Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

CHANTS REVOLUTIONNAIRES

Archives

18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 12:39

Les délégués au congrès du MJCF réintroduisent l’objectif du « socialisme » dans leur résolution

(par EDT pour vivelepcf)

 

Les Jeunesses communistes tiennent leur congrès à Gennevilliers du 15 au 18 avril 2010. Dans leur séance du 16 avril, leurs délégués ont adopté un amendement au texte de résolution, d’une très grande importance, pour le MJCF comme pour le PCF.

 

congres_jc.jpg En voici le texte :

« Nous voulons ouvrir une phase transitoire nous permettant de dépasser le système d’exploitation de l’Homme par l’Homme et de construire les bases économiques, sociales et politiques d’une société d’émancipation individuelle et collective. Pour cela, le monde du travail doit devenir la classe dominante, c’est ce que nous nommons le socialisme du 21ème siècle ».

 

Le rétablissement de l’objectif du socialisme est en discussion depuis plusieurs congrès dans la JC. Les fédérations qui ont porté cet amendement ont obtenu, cette fois, un vote très majoritaire des délégués. C’est une avancée considérable.

 

Certes la notion de « socialisme du 21ème siècle » relativise le sens théorique et peut ressembler à l’expression galvaudée reprise par certains opportunistes sans complexe, comme JL Mélenchon.

Mais, nos jeunes camarades la précisent en insistant sur la place du « monde du travail », autrement dit de la classe ouvrière. Ailleurs dans le texte est aussi rappelée la nécessité de l’appropriation publique et sociale des principaux moyens de production et d’échange.

Enfin, ce qu’ils dénomment « phase transitoire » ramène à un objectif concret et immédiat de rupture, à une perspective de ruptures.

 

Mesurons ce que cet amendement représente, surtout venant de la jeunesse, comme désaveu de la ligne d’abandon de la direction du PCF (et du MJCF) conduite depuis tant d’années.


Au 29ème congrès en 1997, juste avant la collaboration avec Jospin, elle supprimait le projet socialiste et la référence au rôle de la classe ouvrière.

Au 30ème congrès à Martigues en 2000, elle introduisait la notion fumeuse et lointaine de « visée communiste », cachant l’abandon de la perspective révolutionnaire contre le capitalisme.

En septembre 2009, dans l’édito du supplément « communistes » de l’Huma, le membre de l’exécutif, Francis Parny a dénommé de la dernière étape du reniement. Il a parlé de projet « altercapitaliste ». C’est plus clair encore que dans la bouche de ceux qui évoquent un « post-capitalisme » où l’on attendrait que le capitalisme tombe comme un fruit mûr. En fait, ces dirigeants avouent leur adhésion à un système qu’ils proposent juste d’accommoder.

 

Ces reniements expliquent le reste : la casse de l’organisation du parti, les compromissions avec les gérants loyaux du capital dans les institutions, le cantonnement à un rôle protestataire derrière des élus, et l’effondrement organisé de l’influence communiste dans les entreprises et l’ensemble du pays.

Une génération nouvelle donne un signal à des dizaines de milliers de communistes et de salariés: refaisons du PCF, du MJCF les organisations communistes dont les travailleurs ont besoin pour lutter, faire reculer et abattre le capitalisme !

Même si cela doit prendre encore un peu de temps et d’efforts !

Partager cet article
Repost0
18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 12:15

Attributions des différents conseillers exécutifs de Corse

MGui__4_.jpg

Maria Giudicelli gérera un large portefeuille incluant le PADUC, le PIEDMA, les logements, le foncier et la question sociale. .
Vanina Pieri

gérera l’Agence du Tourisme de la Corse,

Emmanuelle De Gentile a en charge

l’Office hydraulique et l’enseignement supérieur,

Marie Thérèse Olivesi

à l’ODARC

Paul Marie Bartoli

hérite de l’Office des Transports,

Pierre Ghionga

de celui de l’environnement.

Jean Louis Luciani

sera chargé des finances, du budget et des marchés publics,

Jean Zuccarelli

officiera à l’ADEC.

Paul Giacobbi,

lui, se concentrera sur l’aide aux communes, le sport, la culture, les routes, la jeunesse et le COREPA.

Le Président de l’Exécutif a voulu mettre l’accent sur la présence d’une équipe jeune et renouvelée.

Partager cet article
Repost0
16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 12:43

 

 

 

                Il y a 140 ans naissait Vladimir Ilitch Lénine

                                         lenin.gif

Partager cet article
Repost0
16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 12:06

                                                            MARE NOSTRUM-copie-1

 

 palpeople 02

normal_DovKheninSpeaking.jpg

 

L’avenir de Jérusalem-Est n’est pas identique à celui de Tel-Aviv

mais à celui de Ramallah et Naplouse !

 

La Ville de Ramallah a accueilli cette semaine une réunion entre dirigeants du Parti communiste d’Israël et du Parti du Peuple Palestinien. La rencontre a été consacrée à une discussion sur les derniers événements politiques et aux moyens de renforcer les liens bilatéraux entre les deux partis.

 

Avec à sa tête Mohammed Naffa‘, secrétaire général du parti, la délégation du Parti communiste d’Israël était composée de Issam Makhoul, Tamar Gozansky, Abdullah Abu Ma’rouf et Aida Touma, membres du Politburo. Avec à sa tête Bassam Al-Salhi, secrétaire général, la délégation de Parti du Peuple Palestinien était composée de Hanna Amireh, Afaf Ghatasheh, Rida Nateel et Fadwa Khader, membres du Politburo.

 

Les deux partis ont fermement condamné l’escalade israélienne menée contre les Palestiniens par le gouvernement d’extrême-droite que dirige Benjamin Netanyahu, et les mesures actuelles —à savoir la campagne de colonisation dans la ville de Jérusalem et en Cisjordanie, et les attaques contre les lieux saints, en particulier la Mosquée Al-Aqsa à Jérusalem. Ils ont aussi condamné les actes de l’armée d’occupation qui, entre autres, a tué de sang-froid quatre jeunes Palestiniens dans le district de Naplouse.

 

Les deux partis ont dénoncé le siège criminel qu’Israël continue d’imposer à la Bande de Gaza et qui pèse de manière tragique sur le bien-être de ses habitants. Ils ont considéré que le siège est une forme criminelle de punition collective imposée au peuple tout entier et une violation flagrante des lois fondamentales de la communauté internationale et des Conventions de Genève. Les deux partis ont exigé la fin immédiate du siège et ont promis de continuer à lutter dans cet objectif.

 

Les deux partis sont tombés d’accord sur les dangers de la division interne palestinienne qui sert de prétexte pour faire passer, avec l’aide des États-Unis, les pires complots de l’occupation. Le complot a pour but d’en finir avec les droits nationaux du peuple palestinien, principalement son droit à l’autodétermination et à l’indépendance. Les deux parties ont affirmé que la question de la division n’est pas une affaire privée entre les deux camps palestiniens mais un danger qui pèse sur l’avenir du peuple palestinien et de leur stratégie de libération. Ils ont exigé la restauration de l’unité politique et géographique entre les deux parties de la mère-patrie et la signature du pacte de réconciliation nationale formulé par l’Égypte, qui est la bonne démarche pour parvenir à l’unité dans le but de contrecarrer les plans des ennemis du peuple palestinien et de ceux qui comptent sur la division pour mettre à exécution leurs projets expansionnistes et liquider le projet national palestinien.

 

Le Parti communiste d’Israël a insisté sur la relation intrinsèque qui existe entre occupation et oppression d’un autre peuple et les attaques contre les libertés à l’intérieur d’Israël ; il a souligné que les politiques d’expansion et d’occupation accroissent les tensions et les manifestations de racisme contre les citoyens arabes à l’intérieur d’Israël. Le parti communiste d’Israël a ajouté que ces actes intensifient les violations et les attaques contre les forces démocratiques juives qui luttent pour la fin de l’occupation, l’arrêt de la colonisation et la fin de toutes les agressions contre les droits du peuple palestinien. Le Parti du Peuple Palestinien a salué le Parti communiste israélien et ses alliés du Front Démocratique pour la Paix et l’Égalité ainsi que les Arabes israéliens et les forces juives qui s’opposent à l’occupation par leur lutte continue et déterminée aux côtés de la résistance populaire acharnée contre le Mur d’Apartheid à Bil’in et Ni’lin, qui est devenue un modèle unique et le symbole de la lutte.

 

Les deux partis ont réaffirmé leur position historique qui stipule que la solution juste et permanente à la cause palestinienne passe par la reconnaissance du droit à l’autodétermination du peuple palestinien et de son droit à la création d’un état national avec souveraineté sur tous les territoires palestiniens occupés en 1967 avec Al-Quds pour capitale, et par le soutien à la cause des réfugiés palestiniens conformément à la Résolution 194 de l’ONU. C’est la seule manière d’aboutir à une solution à deux états qui permette aux deux états de vivre dans la paix et la stabilité. Les deux partis ont souligné que, si radicales que puissent paraître ces résolutions, essayer de circonvenir la solution à deux états comme définie ci-dessus ne ferait que consolider l’état d’occupation et la négation des droits du peuple palestinien à l’autodétermination.

 

Dans ce contexte, les deux partis rejettent les exigences de l’establishment israélien en matière de reconnaissance de la judéité de l’état israélien : d’une part, ils considèrent ces exigences comme un instrument d’exclusion de la minorité nationale arabe d’Israël et de refus de ses droits civils et nationaux, et, d’autre part, ils considèrent qu’elles ont pour but de mettre un champ de mines politique et raciste en travers de la route de tout progrès politique et de toute juste solution à la cause des réfugiés palestiniens. Les deux partis ont déclaré que ces exigences sont inacceptables et ont souligné nécessité de les combattre, d’en mettre en évidence les tenants et aboutissants, et de les contrecarrer.

 

Les positions des deux partis concordent sur l’inutilité de toutes négociations directes ou indirectes tant que le gouvernement d’extrême-droite actuel poursuivra sa politique provocatrice d’implantation dans les Territoires Palestiniens Occupés, particulièrement à Jérusalem-Est Occupée .Les deux partis ont affirmé que Jérusalem-Est Occupée n’est pas, comme le revendique Netanyahu, comme Tel-Aviv mais identique à Ramallah, à Naplouse et au reste des villes villages palestiniens sous occupation, et que ce qui s’applique au reste de la Cisjordanie et à la Bande de Gaza s’applique à Jérusalem-Est Occupée. Les deux partis ont affirmé qu’exiger le retour des Palestiniens à la table de négociations sans conditions préalables n’a aucun sens : les deux ont souligné qu’il est vain de reprendre des négociations sans conditions préalables permettant la fin de l’occupation, la libération et l’indépendance du peuple palestinien, et l’application des résolutions de reconnaissance internationales.

 

Les deux partis se sont aussi accordés sur la nécessité d’exiger au préalable un cahier des charges des négociations contraignant basé sur le retrait définitif aux frontières 1967 et sur l’arrêt total et complet des colonies comme conditions sine qua non pour toute entrée en négociations. Les deux partis ont aussi convenu de la nécessité de s’investir pleinement au niveau international pour pousser Israël à respecter les résolutions de loi internationale. Pour eux, tabler uniquement sur la médiation américaine et s’en rendre entièrement dépendant n’aura aucune issu positive en raison du partenariat stratégique entre Israël et les États-Unis, —qui fait de la politique américaine un problème plutôt qu’une partie de la solution. Les deux partis ont indiqué que s’en remettre à ce seul type de négociations ne peut plus déboucher sur rien et qu’il est maintenant nécessaire d’activer et de développer d’autres points forts palestiniens, en particulier de soutenir la montée de la lutte populaire et de la résistance et de placer la communauté internationale ainsi que le Conseil de Sécurité et les diverses organisations internationales en face de leurs responsabilités afin d’exercer une pression sur Israël pour qu’il mette fin à son occupation et se soumette aux résolutions de loi internationale. Ils soutiennent, ont-ils souligné, le Parti communiste d’Israël et ses alliés dans leur combat pour inciter l’opinion publique israélienne à défendre la paix, —contre l’occupation, les colonies et les provocations à Jérusalem-Est Occupée, comme cela s’est récemment produit à Sheik Jarrah.

 

En fin de réunion, les deux partis ont décidé ensemble de continuer à se rencontrer régulièrement, de se coordonner et de coopérer dans divers domaines politiques, dans les domaines du syndicalisme, de l’éducation, de la cause féminine, etc. Ils ont décidé de former des commissions de travail sur ces questions.

 

Le 25 mars 2010

Traduction : M.C.

Partager cet article
Repost0
16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 11:59

Concurrence bien comprise du Libéralisme qui nous régit....

Anecdotique mais significatif de l'état d'esprit du service public....

communiqué de l'Office Tourisme Corse

La SNCF a refusé de distribuer sur les TGV 1ère classe une brochure destinée à promouvoir la Corse, dans le cadre de l’avant saison, en y proposant des offres de séjours packagés. Motif : « trop de mentions à nos concurrents aériens, et à des offres vol + hôtel ».

"La SNCF aurait-elle en projet l’ouverture d’une ligne aérienne TGV entre le continent et la Corse ?

Une vrai interrogation après le refus de la direction marketing et communication de la SNCF de diffuser sur les TGV 1ère classe une brochure réalisée en partenariat avec le Groupe Ollandini, Corsicatours, la SNCM (cie maritime) et l’Agence du Tourisme de la Corse pour promouvoir, dans le cadre de l’avant saison, la destination en y proposant des offres de séjours packagés.

Motif de ce refus : « trop de mentions à nos concurrents aériens, et à des offres vol + hôtel ». De là à penser que la SNCF se voit concurrencée par le bateau et l’avion pour traverser la Méditerranée !

La direction générale du tourisme de l’île, qui se demande si elle doit attendre que cette nouvelle liaison ferroviaire voie le jour pour engager désormais des partenariats avec la SNCF, avoue avoir du mal à comprendre ce refus d’autant qu’elle observe que le support TGV magazine compte nombre d’offres de vols et de séjours d’annonceurs ?

.../... sur http://www.tourmag.com/SNCF-la-Cors...

 

  Ci-dessous, le texte:

SNCF : la Corse ne lui dit pas merci...

le communiqué de l'OTC
La SNCF a refusé de distribuer sur les TGV 1ère classe une brochure destinée à promouvoir la Corse, dans le cadre de l’avant saison, en y proposant des offres de séjours packagés. Motif : « trop de mentions à nos concurrents aériens, et à des offres vol + hôtel ».


"La SNCF aurait-elle en projet l’ouverture d’une ligne aérienne TGV entre le continent et la Corse ?

Une vrai interrogation après le refus de la direction marketing et communication de la SNCF de diffuser sur les TGV 1ère classe une brochure réalisée en partenariat avec le Groupe Ollandini, Corsicatours, la SNCM (cie maritime) et l’Agence du Tourisme de la Corse pour promouvoir, dans le cadre de l’avant saison, la destination en y proposant des offres de séjours packagés.

Motif de ce refus : « trop de mentions à nos concurrents aériens, et à des offres vol + hôtel ». De là à penser que la SNCF se voit concurrencée par le bateau et l’avion pour traverser la Méditerranée !

La direction générale du tourisme de l’île, qui se demande si elle doit attendre que cette nouvelle liaison ferroviaire voie le jour pour engager désormais des partenariats avec la SNCF, avoue avoir du mal à comprendre ce refus d’autant qu’elle observe que le support TGV magazine compte nombre d’offres de vols et de séjours d’annonceurs ?

La SNCF a campé sur ses positions...
L’opération confirmée auprès de Médiatransport, régie de la SNCF avait été soumise comme prévu dans le cahier des charges à validation du contenu par la SNCF, cette étape constituant à priori un simple droit de regard sur le respect des bonnes moeurs dans le contenu.

Malgré plusieurs « aller-retour » et une proposition d’allouer la dernière de couverture à la communication de la SNCF, celle-ci a campé sur ses positions.

Dommage, parce que le support se prêtait parfaitement en lui-même à cette opération de diffusion et que nous comptions particulièrement sur cette opération où nous nous étions particulièrement investis depuis plusieurs mois avec les partenaires.

Ironie de l’histoire, c’est vers les salons des aéroports parisiens que l’opération a trouvé refuge... vvisiblement plus éclairés et ouverts à la présence sur la brochure de packages « bateau+hôtel » aux côtés de ceux « avion+hôtel ».

Et pour le coup la SNCF offre sur un plateau les achats d’espaces à son concurrent direct… à n’y rien comprendre ! Ainsi, dès le 12 avril cette brochure produits Corse sera disponible sur les présentoirs presse Air France."


 

 

                                                   U Rossu

Partager cet article
Repost0
15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 15:53

CGT GEANT CASINO

BASTIA, le 14 avril 2010

Communiqué.

Fin du conflit dans les magasins Casino de Corse.

Malgré des avancées, le compte n’y est pas.  La CGT ne signera pas l’accord.

Après 3 jours de grève, et de longues heures de négociations, les employés ont repris le travail la tête haute. L’intransigeance de la Direction des magasins a du plier face à la détermination des grévistes. La Direction a du revoir ses propositions à la hausse. Ce n’est plus 1,5% mais 3% qui ont été accordés. C’est le résultat de la lutte. Bien sur l’étalement de ces mesures tout au long de l’année 2010 réduit cette augmentation de salaire à 2%. Les retenues de grève et la faiblesse des salaires notamment pour les salariés à temps partiel sont également à prendre en compte.

De plus la Direction a voulu lier les salariés pour 2011 en ne proposant que 1%. Soit les 4% demandés sur 2 ans et non pour 2010 seulement comme exigé par les personnels.

C’est pour l’ensemble de ces raisons que la CGT en accord avec les personnels qui lui font confiance n’a pas signé cet accord. En effet la direction entend reprendre en 2011 ce qu’elle a du céder en 2010.

La CGT félicite les salariés pour leur engagement massif dans cette mobilisation unitaire sur les salaires et la défense du pouvoir d’achat. C’est bien par la lutte en Corse comme au plan national que nous obtiendrons des réponses à nos revendications et une vie meilleure pour nos familles.

Partager cet article
Repost0
15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 15:41
                        Les membres du Conseil exécutif
                     de la Collectivité Territoriale de  Corse

                                        

                                          Paul Giacobbi, Président du Conseil exécutif de Corse


                                                             Paul Marie Bartoli
                                                             Emmanuelle de Gentili
                                                             Pierre Ghionga
                                                             Maria Guidicelli
                                                             Jean-Louis Luciani
                                                             Marie-Thérèse Olivesi
                                                             Vanina Pieri
                                                             Jean Zuccarelli

 

 

Conseil exécutif 

 

(on reconnaît notre camarade Maria Guidicelli , premier plan à droite)

La première session ordinaire de l'assemblée de Corse  est programmée le mardi 20 avril, à 10 heures.

Le Président, Dominique Bucchini, a fixé l'ordre du jour:

ü désignation des secrétaires de l'assemblée ;

ü mise en place des commissions ;

ü désignation des représentants de l'assemblée à divers organismes ; adoption du règlement intérieur ;

ü rapport du président du conseil exécutif concernant le taux des indemnités des membres de l'assemblée, de l'exécutif, de la commission permanente, des présidents.

Neuf nouveaux conseillers territoriaux feront leur entrée dans l'hémicycle. François Tatti, Marie-Jeanne Fedi-communiste-, Pierre Chaubon, Benoîte Martelli, François Mosconi, Marie-Paule Houdemer, Marc-Antoine Nicolaï, Marie-France Bartoli et Yannick Castelli. Ils siégeront à la place des neuf conseillers nommés le 25 mars à l'exécutif.

 

Comme l’écrit Paule Casanova dans Corse-Matin de ce jour, « trois semaines après leur élection, les membres de l'exécutif ne connaissent toujours pas leurs domaines d'intervention ».

 

u cursinu rossuu-cursinu-rossu-copie-2.jpg 

 

Partager cet article
Repost0
15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 15:07

                                                   MARE NOSTRUM-copie-1

 

 

Le Parti communiste français condamne les nouvelles dispositions israéliennes qui vont permettre des expulsions massives de citoyens Palestiniens

Les autorités israéliennes viennent de durcir encore les règles de circulation et de résidence pour les Palestiniens. C’est l’armée qui traitera désormais le sort des citoyens palestiniens qualifiés « d’infiltrés » lorsqu’ils seront considérés par les forces d’occupation comme n’ayant pas le permis nécessaire.
Ce sont des dizaines de milliers de personnes qui seront directement concernées, dans un contexte où les Palestiniens sont déjà victimes depuis des années d’une accumulation d’interdits, d’entraves, de mesures administratives, policières et judiciaires qui tendent à les réduire à un statut d’étrangers sur leur propre terre.
Les nouvelles dispositions permettront de chasser de façon arbitraire les Palestiniens. Elles sont présentées comme des mesures de sécurité alors qu’elles traduisent manifestement une volonté d’accélérer et multiplier les expulsions ou les emprisonnements.
Le Parti communiste français condamne avec force ces dispositions coloniales, humainement scandaleuses, politiquement insupportables et totalement illégales au regard du droit international et des Conventions de Genève.
Les autorités françaises, alors qu’elles reçoivent actuellement le Président israélien Shimon Peres, se doivent d’exprimer clairement une condamnation de ces mesures inacceptables, en exigeant leur retrait.

Parti communiste français    PCF-OUTILS.jpg
Paris, le 15 avril 2010

Partager cet article
Repost0
15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 12:41

20081110melenchon.jpg

J'ignore ce qui les motive réellement, le pourquoi et le comment de leurs motivations et pour dire je m'en préoccuperais peu si...

si les combats qui sont les miens, non seulement par choix mais également par nécessité ne se trouvaient pris en étau entre les machoires d'égos déplacés et démesurés et des querelles toute en vacuité et auto promotions digne de la société qui est celle que nous sommes censés mettre à bas, faite de l'individualisme forcené, du rejet de tout collectif, de toute pensée collective y compris avec des précautions d'usage et justifications douteuses .

 

je reconnais volontiers une méfiance,sans doute déplacée, envers tout ce qui a trait à ces catégories sociales, cette couche, nommez-là comme il vous sied: les intellectuels, les penseurs, les expenseurs, les extenseurs.

 

Lors des tragiques collectifs anti libéraux, rampes de lancement du Front de Gauche et de personnages attrape-tout je m'étais étonné du poids inconsidéré accordé à une sommité de la pensée moderne qui, par ailleurs passera , de ci de là, d'un trottoir à un autre,du NPA au Front de Gauche de là à la télé et mieux aura son aura dans Télérama.

 

Ma méfiance quelque peu assoupie se réveille soudain au doux son du Mélenchon, le Mélenchon est homme de combats certes, de convictions variables, socialiste certainement mais en quoi peut-il se targuer ou prétendre incarner les combats qui sont miens non seulement par choix mais par nécessité, en quoi sous quel fallacieux prétexte ce roublard et tribun populaire s'accorderait-il ou se verrait il accorder la confiance populaire, à franchement parler en quoi porte t'il une vision d'avenir, un projet de rupture avec le capital.

 

Je demeure ciconspect devant ces intellectuels(les) de la gauche révolutionnaire, ces Martelli, ces Braouezec et tant d'autres qui à longueur de blogs et de plumes trempées dans le fiel de leurs propres échecs déversent leurs vérités assassines et de bon aloi contre mon parti, le parti communiste français, j'en ai tout autant à l'égard de celles et ceux qui tout aussi révolutionnaires martèlent à longueurs de lamento leur haine d'un parti qui, par ses dérives mais également par ses sursauts salvateurs, les a écarté des délégations officielles et et séjours gratuits dans des états socialistes.

 

Réduite comme peu de chagrin la possibilité de voyager gratos aux frais du contribuable (les partis recevant des fonds publics) et du miitant (le parti recevant les cotisations) se résume à peu désormais, la Corée du Nord dont le climat ne les tente guère, la Chine bien sûr, et Vietnam et Laos dont l'empreinte sur le mouvement est moins évidente et la magique Cuba.

Ah Cuba, Fidel et le Che, le soleil et la mer, de quoi s'étaler et pas seulement sur le sable chaud, mais matière à rebondir, à s'esclaffer sur les crétins qui là bas, en France ne savent pas, ne parviennent pas, ces prétentieux donneurs de leçons qui du socialisme ont fait table rase.

Ah Cuba, faire cause commune avec le Mélenchon, se retrouver en comité restreint, refaire surface et clamer « viav Fidel », « viva la revolutionnne », s'emparer des barbudos, des muchachos et refaire un monde qu'ils n'ont pas changé et pire, devant lequel ils ont ont capitulé et qu'ils refilent en héritage.

 

Il s'agit bien là de défaite, de renoncement quand dans tous les compartiments du militantisme, le communiste s'est forgé dans une évidence criante: écrase ta propre bourgeoisie avant d'aller te pavaner sur le sable doré et de t'enfiler les Mojito comme d'autres les hosties le matin d'un dimanche.

En clair tu balaies chez toi d'abord ce qui ne doit pas occulter l'incontournable solidarité de classe, celle qui permet de tenir, là où chacun prend sa part à l'affrontement entre le travail et le capital.

 

Mélenchon est en Bolivie semble t'il, chouette, c'est cool le job de sénateur et de député de cette Europe là, certes il en faut des délégations: voir, découvrir, échanger, partager mais en y regardant de plus près le voir, découvrir, échanger, partager demeure une affaire du chef, c'est ainsi que José Bové visitait les mêmes lieux, les mêmes R-Evolutions, histoire de cotoyer la grande histoire, d'être sur l'image numérisée car , entre nous soit dit, que peut ien apporter Mélenchon aux peuples d'Amérique Latine, quel soutien, quelle solidarité active...sauf à devenir le premier des français oseront les mauvaises langues.


Certes Jean-Luc a de sages positions sur cette partie du monde mais c'est vite oublier que lui, les siens, n'eurent de cesse de faire tomber le socialisme à l'Est, ce socialisme qui , quoiqu'on en dise a , on peut le penser, plus réalisé pour les peuples du monde et leur émancipation que Jean-luc et tous ses amis en passant par ceux qui tel ce Léon Blum qui trouvait une mission civilisatrice au colonialisme et sans omettre qu'il est bien discret en ce domaine lui qui, au milieu de sa carrière, avait pour but ultime de prendre le département de l'Essonne aux communistes aidé en cela par un Julien Dray toujours à l'heure.

 

Combattre le socialisme à l'Est pour le glorifier en Amérique Latine, là où sans aucun doute l'existence de l'URSS aurait limité les appétits d'un Bush et d'un Obama: l'art de se tirer une balle dans le pied et d'en mettre une rafale à la terre entière.

 

Jean-Luc le laic est d'un mutisme à toute épreuve, pas un mot sur son soutien à Walésa et à la réaction polonaise, de sa tendresse pour la soutane pour peu qu'elle pourfende l'hydre communiste: le bilan globalement négatif de la social démocratie et de ses errances et turpitudes.

 

J'en veux, je le concède volontiers à ceux là qui par ambitions et ou déconvenues, par calculs égoistes et nombrils dilatés prétendent penser, parler, écrire, en lieu et place de mon peuple, de ma classe sociale, de mon parti.

Lorsque du haut ou du bas de mes provocations j'affirme détester les intellectuels j'entends sonner le doux mot d'ouvrièrisme, de populisme mais reconnaissez que si il m'appartient de prendre de la hauteur il en va de même et de facto à nos penseurs et je reste perplexe devant le buzz mélanchonesque généré par sa glorieuse sortie en direction d'une étudiante journaliste. Quel flamme ce Jean-Luc, il va là où cela fait mal, enfin presque car dénoncer l'aligenement des journalistes sur la pensé dominante y compris quand ils n'y sont pas tenus relève de l'enfoncement de la porte ouverte mais surtout d'un comportement particulièrement révélateur d'un homme qui joue sur un registre genre « tous pourris » dont nul ne saurait ignorer les possibles interprétations et conséquences dans une société française particulièrement fragilisée par un capitalisme aux abois.

Je pense à mes camarades de chez Alkan de Valenton qui fabriquent des pièces d'armement et j'imagine leur incompréhension si je les traitais de meutriers en omettant de situer les vrais reponsables, ceux qui passent les commandes, ceux qui créent des usines pour y répondre, ceux qui passent par l case profits.

Oui je peine à imaginer cela.

 

Alors pour tout vous dire j'aime les intellectuels, les vrais, ceux qui sont au service de la cause partagée, la Révolution, ceux qui n'aspirent à rien si ce n'est à tenir leur place dans une lutte de classe exacerbée, sans concession, aux épreuves si dures.

 

J'ai beaucoup de respect pour Claude, Colette, Dominique qui, au pays des chtis se dépensent sans compter et aux côtés de la classe ouvrière, celle d'ici ou celle d'ailleurs.

 

Ils sont militantes et militants communistes et j'ai cette intime conviction qu'ils ne sont pas prêts de céder, à ramper, à lâcher.

 

Je n'ai pas mal au Mélenchon il n'est, ne peut, ne sera jamais des miens à moins qu'il ne franchisse ce pas: devenir communiste mais c'est un autre monde et la porte est étroite pour celui qui si longtemps, de l'OCI au Mitterrandisme nous priait d'emprunter...

 

                                                       

 

 

Partager cet article
Repost0
14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 15:11

                                                          MARE-NOSTRUM.jpg

Heurts en Egypte lors d’une manifestation contre le régime

 

mardi 13 avril 2010

Des heurts se sont produits dans le centre du Caire entre policiers anti-émeutes et un groupe de quelque 200 militants politiques réclamant le départ du président Hosni Moubarak, au pouvoir depuis près de 30 ans, rapportent des témoins.
Les policiers ont cerné les manifestants qui scandaient "A bas Moubarak !" et les ont matraqués sans ménagement, arrêtant l’un d’entre eux, selon des images tournées par Reuters TV.
La manifestation avait été organisée par deux mouvements actifs d’opposition, la Jeunesse du 6 avril et Kefaya (Assez), qui réclament une démocratisation du régime et la fin de l’état d’urgence en vigueur depuis l’assassinat du prédécesseur de Moubarak, Anouar al Sadate, en octobre 1981.
De telles manifestations sont rares au Caire mais, le 6 avril, la police avait arrêté une centaine de personnes réclamant également des réformes politiques, avant de les relâcher graduellement.
Des élections législatives sont prévues à la fin de l’année et un scrutin présidentiel au début de l’an prochain. Le parti de Moubarak devrait dominer la nouvelle assemblée. Le chef de l’Etat égyptien, qui est âgé de 81 ans, n’a pas encore fait savoir s’il briguerait un nouveau mandat de six ans.

 
             PS:  Pas beaucou d'échos dans la presse écrite et télévisuelle!!!
             Et pour cause:  
 Moubarak, comme Ben Ali en Tunisie ou Mohammed VI au Maroc,  c'est un ami de  qui vous savez!
Ce n'est pas comme Fidel.
                                                                                                  U cursinu rossuu-cursinu-rossu.jpg
Partager cet article
Repost0