Délits d'opinion ou mercenaires ?
Dans une déclaration récente , Amnesty International a dénombré « 58 dissidents toujours emprisonnés à Cuba ». L’organisation souligne que « le seul crime commis par ces 58 personnes est d’avoir exercé de manière pacifique leurs libertés fondamentales ». Kerry Howard, directrice adjointe du programme Amériques d’Amnesty International, note qu’elle « les considère comme des prisonniers d’opinion. Ces personnes doivent être remises en liberté sans délai et sans condition ». Dans son communiqué, l’organisation internationale reconnaît que « la plupart ont été inculpés d’actes contre l’indépendance de l’Etat ». Amnesty International reconnaît également que ces personnes ont été condamnées « pour avoir reçu des fonds ou du matériel du gouvernement américain pour des activités perçues par les autorités comme subversives ou faisant du tort à Cuba ».
Question : dans quel pays, des personnes peuvent elles recevoir impunément de l'argent d'une puissance étrangère ?
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