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CHANTS REVOLUTIONNAIRES

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 12:41

 

 

 

 

                                                                   

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 12:27

 

                                                                MARE NOSTRUM-copie-1

130397969920061107110818-manifestacion-avt2Grève générale historique en Espagne

 

11 millions de grévistes, 3 millions dans les rues contre la réforme du travail poussent les syndicats prompts au « dialogue social »

 

Article AC pour http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/

 

Sixième grève générale en trente ans en Espagne, et d'après les chiffres divulgués par les syndicats, il s'agirait de la grève la plus suivie de ces trois dernières décennies, bien au-delà des journées de grève de 2002 ou 2010.

 

D'après les syndicats, 77% des salariés espagnols auraient participé à cette journée de grève générale du 29 mars, soit près de 11 millions de travailleurs qui ont répondu à l'appel lancé par les Commissions ouvrières (CC.OO) et l'UGT.

 

Cette journée de grève générale était convoquée sous le mot d'ordre « Non à la réforme du travail ! ».

 

La réforme du gouvernement de droite prévoit notamment une réduction des indemnités de licenciement, 33 jours par année travaillée (et seulement 20 en cas de licenciement économique) au lieu de 45, etl'institutionnalisation de « contrats aidés », payés par l'Etat pour le privé, contratsprécarisés au salaire minimum.

 

Si le patronat et le gouvernement ont tenté de minimiser le grève, ils ne pouvaient masquer l'ampleur d'une grève qui a paralysé les transports urbains des grandes villes : seuls 30% des métros de Madrid étaient en état de marche, 30% des trains régionaux et 20% des trains régionaux. Une grève qui a fait chuter la consommation d'électricité de 23%, preuve de la paralysie du pays.


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Cette grève se concluait ce soir par 111 manifestations dans tout le pays qui ont mobilisé sans doute au-delà des 2 millions de manifestants du 19 février dernier.

 

Les premiers chiffres dans des petites villes de province donnaient déjà le vertige : 100 000 à Vigo, 60 000 à La Corogne 50.000 manifestantes àValladolid ou 60 000 à Palma de Majorquec'est du jamais vu. D'après les derniers chiffres, on serait à 1 million de manifestants à Madrid, 400 000 dans les diverses cités d'Andalousie, 300 000 à Barcelone et à Valence.

 

« Le succès indiscutable » d'une grève qui touche tout le pays et tous les secteurs, et en premier lieu l'industrie

 

« Cette grève a été un succès indiscutable »a déclaré le secrétaire de l'UGT Candido Mendez lors de la conférence de presse. Ignacio Fernandez Toxo, des CC.OO, a partagé le constat ajoutant toutefois que « son ampleur a été plus importante dans l'industrie que dans les services ».

 

Difficile de contester, même dans les services, le succès d'une grève qui a mobilisé 70% du personnel de l'Education nationale, 70% des agents des collectivités locales, 85% du personnel universitaire et surtout 95% des travailleurs des transports.

 

Dans les secteurs où la grève a été moins suivie, comme dans la santé et les administrations centrales, un travailleur sur deux a arrêté le travail.

 

1245150.jpg C'est dans l'industrie que la grève a été le plus largement suivie, avec 97% de grévistes.

 

49 sites industriels ont été arrêtés et occupés par les travailleurs : dans les grandes usines autombiles (Nissan, Renault, Mercedes, Seat, General Motors), leurs équipementiers (Mann-Hummel, Fico Mirrors, Valéo), les mines (Hullera Vasco-Leonesa), l'aéronautique (EADS), la sidérurgie (Acerinox, Siderurgica Balboa, Sidenor).

 

Face à des manifestants qui appellent à une « grève générale illimitée », les syndicats lancent un appel à la « négociation » pour corriger la réforme !


 

Le potentiel de mobilisation est inédit en Espagne, 15 millions de personnes en grève, 3 milions dans les rues, une combativité qui se mesurait au mot d'ordre scandé par les manifestants à Madrid et ailleurs : « Allez, allez, ne reculons pas d'un pas sur la réforme. Grève générale ! »

 

Le mot d'ordre des syndicats lors de la conférence de presse étaient tout autre. Ainsi, Ignacio Fernandez Toxo, secrétaire des CC.OO, et président de la CES (Confédération européenne des syndicats) : « La grève est une grande occasion pour changer de cap et ouvrir une phase de dialogue. Nous sommes ouverts à la négociation, nous avons des propositions et des alternatives ».

 

Mais le dirigeant syndical met en garde le gouvernement, si il veut aller à la confrontation, « le conflit social ira en s'intensifiant, jusqu'à ce que nous obtenions la modification de la réforme du travail ».

 

Pas de retrait de la loi, mais sa modification ainsi qu'un appel à la « concertation », on est loin des attentes des grévistes du 29 mars.

 

Une « concertation sociale » déjà mise en œuvre par les deux syndicats qui avaient négocié avec le gouvernement des « services minimums »dans les grands services publics et dont Fernandez Toxo s'est revendiqué : « Nous avons respecté scrupuleusement les services minimums ! », a-t-il déclaré à la presse.

 

Le PSOE, responsable de 6 des 8 dernières lois de libéralisation du marché du travail, prompt à la récupération !

 

Un mouvement énorme freiné par les syndicats, et dont le PSOE, fidèle à sa tradition, est prompt à récupérer. A la tête de la manifestation madrilène, se trouvait outre le coordinateur général d'Izquierda Unida Cayo Lara, le secrétaire à l'organisation du PS, Oscar Lopez.

 

On retrouvait dans le cortège plusieurs dirigeants socialistes dont Manuel Chavez, ancien ministre du travail de 1986 à 1989,lui qui fut aussi le maître d’œuvre d'une contre-réforme du marché du travail dans le gouvernement Gonzalez, et qui a connu une des six grèves générales de l'après-franquisme, en décembre 1988.

 

C'est un comble que les socialistes qui furent à l'origine de six des huit contre-réformes du travail depuis la chute du franquisme, qui ont mis en œuvre avec zèle sous Zapatero la politique d'austérité de 2008 à 2011, puissent se faire passer pour l'opposition aux projets gouvernementaux !

 

L'avenir du mouvement social espagnol, entre pression de la base pour une grève générale illimitée et freins de directions syndicales acquises à la ligne du « dialogue social », est incertain. Toutefois, comme au Portugal et en Grèce, le potentiel existe pour construire un mouvement de convergence des luttes susceptible de mettre en échec les plans du gouvernement Rajoy.

 

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 12:19

 

 

 

La fortune personnelle de Sarkozy a progressé de 30% en 5 ans Par Sophie Chapelle

7130_1169377587209_1011036965_30495684_3565636_n.jpgPresque 650 000 euros de plus qu’en 2007. Soit une progression de 30% de son patrimoine en cinq ans ! Une performance qui ferait saliver bien des gestionnaires de fonds spéculatifs... C’est ce que révèle la publication de la déclaration de patrimoine de Nicolas Sarkozy dans le Journal Officiel. Une obligation légale dont se serait sans doute bien passé le président sortant.

Évalué à plus de 2,7 millions d’euros, le patrimoine de Sarkozy se compose pour l’essentiel d’assurances-vie (2,58 millions d’euros). Son salaire joue un rôle non négligeable grâce à l’augmentation de 170 % que le président s’est octroyé dès son arrivée à l’Élysée, passant de 14 200 à 21 000 euros mensuels).

L’Observatoire des inégalités rappelle qu’en 2010, 48 % du patrimoine national est détenu par 10 % des ménages les plus riches. Et les 1% les plus riches détiennent 17% de la richesse nationale. Tandis que les 10 % des ménages les moins bien dotés disposent de seulement 0,1 % de la richesse totale. Conclusion d’une étude de l’Insee, « les inégalités de patrimoine n’ont cessé de s’accroitre entre 2004 et 2010 ». Celui qui cherche aujourd’hui à revêtir le costume de « président du peuple » est-il sûr de son choix ? L’image du « président des riches » lui va si bien...

 

http://www.bastamag.net/article2250.html

 

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 11:54

                                                                    MARE NOSTRUM-copie-1

 

   

 

CLAP 36 édite des films documentaires indépendants. Plus d'une dizaine ont déjà été réalisés.


Nous vous proposons de visionner (dé)montage syrien (47 m
n), réalisé pendant le séjour en Syrie d’un groupe de journalistes francophone initié par Thierry Meyssan et Soeur Marie-Agnès de La Croix.


Vous y verrez Soeur Marie-Agnès de La Croix « très en colère », le général Aoun inventant un improbable proverbe français, et le patriarche maronite Bechara Boutros Rahi s’exprimant dans un français parfait.


Résistance

                                                                        

 

 site: Résistance

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 11:46

                                                                     FVER-PCF

 

Europe – Euro – BCE : on ne peut plus continuer !
Avec Jacques Nikonoff, porte-parole du M’PEP
par  lepcf.fr

Europe – Euro – BCE : on ne peut plus continuer !

 

Capital contre Travail... en Grèce comme en France !

Devant la violence des mesures antisociales prises en Grèce par l’Union Européenne et la Troïka (BCE, UE et FMI) qui met sous tutelle le parlement grec, la question de la solidarité internationale est essentielle.

Dans chaque pays, l’affrontement se fait entre les travailleurs et les capitalistes qui organisent et utilisent "la dette" pour écraser les salaires, les pensions... les services publics… l’emploi…

Récemment, le passage en force du traité du « mécanisme européen de solidarité (MES) » au Parlement français, voté à la majorité des députés de droite, censé aider les pays européens en difficulté, se traduira par une nouvelle ponction des peuples, pour rembourser en priorité les banques, contre toute relance économique.

Ont voté contre : les députés communistes et PG et un petit nombre de députés socialistes. Les députés et sénateurs socialistes se sont abstenus. De ce fait, le Sénat majoritairement à gauche a permis que ce mécanisme soit voté.

La colère gronde. L’incertitude du présent et de l’avenir s’accroit pour le plus grand nombre.

De fait, la question principale reste la possibilité ou non d’un vrai changement qui se traduise sur les revenus populaires, SMIC, RSA, pensions, salaires… La proposition du SMIC à 1700 € est entendue mais quel président va la concrétiser ? Personne n’a oublié les bilans de la gauche au gouvernement ! Et puis, il y a les nouvelles injonctions européennes qui conduisent à la misère en France et en Europe et à l’interdiction par la Troïka de tout développement économique.

Le lien entre monnaie unique et la vie chère est largement établi par rapport à l’envolée de toutes les dépenses de base.

Après trente ans de déceptions successives, qui peut encore croire qu’il suffit de voter et de changer de président pour que cela change durablement ?

L’Europe qu’ils mettent en place depuis des décennies, ce n’est rien d’autre :

- Qu’une politique économique, sociale et financière de notre pays encadrée par les règles de l’UE qui découlent de l’acte unique, marché unique, monnaie unique (Traité de Maastricht et de Lisbonne) ;

- Une Europe politique conçue comme un vaste marché où la Banque Centrale Européenne indépendante politiquement et financièrement, conditionne les budgets nationaux pour préserver la stabilité de l’euro afin d’épouser les seules exigences de profit du capital.

- L’Euro n’est rien d’autre que le bras armé de cette politique.

La souveraineté de la France est en danger !

Nous entendons nos amis, collègues, voisins, camarades… demandeurs de débats et d’informations sur la crise, sur les alternatives possibles et pas seulement sur le ou les candidat(e)s capables de battre N. Sarkozy.

Selon un sondage (un de plus), la majorité des sondés souhaite que la politique économique de la France soit fixée par le peuple et non pas seulement par les agences de notation, voir les "technocrates" des banques, du FMI, de la BCE… au service de la haine sociale de Sarkozy et de Le Pen. Mais il faut mesurer la violence des mesures visant la destruction de la Grèce. Ici la casse du travail soulève la colère, les luttes dans les entreprises en témoignent.

Des questions se posent :

- Certains demandent un contrôle politique de la BCE donc de l’Euro : n’est-ce pas là entrer dans le fédéralisme et donc acter une Europe fédérale ?

- Doit-on rester dans cette Europe du marché libre et non faussé pour l’aménager à la marge ou bien oser d’autres perspectives ?

- La monnaie unique ne permet pas de mettre en place une politique économique conforme aux besoins du monde du travail et remet en cause la souveraineté nationale.

- Réorienter la politique supranationale de la BCE, convaincre les financiers d’intégrer un objectif hypocrite de plein emploi dans les statuts de la Banque de Francfort, est-ce réaliste ou bien cacher d’autres objectifs ?

- Dans un pays où la résistance populaire déboucherait sur une rupture politique, faudrait-il respecter les directives européennes ou prendre le risque du refus et de la sortie ?

- Une révolution est-elle plus facile dans un seul pays où dans les 27 ensembles ?

- L’Union Européenne organise-t-elle la solidarité entre les peuples ? Malgré tout ?

Ne pas décevoir : mais prendre conscience de la force de la réorganisation du capitalisme.

Pour le PCF, la fin de l’Euro, la souveraineté monétaire ne s’apparentent pas à de simples slogans, ils vont avec une série de propositions fondamentales indispensables sans lesquelles nous pourrions décevoir l’espoir de réels changements.

Pour les communistes, le véritable problème n’est pas de gérer la crise du capitalisme, mais d’en sortir. Il faut avoir la volonté et le courage politique de la rupture avec ce monde de la finance, de l’argent facile, des privilèges. Il faut réhabiliter la création des richesses par le travail bien fait et utile, notamment par l’emploi qualifié, plutôt que de favoriser la rente et la spéculation, à l’origine de la crise capitaliste profonde. Nous parlons donc de développement… Il faut que le peuple français reconquiert sa souveraineté pour imposer une sortie du capitalisme et repenser la planification et les formes de nationalisations, de l’Etat.

Débattre ensemble des propositions suivantes qui leur apparaissent urgentes :

- Le refus d’honorer la dette, compte tenu des intérêts abusifs déjà payés.
- La dénonciation de l’euro, le retrait des traités de Maastricht et de Lisbonne.
- La réappropriation de la souveraineté nationale et populaire.
- Le retour à une Banque de France ayant une politique monétaire indépendante.
- La nationalisation, sans contrepartie, des banques avec un contrôle parlementaire et populaire.
- L’établissement de droits nouveaux pour les salariés et leurs organisations syndicales.
- La création de services publics orientés vers les besoins des citoyens, dans les domaines de la santé, de l’éducation, des transports, de l’énergie...
- L’établissement d’un véritable projet de justice sociale, d’augmentation des salaires et de création d’emplois.
- La sortie de l’O.T.A.N. et le développement de coopération avec les autres pays.


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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 11:28

                                                                          FRONTE DI MANCA

                                                                              melanchon

 

 

 

 

 

 

                                                                          

 
                                                                        LA BASTILLEjpg

                               La Bastille

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 16:04

 

 

 

 

 

                                                                     

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 15:58

 

 

Chassez la droite ! Votez Front de Gauche !

mercredi 28 mars 2012

 

Chassez la droite ! Votez Front de Gauche !

Nous sommes à 25 jours du premier tour de l’élection présidentielle. Ce seront quatre semaines décisives au cours desquelles la campagne du Front de Gauche et de son candidat, Jean-Luc Mélenchon, va continuer à monter en puissance. La Riposte appelle tous les militants et sympathisants du PCF et du Front de Gauche à s’y engager pleinement.

L’enthousiasme suscité par la campagne de Mélenchon est indiscutable. Même nos adversaires sont obligés de le reconnaître. Cela ne tient pas seulement – ni même principalement – aux talents d’orateur et de débatteur du candidat du Front de Gauche. Bien sûr, de telles qualités sont importantes. Mais l’essentiel est ailleurs : à chacune de ses interventions publiques, Mélenchon se fait le porte-voix de l’immense colère qui gronde dans les profondeurs du pays. Il dénonce les injustices du système capitaliste, désigne l’adversaire de classe et appelle à la résistance. Il dévoile les projets réactionnaires de la droite. Il secoue les résignations en rappelant que les travailleurs font tout, dans ce pays, et doivent donc « prendre le pouvoir », c’est-à-dire l’arracher des mains de la poignée de milliardaires qui sème la misère et le chaos. Ce discours combatif rencontre un écho chez des millions de jeunes et de travailleurs confrontés aux très graves conséquences sociales de la crise économique.

Le programme du Front de Gauche va à l’encontre de tout ce que la droite a fait ces dix dernières années. Il avance un ensemble de mesures dont la mise en œuvre se traduirait par une très nette amélioration du niveau de vie de la masse de la population. En même temps, nous savons que l’élection d’un gouvernement du Front de Gauche ne règlerait pas tout. Les mesures qu’il propose toucheraient directement aux intérêts des capitalistes. Elles se traduiraient par une baisse de la rentabilité de leurs investissements. Or il est évident qu’ils ne resteraient pas passifs. Ils contre-attaqueraient. Ils utiliseraient leur pouvoir économique pour tenter de contraindre le gouvernement à renoncer à son programme. Ils menaceraient de fermer des entreprises, de délocaliser, de supprimer des centaines de milliers d’emplois. Ils lanceraient une grève d’investissements. En bref, ils saboteraient l’économie dont ils sont les maîtres. Un gouvernement du Front de Gauche n’aurait alors que deux options. La première consisterait à faire marche arrière et renoncer aux réformes, comme l’a fait François Mitterrand à partir de 1983, sous la pression des marchés. La deuxième serait de passer à l’offensive en expropriant les capitalistes et en plaçant les grands leviers de l’économie sous le contrôle des salariés. Autrement dit, il faudrait empêcher les saboteurs de saboter en les privant de leur contrôle de l’économie.

                                                             site: La Riposte

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 15:39

 FRONTE-DI-MANCA

                                                                                 fdg melenchon

 

 

Portés par la volonté de changer la société, les institutions... les français éprouvent le besoin de se faire entendre dans la société comme à l'entreprise. Ces citoyens se reconnaissent dans le programme du Front de gauche qui met au centre de son projet l'Humain d'abord.le-programme-du-front-de-gauche

 L'Humain d'abord, c'est partager les richesses pour donner aux gens les moyens de vivre dignement.

L'Humain d'abord, c'est créer les conditions de l'émancipation pour que chacune et chacun puisse construire sa vie libéré(e) de toute domination.

L'Humain d'abord, c'est la planification écologique, c'est redéfinir nos modes de production, de consommation et d'échange en fonction de l'intérêt général de l'humanité et de l'impact de l'activité économique sur l'écosystème.

L'Humain d'abord, c'est la VIe République, c'est redonner le pouvoir au peuple, c'est en finir avec l'oligarchie politique installée depuis bien trop longtemps dans notre pays.

Nous vivons un début d’insurrection démocratique portée par un besoin de transformation sociale et de démocratie.

                                                           LA BASTILLEjpg

Après Nantes, Besançon, Villeurbanne, Montpellier, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Paris, Lille... investissez les places, les rues, les plages !

Rendez-vous le 3 avril à Vierzon, le 4 avril à Limoges, le 5 avril place du Capitole à Toulouse, le 14 avril au Prado à Marseille et, ensemble, sur toutes les places de nos quartiers, de nos villes et de nos villages.

 

                   Enfin, chacun de ces meeting sont retransmis sur Internet, depuis le site www.placeaupeuple2012.fr ou tout simplement sur le site du PCF : www.pcf.fr

                                                          MARS FDG

Alors que les principales chaînes de télévisions, plutôt que de se plier au principe d'égalité entre les candidats, ont décidé de supprimer tout débat ou émission politique dans cette période, au mépris du débat démocratique, ripostons en organisant des écoutes collectives des meetings et rassemblements qui vont marquer cette fin de campagne.

                                          prenez le pouvoir

 

                                                    pcf.frdrapeau rouge agité

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 09:46

 

 

 

Benoît XVI à Cuba: jésuitiquement vôtre

                                                                     

jesus-transmis-par-j-marchioni.jpg

                                                            image transmise par J.Marchioni

 

Les Cubains sont malins. Voici les gouvernants de la Grande Ile assurant un accueil « affectueux et massif » au pape Benoît XVI. Radios, télés, journaux ont consacré jusqu’à l’overdose émissions et articles à la visite de celui qui assure que « le marxisme comme il a été conçu ne correspond pas à la réalité », une déclaration satisfaisante pour  les autorités locales réagissant en soulignant les évolutions en cours. Partout des pancartes, des banderoles ont salué le pape alors que l’Eglise catholique à Cuba reste la plus faible d’Amérique latine. Pourquoi un tel déferlement d’amabilités officielles cubaines à l’égard du chef du Vatican débarquant à La Havane croyant pouvoir ainsi prolonger le séjour en 1998 de son prédécesseur Jean Paul II reparti sans avoir pu dispenser l’extrême onction à la révolution ?

Les manifestations  - limitées - d’hostilité au gouvernement cubain n’ont pas marqué la visite papale. Il est vrai que ce n’est pas à La Havane mais à Mexico que Benoît XVI aurait pu condamner le sort réservé aux femmes, la corruption, le non respect des droits de l’homme, les fortunes amassées sur le dos d’une population miséreuse et souvent illettrée. Ce n’est pas à Cuba que le pape aurait pu se recueillir à la mémoire des évêques et prêtres assassinés mais au Salvador, au Guatemala et … au Mexique. Ce n’est pas à Cuba qu’il aurait pu condamner l’interruption volontaire de grossesse, l’usage du préservatif contre le Sida, la pédophile des prêtres. A Santiago et à La Havane, le discours papal a été plutôt discret comme si le Vatican souhaitait seulement marquer le terrain tandis que les autorités cubaines jouaient à je t’aime moi non plus. Benoît XVI et les Castro n’ont-ils pas étudié chez les jésuites ?

 

José Fort  (blog de Jose Fort)

 

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