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CHANTS REVOLUTIONNAIRES

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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 06:43

MARE-NOSTRUM-copie-1-copie-1.jpg
MARE-NOSTRUM-copie-1-copie-1.jpg SITE:liban résistance OUI…OUI…OUI… Un référendum sur une nouvelle Constitution est organisé le 26 février 2012. Il faudra répondre à une question posée par un oui ou par un non... c’est ça ? Exactement Quelle sera cette question ? Oui ou non, es-tu favorable à la nouvelle Constitution ? C’est-à-dire ? Es-tu favorable pour un Etat démocratique basé sur le pluralisme ? Oui Es-tu favorable pour que le pouvoir soit exercé démocratiquement à travers des élections ? Oui Es-tu favorable pour l’instauration du multipartisme ? Oui Es-tu favorable pour que le président de la République soit élu directement par le peuple pour seulement deux mandats successifs ? Oui Es-tu favorable pour que la démocratie soit mise en œuvre par les urnes ? Oui Es-tu favorable pour qu’aucun parti ne soit basé sur une religion ? Oui Alors, tu pourras voter en faveur de la nouvelle Constitution proposée à ce referendum. Euh... les Frères musulmans, les Salafistes me laisseront-ils dire oui ? Al Faraby Jeudi, 16 février 2012 Les premières réactions Liban Résistance : Quid des milliers de mercenaires étrangers qui sont venus à leur secours ??????? Laisseront-ils le peuple s’exprimer ????? La Russie a été la première à se féliciter de cette démarche. « Cette idée est la bienvenue et nous espérons que la Constitution sera adoptée. », a déclaré son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. « C’est vraiment une plaisanterie », a réagi le porte-parole du président américain Barack Obama. « C’est se moquer de la révolution syrienne. », a ajouté Jay Carney face aux journalistes à bord de l’avion présidentiel Air Force One qui transportait M. Obama vers Milwaukee (Wisconsin, Nord). EXTRAIT DE « FIN DE LA PARTIE AU PROCHE ORIENT » (Thierry Meyssan) Depuis onze mois, les puissances occidentales et du Golfe conduisent une entreprise de déstabilisation de la Syrie. Plusieurs milliers de mercenaires se sont infiltrés dans le pays. Recrutés par des officines de l’Arabie saoudite et du Qatar au sein des milieux extrémistes sunnites, ils sont venus renverser « l’usurpateur alaouite » Bachar el-Assad et imposer une dictature d’inspiration wahhabite. Ils disposent du matériel militaire le plus sophistiqué, incluant des systèmes de vision nocturne, des centraux de communication, et des robots de combat urbain. Soutenus en sous main par les puissances de l’OTAN, ils ont en outre accès aux renseignements militaires indispensables, notamment des images satellites des déplacements des troupes syriennes, et des interceptions téléphoniques. Cette opération est présentée mensongèrement au public occidental comme une révolution politique écrasée dans le sang par une dictature sans pitié. Bien sûr, ce mensonge n’est pas universellement accepté. La Russie, la Chine et les États américains membres de l’ALBA le récusent. Chacun dispose en effet d’expériences historiques qui leur permettent de comprendre rapidement ce qui est en jeu. Les Russes pensent à la Tchétchénie, les Chinois au Xinkiang, et les Américains à Cuba et au Nicaragua. Dans tous ces cas, au-delà des apparences idéologiques ou religieuses, les méthodes de déstabilisation de la CIA étaient les mêmes. […] Il aura suffi que les services secrets occidentaux mettent en scène un fantoche « Conseil national syrien », avec pour président un professeur de la Sorbonne et pour porte-parole la maîtresse de l’ancien patron de la DGSE, pour que des « terroristes » deviennent des « démocrates ». En un tour de main, le mensonge est devenu vérité médiatique. Les personnes enlevées, mutilées et assassinées par la Légion wahhabite sont devenues dans la presse des victimes du tyran. Les conscrits de toutes confessions qui défendent leur pays face à l’agression sectaire sont devenus des soldats alaouites opprimant leur peuple. La déstabilisation de la Syrie par des étrangers est devenue un épisode du « Printemps arabe ». L’émir de Qatar et le roi d’Arabie saoudite, deux monarques absolus qui n’ont jamais organisé d’élections nationales dans leurs pays et embastillent les contestataires, sont devenus des chantres de la révolution et de la démocratie. La France, le Royaume-Uni et les États-Unis, qui viennent de tuer 160 000 Libyens en violation du mandat qu’ils avaient reçu du Conseil de sécurité, sont devenus des philanthropes responsables de la protection des populations civiles…. L’article dans son intégralité sur cette page : http://www.voltairenet.org/Fin-de-partie-au-Proche-Orient

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 18:37
Gîtes ruraux: l'affaire corse Par Hélène Constanty (L'EXPRESS)

GIACOBBI
GIACOBBI
par BANDERA ROSSA

Paul Giacobbi, ancien président du Conseil général de Haute-Corse. AFP/ PASCAL POCHARD-CASABIANCA Une information judiciaire vient d'être ouverte à Bastia: des subventions départementales pour la promotion de logements touristiques auraient été détournées et utilisées à des fins privées. En première ligne: Paul Giacobbi, l'ex-président du conseil général de Haute-Corse. Créer des gîtes ruraux dans les villages de montagne et faire découvrir aux touristes la "Corse de l'intérieur": l'idée était séduisante. Le conseil général de Haute-Corse l'a soutenue avec enthousiasme. Et sans regarder à la dépense... Il s'est même doté,ces dernières années, d'un budget spécial destiné à aider les familles désireuses d'ouvrir de tels logements. Entre 2008 et 2010, 480 000 euros de subventions ont ainsi été votés. Le problème, c'est que 90% de cette aide n'auraient pas servi à créer des gîtes, mais à financer des travaux dans des résidences privées, appartenant le plus souvent à des proches d'élus du conseil. Cette affaire, révélée par L'Express, devrait faire grand bruit sur l'île. Elle repose sur une enquête menée en 2011 par la police judiciaire de Bastia (Haute-Corse) et transmise au parquet à la fin de la même année. Ces investigations, qui viennent d'entraîner l'ouverture d'une information judiciaire, jettent une lumière crue sur le conseil général du département, soupçonné de pratiques clientélistes. Sur les 32 dossiers de gîtes examinés par la police, seuls deux, soit 30 000 euros de subventions, semblent justifiés. Au final, seulement 390 000 euros ont été débloqués, les crédits ayant été gelés dès le début de l'enquête policière. Les bénéficiaires sont susceptibles, d'après les enquêteurs, d'être poursuivis pour détournement de fonds publics. Les fonctionnaires départementaux ayant instruit ces demandes pourraient, quant à eux, être poursuivis pour complicité de détournement de fonds publics. Quant aux élus suspectés d'avoir couvert ces agissements, ils se verraient reprocher une prise illégale d'intérêt. Paul Giacobbi, l'actuel président (Parti radical de gauche) de l'exécutif de la collectivité territoriale de Corse, n'a pas été entendu par les enquêteurs. Mais, au moment des faits, il présidait le conseil général de Haute-Corse. A ce titre, il était donc responsable de l'attribution des subventions. Alors qu'il est aujourd'hui candidat à sa réélection comme député, en juin prochain, cette affaire risque de peser sur sa campagne. Les policiers bastiais ont été alertés par Tracfin L'enquête a démarré en avril 2011, après l'assassinat de Dominique Domarchi, proche conseiller de Paul Giacobbi au conseil général (voir l'encadré). Les policiers bastiais ont alors été alertés par Tracfin, la cellule anti-blanchiment du ministère de l'Economie, qui a épluché les comptes bancaires des deux fils de la victime. Les enquêteurs ont ensuite déroulé la pelote et mis au jour ce qui pourrait être une technique de captation de fonds publics. La subvention, destinée à couvrir 30 % des travaux, est plafonnée à 15 000 euros par gîte. Une même personne peut solliciter au maximum trois aides. Ainsi le fils aîné des Domarchi, Jean-Marc, a bénéficié de 45 000 euros, en août 2010, pour la création d'un gîte de trois appartements dans sa maison de Sant'Andrea-di-Cotone. Un gîte qui n'avait toujours pas vu le jour au moment où l'enquête préliminaire a été bouclée, en novembre 2011. En réalité, le chèque aurait servi à construire un garage et une chambre d'amis. Signalons que l'épouse et le frère de Jean-Marc Domarchi sont employés au conseil général, mais en congé maladie depuis des mois. L'Express n'a pas réussi à joindre Jean-Marc Domarchi avant le bouclage de cet article, lundi 6 février. La famille Domarchi est loin d'être la seule a avoir reçu un soutien financier. Ce qui frappe, dans la liste des bénéficiaires, c'est qu'ils sont concentrés géographiquement autour de Venaco, le fief de Paul Giacobbi, au coeur de l'île: Prunelli di Fiumorbo, Castifao, Muracciole, Cervione... Autre point commun: ils gravitent dans un cercle de familiers du conseil général. On y trouve ainsi plusieurs retraités dont les enfants sont salariés du département, un ingénieur de la collectivité territoriale, un employé de la mairie de Venaco... Une aide a même été accordée à un ancien braqueur et une autre, à la compagne d'un homme fiché au grand banditisme. Rien ne correspond au cahier des charges des gîtes Ces bénéficiaires semblent tout ignorer des critères d'attribution: certains ont utilisé l'argent pour rénover leurs maisons, d'autres pour créer des studios destinés à la location touristique meublée, qui ne répondent pas au cahier des charges des gîtes, très exigeant en termes de qualité des prestations. Malgré tout, les dossiers ont été validés par des fonctionnaires et approuvés par des élus. Comme Jacques Costa, maire de Moltifao, élu en 2007 conseiller général du canton de Castifao Morosaglia sur la liste de Paul Giacobbi et président de la commission du monde rural. Lors de sa garde à vue, Jacques Costa a eu du mal à expliquer aux enquêteurs pourquoi cette commission avait donné si facilement son feu vert à des dossiers litigieux, dont celui de la compagne de son frère. Jacques Costa explique à L'Express que "les élus faisaient confiance aux fonctionnaires chargés du contrôle". Il dit ne pas connaître la compagne de son frère, qui a "une vie sentimentale mouvementée" et minimise la portée de l'affaire: "Des gens mieux renseignés que d'autres ont profité de l'aubaine, mais les sommes en jeu ne sont pas énormes." "Paul Emploi" Giacobbi connaît tous les rouages Paul Giacobbi était-il au courant de ces pratiques? Le député, sollicité à plusieurs reprises, n'a pas donné suite à nos demandes d'entretien. L'affaire, en tout cas, ne surprend pas outre mesure ceux qui connaissaient le fonctionnement du conseil général sous son contrôle. "J'ai passé l'âge de me faire des ennemis", répondait Paul Giacobbi, en novembre 2010, à L'Express, qui évoquait son "style". Une façon, pour lui, de dire comment il avait assis son pouvoir dans ce département que son père avait présidé pendant trente-trois ans. Surnommé "Paul Emploi", Giacobbi connaît mieux que personne les rouages des aides aux communes, des crédits routiers et des embauches, si importants dans les relations avec les maires et avec leurs électeurs, dans ces villages à l'économie exsangue. site:J.J GIL
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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 18:37
Gîtes ruraux: l'affaire corse Par Hélène Constanty Gîtes ruraux: l'affaire corse Paul Giacobbi, ancien président du Conseil général de Haute-Corse. AFP/ PASCAL POCHARD-CASABIANCA Une information judiciaire vient d'être ouverte à Bastia: des subventions départementales pour la promotion de logements touristiques auraient été détournées et utilisées à des fins privées. En première ligne: Paul Giacobbi, l'ex-président du conseil général de Haute-Corse. Créer des gîtes ruraux dans les villages de montagne et faire découvrir aux touristes la "Corse de l'intérieur": l'idée était séduisante. Le conseil général de Haute-Corse l'a soutenue avec enthousiasme. Et sans regarder à la dépense... Il s'est même doté, ces dernières années, d'un budget spécial destiné à aider les familles désireuses d'ouvrir de tels logements. Entre 2008 et 2010, 480 000 euros de subventions ont ainsi été votés. Le problème, c'est que 90% de cette aide n'auraient pas servi à créer des gîtes, mais à financer des travaux dans des résidences privées, appartenant le plus souvent à des proches d'élus du conseil. Cette affaire, révélée par L'Express, devrait faire grand bruit sur l'île. Elle repose sur une enquête menée en 2011 par la police judiciaire de Bastia (Haute-Corse) et transmise au parquet à la fin de la même année. Ces investigations, qui viennent d'entraîner l'ouverture d'une information judiciaire, jettent une lumière crue sur le conseil général du département, soupçonné de pratiques clientélistes. Sur les 32 dossiers de gîtes examinés par la police, seuls deux, soit 30 000 euros de subventions, semblent justifiés. Au final, seulement 390 000 euros ont été débloqués, les crédits ayant été gelés dès le début de l'enquête policière. Les bénéficiaires sont susceptibles, d'après les enquêteurs, d'être poursuivis pour détournement de fonds publics. Les fonctionnaires départementaux ayant instruit ces demandes pourraient, quant à eux, être poursuivis pour complicité de détournement de fonds publics. Quant aux élus suspectés d'avoir couvert ces agissements, ils se verraient reprocher une prise illégale d'intérêt. Paul Giacobbi, l'actuel président (Parti radical de gauche) de l'exécutif de la collectivité territoriale de Corse, n'a pas été entendu par les enquêteurs. Mais, au moment des faits, il présidait le conseil général de Haute-Corse. A ce titre, il était donc responsable de l'attribution des subventions. Alors qu'il est aujourd'hui candidat à sa réélection comme député, en juin prochain, cette affaire risque de peser sur sa campagne. Les policiers bastiais ont été alertés par Tracfin L'enquête a démarré en avril 2011, après l'assassinat de Dominique Domarchi, proche conseiller de Paul Giacobbi au conseil général (voir l'encadré). Les policiers bastiais ont alors été alertés par Tracfin, la cellule anti-blanchiment du ministère de l'Economie, qui a épluché les comptes bancaires des deux fils de la victime. Les enquêteurs ont ensuite déroulé la pelote et mis au jour ce qui pourrait être une technique de captation de fonds publics. La subvention, destinée à couvrir 30 % des travaux, est plafonnée à 15 000 euros par gîte. Une même personne peut solliciter au maximum trois aides. Ainsi le fils aîné des Domarchi, Jean-Marc, a bénéficié de 45 000 euros, en août 2010, pour la création d'un gîte de trois appartements dans sa maison de Sant'Andrea-di-Cotone. Un gîte qui n'avait toujours pas vu le jour au moment où l'enquête préliminaire a été bouclée, en novembre 2011. En réalité, le chèque aurait servi à construire un garage et une chambre d'amis. Signalons que l'épouse et le frère de Jean-Marc Domarchi sont employés au conseil général, mais en congé maladie depuis des mois. L'Express n'a pas réussi à joindre Jean-Marc Domarchi avant le bouclage de cet article, lundi 6 février. La famille Domarchi est loin d'être la seule a avoir reçu un soutien financier. Ce qui frappe, dans la liste des bénéficiaires, c'est qu'ils sont concentrés géographiquement autour de Venaco, le fief de Paul Giacobbi, au coeur de l'île: Prunelli di Fiumorbo, Castifao, Muracciole, Cervione... Autre point commun: ils gravitent dans un cercle de familiers du conseil général. On y trouve ainsi plusieurs retraités dont les enfants sont salariés du département, un ingénieur de la collectivité territoriale, un employé de la mairie de Venaco... Une aide a même été accordée à un ancien braqueur et une autre, à la compagne d'un homme fiché au grand banditisme. Rien ne correspond au cahier des charges des gîtes Ces bénéficiaires semblent tout ignorer des critères d'attribution: certains ont utilisé l'argent pour rénover leurs maisons, d'autres pour créer des studios destinés à la location touristique meublée, qui ne répondent pas au cahier des charges des gîtes, très exigeant en termes de qualité des prestations. Malgré tout, les dossiers ont été validés par des fonctionnaires et approuvés par des élus. Comme Jacques Costa, maire de Moltifao, élu en 2007 conseiller général du canton de Castifao Morosaglia sur la liste de Paul Giacobbi et président de la commission du monde rural. Lors de sa garde à vue, Jacques Costa a eu du mal à expliquer aux enquêteurs pourquoi cette commission avait donné si facilement son feu vert à des dossiers litigieux, dont celui de la compagne de son frère. Jacques Costa explique à L'Express que "les élus faisaient confiance aux fonctionnaires chargés du contrôle". Il dit ne pas connaître la compagne de son frère, qui a "une vie sentimentale mouvementée" et minimise la portée de l'affaire: "Des gens mieux renseignés que d'autres ont profité de l'aubaine, mais les sommes en jeu ne sont pas énormes." "Paul Emploi" Giacobbi connaît tous les rouages Paul Giacobbi était-il au courant de ces pratiques? Le député, sollicité à plusieurs reprises, n'a pas donné suite à nos demandes d'entretien. L'affaire, en tout cas, ne surprend pas outre mesure ceux qui connaissaient le fonctionnement du conseil général sous son contrôle. "J'ai passé l'âge de me faire des ennemis", répondait Paul Giacobbi, en novembre 2010, à L'Express, qui évoquait son "style". Une façon, pour lui, de dire comment il avait assis son pouvoir dans ce département que son père avait présidé pendant trente-trois ans. Surnommé "Paul Emploi", Giacobbi connaît mieux que personne les rouages des aides aux communes, des crédits routiers et des embauches, si importants dans les relations avec les maires et avec leurs électeurs, dans ces villages à l'économie exsangue. site:J.J GIL
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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 12:31
                                                         lvres en ligne 1027

LE ROI PREDATEUR
LE ROI PREDATEUR
par BANDERA ROSSA

LE ROI PREDATEUR
LE ROI PREDATEUR
par BANDERA ROSSA

Voilà un livre qui risque d'ébranler la monarchie marocaine, mais qui hélàs risque d'être très peu médiatisé en France, en raison des liens privilégiés qu'entretient le roi du Maroc Mohamed VI avec l'élite politico-médiatique de l'hexagone. Cet ouvrage qui paraitra en mars, a été écrit par deux journalistes réputés pour leur grand professionalisme: Catherine Graciet, auteur de Quand le Maroc sera islamiste (2006) et Eric Laurent, auteur de La Face cachée du 11 septembre. Présentation de l'éditeur Mohammed VI est désormais le premier banquier, le premier assureur, le premier entrepreneur de bâtiments de son pays. Il y joue un rôle dominant dans l’agro-alimentaire, l’immobilier, la grande distribution, l’énergie et les télécoms. La fortune personnelle du roi du Maroc a quintuplé en dix ans, et le magazine Forbes le classe désormais parmi les personnalités les plus riches du monde. Que s’est-il donc passé depuis l’avènement du fils d’Hassan II ? Par le biais des holdings que contrôle la famille royale, avec l’aide du secrétaire particulier de Sa Majesté et la complaisance de nombre de dignitaires et de valets du pouvoir, c’est à une véritable mise en coupe réglée de l’économie du royaume que l’on assiste depuis plus de dix ans. Et si l’absolutisme royal selon Hassan II visait à assurer la pérennité de la monarchie, la structure de gouvernement mise en place par son fils est tout entière tendue vers l’accaparement privé. Voici ce système, et les hommes qui en tirent les ficelles, pour la première fois mis au jour au terme d’une minutieuse enquête de terrain, d’un examen fouillé des dossiers sensibles, de nombreuses rencontres avec les principaux témoins de cette royale prédation, y compris parmi les proches du Palais. Voici comment le souverain d’un des régimes désormais les plus menacés par la vague démocratique dans les pays arabes a transformé ses sujets en clients, l’Etat en machine à subventionner les intérêts de la famille royale, et notre pays en complice d’un désastre politique et moral auquel contribue, à son corps défendant,le contribuable français.
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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 11:36

FRONTE-DI-MANCA
FRONTE-DI-MANCA
par BANDERA ROSSA L'austérité ou la vie, il faut choisir (Ep.6 : En 2012, on va leur faire un dessin)
L'austérité ou la vie, il faut choisir (Ep... by CN-PCF

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 07:23

FRONTE-DI-MANCA
FRONTE-DI-MANCA
par BANDERA ROSSA

pétition pour soutenir Serge Letchimy(transmise par Thérèse du Nebbiu) La pétition vient d'être lancée : faites la connaître ! C'est le "virage" vers l'extrême droite la plus dure, la plus xénophobe, du gouvernement, qui est en jeu là dedans ... C'est Guéant qui devrait présenter des excuses, pas Serge Letchimy : lui demander de s'excuser A LUI, c'est le monde à l'envers... http://www.convergencedesluttes.fr/petitions/index.php?petition=18 > > Faites circuler largement cette pétition
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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 06:57
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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 13:04

FRONTE-DI-MANCA
FRONTE-DI-MANCA
par BANDERA ROSSA

Voilà ça y est. Toi, tu dormais la tête dans le sable, pensant ton croupion intouchable. Et ça y est : le régime sec. L’air malin, toi le « classe moyenne », avec ta petite culture bien confortable de petit-bourgeois. Marre. Marre de te solliciter, de t’informer, de te tirer la sonnette d’alarme. En vain. Au moins avec le prolo c’est clair, c’est la rage direct, ou l’aliénation grave. Mais toi, le qui « milite », le qui réfléchit et qui va au cinoche, le qui dit que oui mais non, le con qui s’ignore parce qu’il en sait long comme ça, toi, maintenant tu vas morfler. Grave. Toi, qui résistes autant que tu peux à l’évidence, et tellement trop peu à ce qui va te radier… Ça y est. Enfin faut y croire. T’as vu la Grèce ? Le pouvoir du capital, tu commences à piger ou pas ? Salaires réduits de moitié, le SMIC à 480 euros, le chômage partout et la faim qui sévit, tout ça « à deux heures d’avion » de ton petit coin borné… Alors tu bouges ou pas ? Le cocktail Molotov, t’as la recette ? Parce que fini de rêver… Ce régime sec, il est pour tout le monde. Continue de trotter à reculons vers cet autre monde impossible, celui qui te permet de rester bien à l’aise dans celui-ci. Zob ! T’auras rien ! Ils te foutront à poil comme le premier Athénien venu ! C’est la guerre, et toi, tu savais pas… Les gens comme toi et moi, ils sont sous la coupe des rapaces, et y a pas de démocratie qui vaille : c’est la banque, l’Europe à laquelle tu crois, et la civilisation de Guéant qui vont te mettre à genoux. Arrête de rêver ! Arrête de croire ! T’es mort ! Sauf si tu bouges… Fais pas le choqué alors… Fais pas l’interloqué quand on tape sur les chômeurs et les étrangers. C’est pas nouveau. C’est même du réchauffé. Le fascisme ça grimpe toujours d’abord sur les plus vulnérables, et c’est peut-être pour ça que les indifférents la ferment. Savent pas. Se serrent les miches dans leur cocon à la noix. Fini tout ça… La mouise, ça s’universalise, ça se programme, et ça te vient dans les pattes et toi tu tombes de haut. Et te voilà avec nous… Reste à comprendre ce qui se passe au-delà d’ici. Pas simple. Que tout se tient, et que tenir sa position ici c’est tenir la même ailleurs. Pas clair ? Fais un effort, ça urge ! SITE: RADIO CAMPUS LILLE
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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 11:06

meeting
meeting
par BANDERA ROSSA

Meeting du front de gauche le 22 février 2012 a la salle polyvalente de lupino ,18 H. en présence de Jean-Luc Mélenchon , Pierre Laurent , Dominique Bucchini, Ange Rovere ...
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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 10:53

FRONTE-DI-MANCA
FRONTE-DI-MANCA
par BANDERA ROSSA

Contre la fermeture programmée des services publics dans le Nebbiu, pour le maintien et le développement des besoins collectifs de proximité. Deux classes d'écoles à Murato et Saint Florent sont menaçées de suppression à la rentrée 2012 ainsi que les bureaux de postes de Murato, Santo Petru di Tenda et d'Oletta que la Poste veut transformer en agence communale et la perception de Saint Florent qui disparaitrait pour des raisons budgétaires. Pour lutter contre cette politique de démantèlement des offres de services publics sur notre territoire, nous demandons la suspension de la RGPP, le retrait du projet Terrien de la Poste afin de sursoir aux suppressions de postes des enseignants et des agents du trésor et de la Poste. Nous estimons que les services rendus à la population par les postiers en milieu rural n'est plus à démontrer. L'efficacité des perceptions dans l'aide apportée aux collectivités locales non plus. Quant à l'école publique pour nos enfants, Victor Hugo disait:" chaque enfant qu'on enseigne est un homme qu'on gagne." Garantissons à nos enfants et à la population du Nebbiu mais aussi ailleurs sur toute la Corse, le principe d'égalité d'accès aux services publics de qualité pour toutes et tous. site de la Fédération de Haute-Corse du PCF
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