, la plus rigoureuse de ces rares études qui prennent en compte les huit années de conflit vient d'être publiée dans la revue « PloS Medicine ».



Son auteur, Amy Hagopian, de l'Université de Washington (Etats-unis), qui a travaillé en collaboration avec des spécialistes irakiens et canadiens, donne un chiffre total de 460 800 morts.



55 800 d'autre eux sont morts à cause d'un exode massif provoquée par la guerre qui les transformèrent en déplacés et réfugiés, soumis à des conditions inhumaines de vie.



Des 405 000 restants, 60 % sont morts à cause des violences (tant durant les combats que dans les attentats terroristes), et 40 % à cause de l'effondrement du système de santé et des infrastructures qui fournissaient l'eau potable, l'alimentation, les transports, la gestion des déchets et l'énergie.



Le taux le plus élevé de mortalité date de la période 2005-2006, où une moyenne de 766 personnes mourraient chaque semaine.



Pour parvenir à ces chiffres, Hagopian et ses collèges ont réalisé deux types de sondages sur 10 500 personnes (2 000 familles) menés dans les 18 provinces du pays.



Ils demandaient au chef de famille le nombre de morts dans son foyer, et ensuite à tous les adultes du noyau familial de raconter s'ils connaissaient des morts parmi leurs relations familiales, y compris les morts dont ils avaient entendu parlé par les familles qui avaient émigré. Ensuite, ils extrapolaient ces données à toute la population, sur la base des recensements.

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 14:55

                                                                 Soviet---Hammer-02.gif

 

Votacion11-580x748.jpgCuba et le reste du monde face aux États-Unis isolés : quasi-unanimité (188 contre 2) contre l’embargo à l’ONU

 

Article AC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

 

Jamais les États-Unis n’avaient été aussi isolés dans leur politique criminelle imposée à Cuba. Ce 29 octobre, la 22 ème résolution cubaine appelant à la condamnation du blocus a été soutenue par 188 Etats, 2 la refusant, 3 s’abstenant de voter.

 

La tribune de l’Assemblée générale de l’ONU s’est transformée en plaidoyer pour le droit du peuple cubain à disposer de sa souveraineté, en conformité avec le droit international, et en mise en accusation de la politique suivie depuis 53 ans par les États-Unis.

 

En 1992, ils n’étaient que 59 Etats, au sortir de la guerre froide, à soutenir Cuba dans son rejet de ce blocus inique. Aujourd’hui, ils sont 188. Le record historique de 2012 égalé voire battu, si on prend en compte que seuls deux Etats s’opposent : les États-Unis et son allié israélien.

 

Les conséquences pour Cuba de l’embargo (« bloqueo ») sont terribles. Selon les chiffres du gouvernement cubain, la perte économique se chiffre à 1 157 milliards de $. Les hôpitaux du pays sont privés de l’accès à des médicaments ou matériel médical vitaux.

 

Cela n’empêche pas Cuba d’être à la pointe dans la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement de l’ONU, en tête des indicateurs de santé, d’éducation, de culture de tout le continent, rivalisant avec les pays les plus riches de la planète.

 

Comme l’a rappelle Bruno Parilla, ministre des Affaires étrangères, lors d’une intervention magistrale à la tribune, dès 1959, l’objectif était d’étrangler économiquement Cuba pour faire tomber un régime qui gênait les intérêts impérialistes américains.

 

Il a cité ce rapport édifiant et célèbre du sous-secrétaire d’Etat américain datant du 6 avril 1960 :

 

« La majorité des Cubains soutiennent Castro (…) Le seul moyen possible de leur faire perdre cette base de soutien, c’est créer  la désillusion, la déception en fomentant l’insatisfaction économique et la pénurie. Il faut rapidement mettre cela en pratique, par tous les moyens possibles, pour affaiblir la vie économique (…) priver Cuba d’argent et de fournitures afin de réduire les salaires, dans le but de créer la faim, le désespoir et la chute du gouvernement ».

 

Depuis, présidents démocrates et républicains se sont succédé, rien n’a changé.

 

Les espoirs suscités par l’élection de Barack Obama se sont envolés, le blocus s’est raffermi. Les États-Unis appliquent depuis 2008 des sanctions extra-territoriales, frappant durement les organismes nouant des relations commerciales et financières avec Cuba.

 

Comme l’a résumé Bruno Parrilla, la politique suivie depuis 53 ans par les gouvernements nord-américains « constituent une violation massive, flagrante et systématique des droits de l’Homme ».

 

Il serait fastidieux d’énumérer toutes les interventions, apportant un soutien sans failles à Cuba. Du Mexique à l’Inde, de la Chine au Vénézuela, du Vietnam à l’Egypte, en passant par l’Afrique du sud, la Syrie, l’Angola, le Brésil, l’Algérie, la liste est longue et significative.

 

Outre les Etats, il est à souligner que divers organismes – la Communauté des Etats d’Amérique latine et des Caraibes (CELAC), le Mouvement des non-alignés, le Groupe des Etats d’Afrique, l’Organisation de la coopération islamique, le MERCOSUR – sont intervenus à la tribune pour condamner vigoureusement le blocus.

 

L’Union européenne, si elle a finalement appuyé la motion cubaine, n’en a pas moins exprimé ouvertement ses critiques sur le système économique et politique cubain.

 

 

Cuba si, bloqueo no ! La lutte continue pour le respect du droit cubain à pouvoir se développer librement. Il peut compter sur le soutien de la quasi-totalité des Etats de la planète. 

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 12:50

 

 

 

Lettre ouverte au président de la République pour que Georges Ibrahim Abdallah soit libéré

 georges ibrahim abdallah

 

Paris, le 23 octobre 2013,

Il a passé plus de temps en prison que Nelson Mandela. Il est le plus vieux prisonnier politique du continent européen et sans doute un des plus vieux du monde. Le 24 octobre 2013, il entamera sa trentième année de détention. Georges Ibrahim Abdallah a été condamné le 24 octobre 1987 à la prison à vie.

Il peut bénéficier d’une libération conditionnelle depuis 1999. Et, pourtant, alors même que le Liban s’est dit prêt à l’accueillir, il s’est vu refuser huit fois cette demande.

 Ce refus est d’autant plus scandaleux que, en 1985, dans le cadre de négociations menées pour la libération d’un otage français, les plus hautes autorités de la France avaient accepté qu’il soit libéré. Elles n’ont pas tenu parole. Ce qui indignait l’ancien directeur de la direction de la surveillance du territoire (DST), le préfet Yves Bonnet : « Cette injustice a assez duré ; elle a même dépassé les limites du raisonnable. Qu’on le mette dans un avion et qu’on le renvoie chez lui, au Liban, où les autorités sont disposées à l’accueillir. » (Déclaration à France 24, 28 décembre 2011).

 C’est pour cela, Monsieur le Président, que nous, élus de la République, nous vous demandons de mettre un terme à cette injustice et de prendre les mesures, quelles que soient les pressions étrangères, pour qu’il puisse être libéré et rejoindre le Liban.

Signataires

  • Noël Mamère, député-maire de Bègles
  • Serge Janquin, député-maire de Labuissière
  • Danielle Bidard-Reydet, sénatrice honoraire
  • Sergio Coronado, député des Français établis hors de France
  • Patrick Braouezec, membre honoraire du parlement
  • Nathalie Goulet, sénatrice
  • Bally Bagayoko, vice-président du Conseil général de Seine-Saint-Denis
  • François Asensi, député-maire de Tremblay-en-France
  • Stéphane Gatignon, maire de Sevran
  •  Jean-Claude Lefort, député honoraire
  • André Chassaigne, député du Puy-de-Dôme
  • Nicole Borvo, sénatrice honoraire
  • Jacques Perreux, conseiller régional
  • Rose-Marie Saint-Germes-Akar, conseillère régionale
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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 17:39

 

 

 

  source:histoireetsociete                                                     

L’ange blond d’Auschwitz, comment oser encore parler d’ange blond à propos des tziganes et pourtant…

27 oct

La petite blonde était une albinos laissée par sa mère gitane bulgare qui ne pouvait plus la nourrir à une autre famille de gitans… Ces gens ont été accusés de tous les crimes, vol d’enfants, pensez donc ils fraudent les allocations familiales et ils n’ont pas la chance de faire partie de la tribu Mulliez qui peut en toute légalité pratiquer l’exode fiscal en continuant à nous vendre de la merde à Auchan…

31823[1]

L’ange blond qui risquait d’être une petite aryenne… jetée dans le monde gitan…

Comment encore oser employer ce patronyme avez vous donc oublié l’ange blond d’Auschwitz ?

Irma_Grese[1]

Grese fait partie des 44 personnes accusées de crimes de guerre au procès de Belsen. Elle est jugée entre le 17 septembre et le 17 novembre 1945 sans reconnaître ce qui lui est reproché. Les témoins l’accusent de mauvais traitements et d’assassinats de détenus, ce qui est contraire à la Convention de Genève de 1929. Elle aurait pratiqué des fusillades massives, des exécutions individuelles au pistolet, donné des coups de fouet, sélectionné des prisonniers pour les chambres à gaz, fait subir des humiliations sexuelles et enfin lâché des chiens affamés sur les détenus. Elle reconnaît cependant avoir porté un fouet tressé dans ses bottes ainsi qu’un pistolet. Elle avoue par ailleurs avoir pris du plaisir à tuer des prisonniers gratuitement et à les voir hurler de souffrance. Elle ne se dira jamais coupable : « C’était notre devoir d’exterminer les éléments anti-sociaux afin d’assurer l’avenir de l’Allemagne ».

 

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 17:29

 

 

 

Le rejet de l'impôt, "qui monte dans le pays depuis quelques semaines", est la conséquence "du bricolage du gouvernement qui ne donne plus de sens à l'impôt", a déploré aujourd'hui le chef de file des députés communistes et apparentés (Front de Gauche) à l'Assemblée, André Chassaigne

"Quand on ne donne pas de sens à l'impôt, ça déclenche ce type de mouvement. Quand on fait de l'improvisation et du bricolage fiscal, ça dévalorise l'impôt", a-t-il estimé lors d'une conférence de presse. L'impôt fait partie "de ces grandes valeurs républicaines qui sont en train de se détricoter", a-t-il constaté en regrettant que François Hollande n'ait pas fait la "grande réforme fiscale" promise pendant sa campagne.

Tout en prenant acte de sa suspension, André Chassaigne continue à soutenir l'écotaxe, votée par tous les partis a-t-il rappelé, pour financer "d'autres modes de transport, et notamment le fret ferroviaire".

"N'utilisons pas l'écotaxe pour évacuer des problèmes d'une autre nature, comme la question de la rémunération correcte des agriculteurs. Je suis extrêmement choqué que la grande distribution et les grands groupes agro-alimentaires s'insurgent contre l'écotaxe", a-t-il dénoncé.
Nicolas Maury
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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 17:26

 

                                                                         pclogo-copie-1.jpg

 

 

 

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 17:05

 

 

 

Leo Micheli : « La République honore la Corse parce que la Corse a honoré la République ». 


Le 70ème anniversaire de la Libération de la Corse s’est achevé à Bastia par la venue du Président de la République le 4 octobre. Leo Micheli dirigeant du Parti communiste durant l’occupation, s’est exprimé à cette occasion avant François Hollande. Un mois durant la Corse a vécu au rythme des commémorations dont la première a eu lieu le 9 septembre date de l’Insurrection populaire.

terrecorse4 a reblogué ce billet depuis terrecorse

 

 

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 10:55

                                                                cerveau animé

 

 

Liz, 16 ans, a été violée par 6 hommes si sauvagement qu’elle est aujourd’hui en fauteuil roulant. Mais au lieu d’arrêter ses agresseurs, la police les a condamnés... à tondre la pelouse du commissariat avant de les relâcher.

KENYA: Liz*, 16 ans, rentrait des funérailles de son grand-père quand six hommes l’ont piégée et violée l’un après l’autre avant de la jeter inconsciente dans des latrines, une fosse profonde de 6 mètres. Leur peine? Ils ont dû tondre la pelouse du commissariat avant de retrouver la liberté.

Le calvaire de Liz a causé un séisme qui a fait trembler tout le Kenya et les responsables politiques ainsi que la police doivent désormais répondre de leurs actes. Mais les groupes de défense des droits des femmes au Kenya estiment que rien ne changera si le gouvernement n’est pas mis sous pression de la part du monde entier. Ces femmes font appel à nous pour que justice soit faite et pour que le cauchemar de Liz marque un véritable tournant dans l’épidémie de viols qui touche le Kenya.

Dans cette affaire, personne n’est poursuivi – ni les violeurs, ni la police.

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 10:37

                                                                     faucille-tourne.gif

 

 

Republique-Tcheque-carte

PCTchèque

 

Elections législatives anticipées en République tchèque ce week-end, trois mois après la démission du gouvernement plongé dans une vaste affaire de corruption. Malgré les diversions de formations populistes, les communistes sortent en position de force.


Médias contrôlés par les magnats de la presse, partis du consensus dominant, artistes peu inspirés : ces dernières semaines ont été marquées par une intense propagande contre le « péril rouge », l’ascension attendue des communistes et leur retour potentiel au pouvoir.

 

Effritement des partis traditionnels et émergence de nouveaux partis populistes … financés par des milliardaires


Le premier enseignement prévisible, c’est que les partis de droite au pouvoir depuis 2010 ressortent laminés. Discrédités car mouillés dans le plus grand scandale de corruption de l’histoire du pays et artisans de la politique dite de rigueur.

 


Le parti historique de droite, celui de Vaclav Havel, l’ODS subit une déroute historique, passant de 20 % à 7 %, avec à peine 16 sièges. L’ex-nouveau parti libéral et affairiste, « TOP 09 », du prince Karl Schwarzenberg, passe lui de 17 à 12 %.

 


Second enseignement, l’autre pilier du système, le parti social-démocrate (CSSD) pourtant dans l’opposition, réalise un score très décevant : 20,5% des voix et 50 sièges, en baisse par rapport à 2010 alors que les sondages l’annonçaient entre 25 et 30%.

 


Troisième enseignant, comme ailleurs en Europe quand les partis traditionnels du système s’effritent ou s’effondrent sous l’effet des politiques d’austérité, des scandales, les nouveaux mouvements mêlant populisme anti-partis et programme ultra-libéral, percent.




L’ « Aube de la démocratie directe » du milliardaire nippono-tchèque Tomio Okamura, avec 6,7 % et surtout « ANO » (« Action des citoyens mécontents » mais aussi « Oui » en tchèque) d’Andrej Babis, qui obtient 18,7% des voix et 47 sièges.

 



Babis, qui a fait fortune dans l’agro-alimentaire est aujourd’hui à la tête d’un empire financier qui en fait le second homme le plus riche du pays.

 



A la tête de deux journaux nationaux (Mlada fronta dnes, Lidove Noviny), et surtout du gratuit Metro lu par un million de Tchèques, Babis a axé sa campagne sur le rejet de la « classe politique » traditionnelle, un populisme anti-élitiste couplé à un programme libéral.

 



Babis suit le modèle de plus en plus diffusé en Europe, celui d’abord de Berlusconi, suivi désormais par Franz Stronach en Autriche ou Bidzina Ivanishvili en Géorgie – l’image du self-made man milliardaire prêt à gérer son pays efficacement, comme une entreprise.


Le Parti communiste à 15 %, au plus haut depuis dix ans




Dernier et peut-être principal enseignement de cette élection, c’est le très bon résultat attendu du Parti communiste de Bohême-Moravie qui passe de 11,2 % en 2010 à 14,9 %, gagnant 100 000 voix et 6 sièges, avec 33 sièges au Parlement.

 



Il s’agit de meilleur score depuis 2002 à une élection nationale, et son deuxième meilleur score depuis la contre-révolution de 1989.

 


La répartition géographique des votes ne réserve guère de surprise. Sauf dans la région-capitale Prague, le Parti dépasse partout les 10% et fait le plein dans leurs bastions.

 


De très bons scores à l’est en Moravie et en Silésie (17% à Olomouc, 17,5% en Moravie du nord) ainsi qu’au nord-ouest dans les Sudètes (16,4% en Bohême du sud, 15,7% à Plzen, 16,8 % à Vysocina et évidemment 20,3 % à Usti nad Labem).

 


Après le succès aux élections régionales d’octobre 2012, qui avaient vu les communistes prendre la seconde place, talonner les sociaux-démocrates et gagner même la direction d’une région (Usti nad Labem), c’est une preuve de plus de la montée du KSCM.

 


Une preuve de la reconnaissance placée par le peuple tchèque dans le programme du parti axé sur la défense et la reconquête des services publics, la défense du système de retraites solidaire, une réforme fiscale progressive touchant les riches et les entreprises.

 



Un casse-tête pour la classe dominante tchèque : coalition introuvable, pays ingouvernable ?


Toutefois, pour la classe politique tchèque, la percée du Parti communiste couplé au résultat décevant des sociaux-démocrates, l’effondrement de la droite traditionnelle risquent de se transformer en casse-tête. Avant les élections, deux options étaient ouvertes.

 


La première, qui effrayait la droite réactionnaire, est de plus en plus improbable. Un gouvernement mené par les sociaux-démocrates, soutenu par les communistes. Avec 83 sièges sur 200, ce gouvernement serait de fait minoritaire.

 


Aucun des autres partis tchèques n’accepteraient de près ou de loin de s’allier au KSCM, sans oublier de lourds désaccords fondamentaux entre communistes et sociaux-démocrates notamment sur la politique internationale, une telle option est désormais exclue.

 


La seconde, c’est celle d’une « grande coalition », qui paraît plus crédible. Moins peut-être avec l’OSD rabougri qu’avec certaines nouvelles formations populistes, sans doute les chrétiens-démocrates, inévitablement l’ANO avec ses 47 sièges.

 


Dans l’esprit de son message populiste ambigu et opportuniste, l’ « ANO » a d’abord insisté sur son refus de participer à un gouvernement de gauche … avant de se déclarer ouvert au dialogue, l’occasion sans doute de grappiller des postes, ou d’obtenir des réformes libérales.

 


Enfin, la troisième, qui paraît inéluctable à court ou moyen-terme, ce sont de nouvelles élections. Car en réalité, l’Assemblée après le scrutin est encore plus balkanisée qu’avant.

 


Une seule certitude, le Parti communiste en sortira plus fort pour défendre les intérêts des travailleurs du pays, contre l’austérité d’où qu’elle vienne.




Article AC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 10:14

 

Education Nationale: La durée dutravail  et les dépenses déducation

 

 

Une nouvelle enquête du département des études du ministère de l'Education

nationale, crédite de 44h 07 dans le 1er degré et 41h 17 dans le second, la durée moyenne hebdomadaire du travail des enseignants.

 

Dans le secondaire, les enseignants travaillent 1h 23 de plus en 2010 qu'en 2008.

Alors que les pays de l'OCDE ont augmenté leurs dépenses d'éducation sur la décennie 2000-2010, la France fait partie du petit groupe de pays (avec l'Italie et la Hongrie) où les dépenses d'éducation ont baissé.

Tous les autres pays de l'OCDE ont une croissance positive, parfois très forte.

Les Etats-Unis sont passés de 6,2 % du PNB à 7,1 %, leRoyaume-Unide 4,9 à 6,5 %, le Danemark de 6,6 à 7,1 %.

 

                                                 source:BULLETIN des DDEN

 

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