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CHANTS REVOLUTIONNAIRES

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 13:20

 

                                                                  MARE NOSTRUM-copie-1

 

Raed AbuBadawia libéré ! Merci à tous !
mardi 7 octobre 2014
 
 
 

Raed, ce franco-Palestinien, enseignant à Naplouse, qui avait été arrêté et détenu sans motif fin septembre par l’armée israélienne, a été libéré ce matin, sans que la moindre charge ait été retenue contre lui. Vos courriers et vos appels auprès du Quai D’orsay ont été entendus !

Le Consul de France à Tel Aviv s’est même déplacé à l’audience, ce qui montre que le ministère français des affaires étrangères a pris les choses au sérieux, pour une fois.

La solidarité, c’est la seule solution ! Ensemble nous constituons une force.

Raed parmi ses étudiants de l’Université Al-Najjah à Naplouse

CAPJPO-EuroPalestine

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 06:20

 

 

 

 

 

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 06:17

                                                                  PCF1

 

Communiqué du Parti communiste français
Déclaration du PCF en soutien au peuple kurde
Le Parti communiste français appelle au rassemblement de soutien ce soir, à 19 H, métro Invalides, en soutien au peuple kurde de Kobané et dans les villes de France.

Après plusieurs semaines de combats et un siège de 20 jours, la ville de Kobanê (Kurdistan de Syrie) est tombée aux mains des djihadistes. Les Kurdes du PYD et l'YPG ont opposé une résistance héroïque face aux terroristes surarmés qui bénéficient d'un soutien logistique, financier et militaire des pays du Golfe et de la Turquie.

Ces Etats portent une très lourde responsabilité dans cette défaite comme les occidentaux, dont la France, qui ont laissé faire en refusant de livrer des armes aux combattants du PKK et du PYD en dépit de nombreuses interpellations.

La Turquie se réjouit ouvertement de l'affaiblissement de Rojava dont elle avait juré la perte par l'entremise de l'Etat Islamique. Cette complicité est une honte.

Les Kurdes sont les principaux remparts contre le djihadisme. Or le PKK et le PYD ne bénéficient d'aucune aide. La conférence de Paris, organisée par F. Hollande, n'a même pas daigné les inviter. De plus, le PKK figure toujours sur la liste des organisations terroristes alors qu'il se trouve en première ligne pour défendre les droits humains.

De leur côté, les villes kurdes de Turquie dirigées par le BDP-HDP accueillent seules des milliers de réfugiés de toutes origines ethniques ou confessionnelles.

Lutter contre la barbarie de l'EI exige que les Kurdes et toutes leurs organisations soient considérés comme des alliés.

Le PCF appelle à amplifier la solidarité avec le peuple kurde.

- Il faut immédiatement répondre favorablement aux demandes d'aide formulées par les Kurdes et retirer le PKK de la liste des organisations terroristes.
- Les Etats complices de la terreur islamiste, dont la Turquie, doivent être sanctionnés.
- Les réfugiés, y compris en Turquie, doivent recevoir une aide humanitaire et bénéficier des droits inhérents à leur statut.
- La France doit reconnaître le PYD et le PKK comme des interlocuteurs favorisant la paix dans cette région et accepter de dialoguer avec leurs représentants en France.
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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 05:50

 

 

 

La 27ème édition des MUSICALES de BASTIA aura lieu du 9 au 12 octobre prochain.


Au programme, en particulier au Théâtre le jeudi 9 à 21H00 en ouverture : une grande rencontre autour de la Méditerranée avec la verve des Occitans GACHA EMPEGUA et ANGE B. des FABULOUS TROBADORS, la polyphonie et les voix mélodieuses associées aux instruments du groupe insulaire L'ALBA et enfin la transe des MASCARIMIRI venus tout droit de l'Italie du sud.

Et le 10, toujours au Théâtre, place à la chanson comme on l'aime : intense et chargée de sens, avec la sensibilité à l'état pur de NICOLAS REGGIANI et la tendresse et les coups de gueule de LOÏC LANTOINE.

 

 

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 08:45

 

 

 

Contre leur politique « d’austérité », PRENDRE L’ARGENT LA OÙ IL EST !

article PCF Paris 15e

MANIFESTATION à l’appel de la CG,Jeudi 16 octobre, 13h00 NATION

 Pour défendre la Sécurité sociale face aux prétentions du Medef et à la politique gouvernementale

Les femmes de ménage des hôtels de grand luxe Hyatt Vendôme et Madeleine ont montré l’exemple.141006_CGT_Hyatt.jpgDans ces hôtels, certaines suites se louent plus cher pour une seule nuit – plus de 10.000 euros – qu’une année de paye de celle ou de celui qui la nettoie. Le personnel, organisé par la CGT, a fait grève pour que la multinationale Hyatt cesse de recourir à des sous-traitants qui payent les femmes de ménage au lance-pierre et les embauche directement les femmes de ménage sous la convention collective de l’hôtellerie de luxe. La détermination des grévistes, l’indécence dévoilée de la situation sociale, ont permis de gagner. 

Au plan national, la situation est tout aussi scandaleuse. Hollande et Valls prétendent maintenant faire les poches des retraités, des familles, abaisser les allocations familiales et notamment le congé parental. Ils pleurent que le pays serait en faillite.

Les médias appointés ne cessent d’alarmer sur la « dette publique » qui écraserait le pays. Le problème, c’est que c’est précisément la politique de ces gouvernants, Hollande et Valls maintenant, après Sarkozy et Fillon hier, toujours sous l’égide de l’Union européenne, qui la creuse ! Pendant ce temps, les profits – 32 milliards d’euros en 6 mois pour les entreprises du CAC 40 – explosent. La machine à broyer les acquis sociaux, la santé, la formation, l’investissement pour répondre aux besoins, l’avenir de notre pays s’emballe.

On dramatise la dette publique en faisant oublier que la dette privée, des ménages et des entreprises, est largement supérieure (2600 milliards d’euros).Communistes, nous sommes résolument contre le mauvais endettement public, celui qui rétribue les parasites financiers et ne sert pas à l’investissement.  C’est là le problème. Le soi-disant « pacte de responsabilité », dont l’application est en cours dans le projet de budget pour 2015, dirige 41 milliards d’euros vers le patronat et le profit capitaliste : 41 milliards qui plombent les comptes de la Nation, de la Sécurité sociale ! Le « Crédit d’impôt compétitivité » (CICE) ne crée par un emploi mais coûtera 20 milliards par an ! Exemple : les laboratoires pharmaceutiques Sanofi, aux actionnaires engraissés sur le dos de l’assurance maladie, touchent 130 millions d’euros par an grâce au CICE mais annoncent la suppression de 4000 emplois en France.

Au total, les exonérations d’impôts et de cotisations sociales patronales atteignent 220 milliards d’euros par an, bien plus que les « déficits » dont on nous rabat les oreilles. Et ces cadeaux au patronat, nous les payons cher sur notre santé, nos retraites, l’école de nos enfants, aussi sur le maintien et le développement de la production. La Cour des comptes a été obligée d’estimer le coût de la fraude patronales à la Sécurité sociale : entre 20 et 25 milliards d’euros par an, deux fois le « déficit » affiché. Le gouvernement inscrit dans son projet de loi des mesures pour essayer de récupérer 75 millions, 0,3% du total… Mais on criminalise les familles!

Autre dépense du moment : la guerre ! Mali, Centrafrique, Irak : on va arriver à 1,5 milliard d’eurospour jouer les supplétifs des Etats-Unis et les aider à entretenir le chaos dans le monde.

La liste des mauvais coups est très longue. La hausse des tarifs du gaz, de l’électricité, dosée dans le temps pour essayer d’esquiver une explosion sociale est révoltante vu les profits des entreprises du secteur. 11,5 millions de Français renoncent à se chauffer correctement ! La hausse du prix du timbre, de 15%, après les 5300 suppressions d’emploi à la Poste au premier semestre, sous la couverture de l’ex-ministre Montebourg, confirme la stratégie de démolition d’un service public structurant. Le gouvernement – toujours le duo Valls/Montebourg – est allé aider PSA à liquider 10.000 emplois dans l’automobile et à se lier au groupe capitaliste chinois Dong Feng.

La question, c’est comment on s’oppose à ces choix politiques. Pour nous communistes, il n’y aura d’issue politique qu’à partir du développement des luttes, de chaque lutte. C’est une politique globale qu’il faut changer mais la cadre politique institutionnel reste actuellement bouclé par le système.

Après les illusions de 2012, on essaie de recréer des illusions pour 2017. Quel décalage avec la réalité vécue par les travailleurs et leurs familles ! 

Hollande réussit si bien sa politique antisociale qu’il permet à Sarkozy, malgré ses « affaires » louches, de faire un come-back. Sarkozy, Fillon, Juppé ne savent plus quoi trouver pour se démarquer à droite du gouvernement. A « gauche », le PS sépare ses œufs dans le panier. Pendant que Président et premier ministre continuent leur travail de casse sociale, on remonte une équipe de « gauche » avec Aubry, Montebourg, des « écologistes » et d’autres supplétifs, en vue de 2017, sur la base … du programme de Hollande en 2012 !! Dans la même logique, le système flatte outrageusement, jusqu’à l’écoeurement, l’extrême-droite et sa démagogie attrape-tout. Plus que jamais, elle est missionnée pour détourner les colères populaires et les traduire en haine, tout en les enfermant dans le système.

Pour l’immense majorité, des travailleurs, des retraités, des jeunes, la perspective ne situe ni dans ces illusions, ni dans la résignation mais dans l’action pour se défendre.

Des mouvements forts ont ouvert la voie, comme celui des cheminots en juin, ceux des postiers un peu partout dans le pays, aussi ceux des ouvriers des raffineries ou de l’agro-alimentaire, celui contre la généralisation du travail du dimanche etc. Les mobilisations médiatisées avec complaisance des professions libérales, douteuses ou justes, n’y sont pas assimilables. Il y a un potentiel de lutte et de convergence de lutte pour commencer à mettre en échec la politique du pouvoir.

Le 16 octobre, la CGT organise une grande journée d’action pour la Sécurité sociale, avec des appels à la grève et une manifestation à Paris à 13h00 au départ de la place de la Nation.

Communistes, nous appuyons cette mobilisation pleinement, notamment pour défendre l’hôpital public, remettre en cause la logique de restriction des soins au moyen de la « tarification à l’activité » les fermetures de services, la régionalisation, pour exiger le retrait des nouvelles mesures contre les allocations familiales et la revalorisation légitime des allocations et retraites. A cette occasion, plus que jamais, nous exigeons la suppression des exonérations de cotisations sociales patronales (35 milliards d’euros par an depuis les « 35 heures »), la suppression du « crédit d’impôt compétitivité », l’abandon du « pacte de responsabilité », des baisses de TVA.

Ça ne peut plus durer ! 

BREVES :

En Grèce, « Médecins du Monde » dénonce:

30% de la population sans couverture médicale! Plus de programme de vaccinations. Des maternités qui gardent les bébés en otages tant que les familles n’ont pas acquitté les frais hospitaliers! Veut-on en arriver là en France?

INJUSTICE FISCALE:

Un couple avec 2 enfants et 1700 euros de revenu par parent paie 3905 euros en moyenne de TVA par an et seulement 1091 euros d’impôt sur le revenu (que le gouvernement prétend légèrement baisser). La TVA est l’impôt le plus injuste, frappant proportionnellement davantage les plus pauvres.

Fraude patronale à la Sécu:

20 à 25 milliards d’euros par an doit concéder même la Cour des comptes. Mais on supprime des centaines de postes à l’URSSAF. Pour 2015, le gouvernement envisage lance un plan de « lutte » dans son projet de loi de financement de la Sécurité sociale avec l’objectif audacieux de récupérer … 75 millions d’euros, 0,3% du total

 

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7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 08:38

 

                                                                             telecerveau-copie-1.jpg

 

 

 

RÉSULTAT DE L'ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE BRÉSILIENNE 

(premier tour)

 

Capture-d-ecran-2014-10-07-a-06.18.44-copie-1.png

             Dilma Rousseff                          Aécio Neves                             Marina Silva

                   41,59%                                       33,55%                                        21,32%

                                                                                           XXXXXXX (éliminée)

 

 

 

Élections brésiliennes : les fins limiers de la presse française 

 

La presse française pendant un temps faisait référence concernant l’Amérique latine.  Nous avions créé, dans les années 1980, avec plusieurs confrères de la presse écrite et audio visuelle une association regroupant tous les journalistes chargés dans leurs rédactions respectives de « couvrir » l’Amérique latine. Même le journaliste de « L’ Humanité » occupait la fonction de « vice-président », je ne vous dis pas. Aujourd’hui,  nous sommes quelques survivants. Lundi, au bout du fil,  le temps était à la rigolade en échangeant les titres et commentaires de nos jeunes confrères à propos de l’étoile filante Marina Silva. Voici dans le désordre le résultat de nos consultations.

 

Hors concours: « l’ Express » avec « l’Amazonienne aux portes du pouvoir » et Politis avec « Une écolo aux portes du pouvoir ».

 

Puis, vous ferez le classement:

 

  • France Info: « La candidate qui bouscule »
  • Boursorama: « La femme qui fait trembler Dilma »
  • La Montagne: « La bataille serrée entre Silva et Rousseff »
  • Libération: «L’Obama brésilienne», « adversaire très populaire … »
  • Le Monde: «  Un sondage  montre que Silva l’emporterait sur Rousseff »
  • Le Nouvel Obs: « La guerrière de l’Amazone »
  • France Inter et un chroniqueur galonné du Monde: « Notre choix est que la présidente sortante s’en aille. »
  • Le Figaro: « Marina Silva bouscule la donne »

 

J’arrête. La liste risquerait de vous ennuyer.

                                          José Fort

 

 

 

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 15:48

 

                                                                             cerveau animé

 

« Quelle guerre la France compte-t-elle mener en Irak et Syrie ? »
Lettre à Madame Adam, présidente de la Commission défense à l’Assemblée nationale
Mondialisation.ca, 4 octobre 2014


Madame,

Vous avez été invitée en tant que député et Présidente de la Commission Défense de l’'Assemblée nationale, aux informations de France Culture jeudi 25 septembre (12h30)[1] sur le thème « quelle guerre la France compte-t-elle mener en Irak et Syrie ? ».

Vous y avez notamment déclaré « d’'abord il est important de dire qu’il n’y a plus aucun pays qui souhaite qu'’Assad reste au pouvoir, ça c’est clair » ; ah ? Rien de tel n’'a filtré des réunions diplomatiques, communiqués ou interventions des représentants de la plus grande partie de la population mondiale aux Nations Unies. Peut-être confondez-vous avec la résolution 2178 sur les « combattants terroristes étrangers » votée à l'’unanimité du Conseil de sécurité, et appréciée à sa juste mesure par le ministre syrien des Affaires étrangères et des expatriés[2].

Vous ajoutez ensuite « Bachar al Assad doit partir ». L'’époque coloniale du « protectorat » français en Syrie -où des élus, ici, pouvaient dire qui devait gouverner là-bas- est terminée et il n’'est ni légitime ni réaliste pour un Français (élu ou pas) de dire aux Syriens qui doit les gouverner. Le président Assad a été élu, aux dernières consultations  (juin 2014), par plus de 88% des voix et un taux de participation supérieur à 74%. Cette élection, à laquelle le gouvernement socialiste français a empêché les citoyens syriens résidant en France de participer, a été qualifiée par le ministre des Affaires étrangères Fabius de “simulacre d’élections” et de “farce tragique” [3], oubliant que le farceur avait jusque très récemment été un partenaire tellement sérieux qu’il était au premier rang pour assister au défilé militaire de notre fête nationale. L’'Otan, en mai 2013, donnait à B. Al Assad en cas d’élection un score à 70%, et sa popularité se maintient depuis à un indice inversement proportionnel à celui de ses homologues occidentaux qui le traitent de dictateur.

Avez-vous émis la même opinion sur le départ d’'autres chefs d’Etat ? Avez-vous, par exemple, déclaré ou écrit que les émirs, rois, princes etc. de monarchies du Golfe, nos alliés et partenaires dans la Coalition actuelle « contre le terrorisme en Irak et Syrie », doivent rester au pouvoir ou partir ? Remarquez, personne n'’ira dire qu’ils sont en poste grâce à une farce ou à un simulacre électoral, puisque chez eux il n’y a pas d'’élection.

Vous avez vous-même été élue député en 2012 pour la 3ème fois, avec 66% de voix, mais précisément par un électeur inscrit sur trois, à cause d’'un taux d’'abstention record dans votre circonscription : 48, 9%, soit 10 points environ d’'abstention de plus qu’'à votre élection antécédente de 2007, et 10 points d’'abstention de plus, en 2012, que dans les circonscriptions voisines. Au moins, personne n'’ira dire que dans votre circonscription on oblige les gens à aller voter pour vous.

Quelle que soit votre représentativité, en tant qu’élue ici, et opérant à un haut niveau de responsabilité[4], vous avez par contre le droit (le devoir ?) de vous prononcer sur ceux qui exercent le pouvoir à vos côtés ; et l'on serait en droit d’'attendre que votre avis ait quelque effet dans la réalité de cet exercice. Vous avez récemment déclaré à l’Assemblée nationale « C'’est avec consternation que j'’ai découvert dans les medias qu’'un membre du Gouvernement avait pu être un député oublieux de ses plus élémentaires obligations »[5]. On aura compris malgré la discrétion de vos propos, que vous parlez de Thomas Thévenoud, ancien camarade de parti et toujours collègue député ; vous avez ici plus de retenue qu’'envers le président Assad. Si à aucun moment vous n’'avez déclarez « Thévenoud doit partir », est-ce parce que la consternation ne vous empêche pas d’'imaginer qu’'il peut rester à son poste ou parce que vous pensez que ces choses-là ne se disent pas d'’un proche, ou parce que vous savez que ça n’'aura aucun effet ? Thomas Thévenoud est toujours député. Mais cela ne vous a pas incitée, comme cela aurait été logique,  et  raisonnable, à davantage de réserve concernant des personnes qui exercent une fonction politique, au plus haut niveau, à 3200 Kms de chez vous.

Je ne discuterai pas ici des raisons de votre consternation concernant votre collègue et ancien camarade mais de celles pour lesquelles, d'’après vous, le président Assad doit partir : « il avait franchi une frontière interdite par tous les règlements internationaux (...) utilisé les gaz contre sa propre population » ; d’'après la « Synthèse nationale de renseignement déclassifié » « l’'analyse des renseignements dont nous disposons aujourd’hui conduit à estimer que, le 21 août 2013, le régime syrien a lancé une attaque sur certains quartiers de la banlieue de Damas tenus par les unités de l’'opposition [...] ». Quelles preuves fournissez-vous aujourd’hui à vos concitoyens pour garantir et confirmer cette estimation ? Aucune, pas plus que Colin Powell n’en a jamais fourni sur les prétendues armes de destruction massive de S. Hussein. Faute de preuves vos propos relèvent de la propagande de guerre, et vous trompez vos concitoyens. Avez-vous, d’'ailleurs, dénoncé aussi d’'autres chefs d’Etat qui, dans la même région, « ont franchi des frontières interdites par tous les règlements internationaux » ?

Autre raison invoquée pour le départ d’Assad : « aussi, nous avions bien compris qu’'il instrumentalisait les djihadistes [...] en faisant croire que son opposition était les djihadistes, que c’était les mêmes alors que ça n’'est absolument pas le cas et nous le savons aujourd'’hui. Nous avons laissé faire Assad qui a instrumentalisé ce mouvement et aujourd’hui nous en voyons les résultats, ce mouvement bien évidemment il ne l'’a plus contrôlé et ce mouvement se répand aujourd'’hui en Irak » où le gouvernement va  « dans le cadre d’opérations majeures de coercition empêcher un acteur régional de s’en prendre à nos intérêts de sécurité ou à ceux de nos alliés ou partenaires »[6]. Mais pourquoi, Madame Adam, ce « mouvement » « se répand-il aujourd’hui en Irak » au lieu de rester en Syrie avec ce farceur d’Al Assad ?

Le représentant de la Syrie à l’'Onu, B. Al Jaafari, a résumé la position syrienne : « La Syrie est fermement déterminée à poursuivre la guerre qu’elle mène depuis des années contre le terrorisme takfiri sous toutes ses formes et elle appuiera tout effort international sincèrement engagé dans la lutte contre le terrorisme de n'’importe quelle façon qu’'il se manifeste, quel que soit le nom qu'’il se donne et quels que soient les dangers qu’'il représente, à condition que cet effort épargne la vie des civils innocents, respecte la souveraineté nationale et soit conforme aux chartes internationales»[7]. Sur la raison et la nature de l’'intervention française actuelle dans la zone, vous invoquez à France Culture « l’'urgence de la situation. Est-ce que nous voulons que se développe aujourd’hui un Etat totalitaire [pas ici, en Syrie et Irak] ? ». Car « il faut se rappeler l’'histoire, ce mouvement, cette idéologie remontent aux années 1920 » : on mesure l’urgence.

Notre intervention armée en urgence, mais qui sera longue paraît-il, vous ne voulez pas la nommer guerre mais « « opération militaire tout simplement (sic)» dont nous avons « les capacités, oui, c’'est écrit dans le Livre blanc de la défense [dont vous êtes une des rédactrices] je le rappelle haut et fort ». Vous êtes en effet bien placée, Madame la présidente de la Commission Défense pour nous dire, dans le respect du secret défense, quel est, par exemple, le coût d’une sortie de Rafale pour un « vol de reconnaissance » en Irak[8] ou celui d'’un bombardement dans la même zone. Ou ce que nous coûte, depuis 2008, en dehors même de toute « opération militaire tout simplement », la base d’'Al Dhafra[9] d’où décollent les avions militaires français. Coût financier mais aussi politique : donnant-donnant,  en termes d’indépendance vis à vis de nos « alliés ou partenaires » hébergeurs.

Vous aviez déclaré la veille au Parlement que « l’'augmentation de nos capacités militaires est désormais indispensable en attendant [...] de pouvoir retrouver meilleure fortune ainsi que les 2 % du PIB», « normes Otan » rappeliez-vous, puisqu'’en effet, ce pourcentage a été défini non pas par le parlement français mais par l’'Otan[10].

« Il faut maintenant –dites-vous- que l'’ensemble des pays qui ont instrumentalisé [les terroristes], qui les ont soutenus même à un moment et qui font maintenant partie de la Coalition, qu’'ils prennent jusqu’au bout leurs responsabilités, il va falloir que les autorités de la zone et les autorités internationales prennent le pas de la décision politique». Vous ne désignez pas plus précisément ces « autorités de la zone », qui auraient changé d'’instruments, mais qui gardent le même objectif : détruire la Syrie et liquider ses gouvernants légitimes. Le représentant syrien à l’'Onu –que vous ne reconnaissez pas comme légitime- est plus clair que vous : « dans la guerre contre le terrorisme il est impensable que les Coalitions comptent, aux premiers rangs, des États qui ont été et demeurent les principaux soutiens du terrorisme et des terroristes qu’i'ls ont accueillis, financés et armés ; avec, parmi ceux-là, des États comme la Turquie, le Qatar et l’Arabie Saoudite devenus les principales portes ouvertes au transfert des terroristes en Syrie et en Irak »[11].

Vous parlez, vous, d’ « opposants modérés à Assad » que vous voulez réunir, une fois de plus, et soutenir : de quels modérés parlez-vous ? Ou vous êtes mal renseignée –ce qui est impossible à votre poste- ou là aussi vous trompez vos concitoyens parce que vous savez justement que ces « opposants » n’ont jamais été modérés et très rarement syriens[12]. L'opposition politique au gouvernement syrien s’'est constituée en partis et présentée aux élections sans votre soutien.

En début d’émission vous avez été interrogée sur l’'assassinat d’'Hervé Gourdel et indiqué que la France était prête à fournir de l’aide à l’'Algérie « en termes de renseignement sur le terrain ». Cocasse quand on sait comment des présumés terroristes présentés par nos ministres (Premier, Intérieur et Affaires étrangères) comme très dangereux, ont dû en revenant de Syrie aller toquer au commissariat pour prévenir qu’ils étaient là ; anticipant d’'ailleurs dans leur démarche certains aspects de la loi anti-terroriste exposée par le Premier ministre, que vous rappelez dans l’'émission : « soutenir les forces de l’'ordre », « leur permettre de faire leur travail en toute tranquillité » ; « peut-être livrer des informations –poursuivez-vous- oui, c’est sensible...ça appelle à la vigilance de chacun, avec discernement et avec âme ».

Pour faire passer en procédure d'’urgence cette loi[13], dont vous rappelez qu’elle émane de votre Délégation parlementaire au renseignement, vous utilisez vous aussi « la peur et les horreurs » et appelez à l’'union sacrée ou/et républicaine en prétendant découvrir à présent des vidéos macabres tournées « par les terroristes ».

Madame Patricia Adam, j’étais en Syrie en novembre 2011, invitée par les Eglises d’Orient pour une mission d’'observation. Dans un dispensaire de quartier de Homs, des blessés, civils, m’ont montré sur leur téléphone une vidéo filmée, diffusée et signée par les groupes terroristes présents non loin de là : la mise à mort par égorgement, dans une posture obscène, d’'un jeune conscrit de l’'Armée arabe syrienne. La détresse que j’ai vue sur le visage de celui qu’'on allait supplicier, filmé pour ajouter à l'’outrage, m'’a fait quitter la pièce, sans regarder davantage. Cette détresse suffit à empêcher d’'oublier les crimes qui se commettent là-bas et ceux qui en sont les commanditaires ici.

Madame la Présidente de la Commission défense et déléguée parlementaire au renseignement, si moi, simple citoyenne présente en Syrie pendant 8 jours seulement, j’ai vu une de ces vidéos, il est impossible, sauf à être incompétents, que 1) nos agents DGSE (et agents des Affaires étrangères –IFPO compris- en poste à Damas, pendant des années) sur le terrain avant même mars 2011, 2) ceux qui les dirigent ici, et 3) vous et vos collègues qui êtes chargés de veiller à « l’'efficacité et la cohésion »[14] des services en question, n’'en ayez pas eu connaissance aussi.

Que faites-vous de cette connaissance, « avec discernement et avec âme » ?

Salutations,

Marie-Ange Patrizio

psychologue clinicienne (retraitée) et traductrice

 

Copie en Cc à quelques uns de vos collègues commissaires.

Et aux membres de ma liste de diffusion.



[4] Présidente de la Commission Défense à l’AN, membre -de droit- de la Délégation parlementaire au Renseignement, vice-présidente du Groupe d’étude sur l’industrie de l’armement, etc.

[5] « Les élus doivent se comporter comme des citoyens exemplaires » : http://www.patricia-adam.fr/?p=2725

[6] Loi de programmation militaire, Rapport annexe 1.1.3 : la gestion des crises  http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000028338825&dateTexte&categorieLien=id

[8] Loi de programmation militaire, Rapport annexe, chapitre 1er, art. 4 « La dotation annuelle au titre des opérations extérieures est fixée à 450 millions d’euros [...] » etc. Avec ajustement en cours d’opérations par un financement interministériel. 

[9] Loi de programmation militaire, Rapport annexe, article 1.2.2: « La sécurité de la zone qui s’étend des rives de la Méditerranée orientale au golfe arabo-persique et jusqu’à l’océan Indien revêt une importance majeure pour l’Europe et l’équilibre international. La France est engagée par des accords de défense à Djibouti, aux Emirats arabes unis, au Koweït et au Qatar. Elle entretient une base interarmées à Abou Dabi, met en oeuvre un accord de coopération avec Bahreïn et souhaite développer des relations étroites avec l’Arabie saoudite ».

[10] Rappelées à ses alliés par le Président Obama, 4 septembre 2014, à la réunion Otan de Newport.

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 13:27

 

                                                         La-voix-de-son-maitregattaz-valls

 

 

 

"My government is pro-business", déclare Valls à Londres devant un parterre de financiers réunis lundi matin au coeur de la City à Londres.
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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 13:21

LES RAISONS D’UN DEPART

          http://terrecorse.tumblr.com/post/99310135820/les-raisons-dun-depart

image

Les élu(e)s de l’opposition de gauche à la municipalité de Bastia ont décidé de quitter le Conseil municipal après la décision du maire de soumettre au vote un rapport modifié au mépris des règles et de toute transparence.

Il s’agissait d’adopter un volet essentiel d’action sur l’habitat privé à la suite du Programme de Requalification des Quartiers Anciens Dégradés (PRQAD) signé en mai 2012 entre l’ancienne municipalité, l’Etat, la CAB, la CTC et le Conseil Général. Ce programme exceptionnel est décisif pour les habitants concernés et Bastia.

Ce volet du PRQAD concerne 91 immeubles et 781 logements pour un montant de travaux de près de 13 millions d’euros réalisés au moyen de deux dispositifs : une Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat “Copropriétés Dégradées” et une Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat “Renouvellement Urbain”. Ces deux OPAH intéressent les quartiers du Centre ancien historique de Bastia. Ces opérations sont la mise en chantier de projets voulus et engagés par l’ancienne municipalité. Mais le maire et la majorité municipale manœuvrent depuis que ces deux conventions d’OPAH ont été inscrites une première fois à l’ordre du jour du conseil municipal du 29 juillet dernier. A cette époque la commission d’urbanisme a proposé, bizarrement, de les retirer de l’ordre du jour. Le maire a néanmoins fait voter la convention OPAH “Copropriétés Dégradées” et a retiré la convention OPAH “Renouvellement Urbain”, sans explication.

Convoqué pour le 30 septembre, le Conseil Municipal était appelé à délibérer sur ces deux conventions qui ne comportaient aucun changement avec celles du 29 juillet. A noter que le maire proposait de délibérer à nouveau sur la convention OPAH “Copropriétés Dégradées”, pourtant votée à l’unanimité le 29 juillet (cf article de Corse Matin du 31 juillet) mais qui n’a pas fait l’objet d’une transmission à la Préfecture pour contrôle de légalité.

En réalité ce vote a disparu du compte rendu des délibérations du conseil municipal de cette date, affiché dans le hall de la mairie et non communiqué aux conseillers municipaux (graves irrégularités). A noter, qu’à ce jour, les compte-rendus des conseils municipaux n’ont jamais été portés à la connaissance du conseil municipal.

La commission d’urbanisme, convoquée pour le 25 septembre, a évidemment reçu, par messagerie électronique, les mêmes conventions que celles jointes à la convocation du conseil municipal. La commission a donné un avis favorable sans noter de modification particulière (les deux représentants de l’opposition étaient absents). Or, le lendemain 26 septembre, un certain nombre de conseillers municipaux ont reçu, par messagerie électronique, un texte indiquant : “annule et remplace” auquel étaient jointes les deux conventions d’OPAH. Ce message ne précisait pas la raison de ce changement de documents. Notre incompréhension était totale.

Ce changement était entaché de trois autres irrégularités:

-il n’a pas été adressé par la voie postale comme la convocation et les documents remplacés (à ce jour, le conseil municipal n’avait pas encore décidé l’envoi des convocations et documents par messagerie électronique);

-les conseillers municipaux n’ont pas tous reçu ce message;

- enfin cet envoi n’a pas respecté le délai de cinq jours francs comme pour les convocations du conseil municipal. Ce délai commençait donc le 27 septembre pour s’achever le 1er octobre. Au mieux, le conseil municipal aurait pu délibérer le 2 octobre. Or, le maire a demandé au conseil municipal de délibérer sur ces nouveaux documents transmis irrégulièrement et qui ne sont pas identiques à ceux que les services de l’Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat et la DREAL (Préfecture) ont visé respectivement les 3 et 25 juillet.

Cette confusion, ce manque de transparence cachaient le vrai mobile de ces changements intempestifs et inexpliqués. Nous avons découvert que dans la convention OPAH “Renouvellement Urbain”, dernière version, trois opérations majeures du Programme de Requalification Quartiers Anciens Dégradées étaient abandonnées : la passerelle de liaison douce entre le quartier Letteron et le Pontetto, le parking de 80 places rue du Colle, le parking de 300 places Gaudin.

Interrogé en séance sur ces importantes modifications, le maire a répondu que l’abandon de la référence aux parkings Gaudin et du Colle était sans conséquence sur les OPAH et que cela traduisait sa volonté de conduire des études sur la construction de parkings sans préciser leur localisation et leur importance. Ceci au nom de la consultation de la population, et, ajoutons, de promesses de campagne.

Nous avons fait observé qu’il n’était pas possible de délibérer valablement sur des documents modifiés irrégulièrement et sans transparence et que ces modifications pourraient entraîner de graves conséquences mettant en cause tout le programme de rénovation du Centre Ancien.

Ainsi, la construction du parking Gaudin (outre sa nécessité pour décongestionner le stationnement des quartiers autour du Palais de Justice) conditionne la réalisation des 37 logements sociaux locatifs du quartier Letteron. C’est à ce titre que ce parking peut bénéficier, par dérogation, de financements avantageux. S’il n’est pas réalisé ils seront perdus (1,3 million d’euros) Le parking de la rue du Colle permettra la construction de 31 logements sociaux locatifs.

La convention PRQAD signée en mai 2012 prévoit que si ces 68 logements sociaux locatifs ne sont pas réalisés, la ville peut perdre tout ou partie des financements de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine (plus de 7 millions d’euros).

Face à ces enjeux, les élus de l’opposition ont proposé que le conseil municipal vote sur les documents d’origine puisque les modifications proposées ne concernaient pas l’amélioration de l’habitat. Le maire a refusé, préférant faire valider politiquement par le conseil municipal, sans vrai débat et sans transparence, la remise en cause d’une partie importante du PRQAD adopté par la ville en 2011 et signé en 2012.

Nous avons quitté la séance pour dénoncer fortement ce déni de démocratie et pour alerter les citoyens.

A présent, la parole doit revenir à la population. Rapidement nous l’inviterons à débattre et à agir pour garantir la réussite de ce vaste programme d’intérêt général de près de 100 millions d’euros qui doit changer et améliorer profondément les conditions de vie dans ces quartiers et rendre la ville de Bastia encore plus belle.

LES ELUS COMMUNISTES AU CONSEIL MUNICIPAL

Francis Riolacci, Toussainte Devoti

Le 04 octobre 2014

 

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 13:17

                                                                        cgt caricature

 

 

LE SALAIRE DE NOTRE PRESIDENT DE JUNIAC : Monsieur 145 000 points, 430% d’augmentation, 900 000€ !

Publié le 31 Janvier 2012 par SUD AERIEN ROISSY ESCALE

 

M. Alexandre Begougne de Juniac, notre PDG, nous fait savoir qu’il faut se sacrifier et dit commencer par lui-même en renonçant à la moitié de sa prime de résultats….  

Il vient du ministère des finances, alors nous avons regardé son salaire de directeur du cabinet du ministre : 14 117 € par mois soit 169 404 € par an !

 

Le salaire brut de notre PDG, tel qu’il a été décidé au conseil d’administration, est de :

600 000€ en part fixe et de 600 000€ en part variable (divisée par deux donc)

 

Ce qui fait la coquette somme de

600 000 + 300 000 = 900 000 € !

C’est la paie annuelle de Juniac !

Cette somme est indécente ! 

  

On comprend l’ampleur du sacrifice de notre dirigeant,

il augmente son salaire de 430 % !

 

Pour le « sacrifice » des autres très hauts cadres, comme on ne connaît pas la valeur de leur part variable ni celle de leur part fixe, tous les trucages sont possibles, et on est sûr qu’ils vont se rattraper….

 

M. Gourgeon, qui était pilote de formation, directeur de la DGAC pendant 4 ans , avec 15 ans d’expérience à Air France, est nommé DG d’Air France le 1 janvier 2009. Il a gagné cette année là 900 000€ ... et a créé le scandale en 2010 parce qu’il avait passé son salaire à 1,3 million d’€, s’augmentant de 45% !

Nous constatons que M. de Juniac gagne la même chose, alors qu’il est bien plus jeune, vient d’arriver et  n’a aucune expérience du transport aérien…

 

M. Spinetta, en 2005, avec déjà 7 ans à la direction d’Air France, ne gagnait que 710 000€ … ce qui était déjà démesuré par rapport à son salaire d’entrée (150 000€ ) et les besoins d’un être humain normal.

 

     Les vrais diplômes de M. de Juniac :- Né à Neuilly,- Copain de Sarkozy ( et a passé ses vacances en Colombie dans la demeure non déclarée aux impôts du copain de la bande … )- Responsable division avionique chez Thalès ( les fameuses sondes Pitot)- Arrive du ministère des finances, c’est donc en partie grâce à lui que les finances de l’état sont plombées à force de cadeaux fiscaux aux plus riches…
 

Défendons nos salaires et nos emplois, ils veulent les baisser pour faire des surprofits sur notre dos.

 

Le transport aérien est en pleine croissance, nous devons obtenir le paiement de nos qualifications et une réelle augmentation de notre pouvoir d’chat face à une inflation et des taxes qui vont continuer à croître.

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