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CHANTS REVOLUTIONNAIRES

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 16:20

 

 

Depuis le 14 juin 1830, date du débarquement de l'armée française à Sidi-Ferruch (Algérie), la France est toujours en guerre quelque part dans le monde.

 

Si je me trompe, amis et camarades historiens, veuillez avoir la gentillesse de me corriger.

 

 

                                                                           U Cursinu Rossu u-cursinu-rossu.jpg

 

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 15:53

CMPcolombe.jpgLe Conseil mondial de la paix (CMP) dénonce l'intervention militaire brutale de la France au Mali, menée avec le soutien intégral de l'Union européenne et de l'OTAN. Elle constitue la poursuite de la mise en œuvre des plans impérialistes pour le contrôle géo-stratégique de régions entières du continent Africain, comme nous avons pu le voir en 2011 avec l'intervention sanglante et le bombardement de la Libye.

Leur objectif, ce sont les ressources énergétiques qui sont l'objet d'une lutte acharnée entre des forces et centres impérialistes qui se retrouvent néanmoins tous ensemble pour massacrer les populations, avec des prétextes variant selon les circonstances.

 

Le CMP exprime son indignation devant ce nouveau crime d'un impérialisme français qui se prépare également à intervenir, avec ses alliés de l'OTAN, en Syrie tout en menaçant l'Iran.



Nous demandons l'arrêt immédiat de l'agression et le retrait des forces militaires françaises ainsi que celles de l'armée européenne et de l'OTAN.



L'immense majorité de l'humanité et des peuples rejette les missions de « paix » de l'Union européenne et de l'OTAN qui ne défendent que les intérêts des multi-nationales tout en semant la mort et la misère parmi les peuples.

 

Nous dénonçons le massacre du peuple Malien par les forces impérialistes et lançons un appel à tous ceux épris du paix afin qu'ils s'opposent, en menant toutes les actions nécessaires, aux projets impérialistes en Afrique.

 

Traduction AC

 

Source : Solidarité Internationale PCF

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 15:21

 

                                                                             MARE NOSTRUM-copie-1

 

 La crise malienne prend en Algérie une dimension internationale

jeudi 17 janvier 2013, par as aswra

La prise d’otages en cours en Algérie, où sont retenus plusieurs dizaines d’expatriés, a définitivement transformé en crise internationale l’intervention française au Mali et pourrait lever l’hésitation des autres pays occidentaux qui tardent à s’associer.
Plus de 24 heures après le lancement de son attaque dans l’est de l’Algérie, près de la frontière libyenne, un groupe se présentant comme la "katiba des Moulathamine" affirme détenir 41 otages, dont des Américains, des Japonais et des Européens, et demande l’arrêt de l’opération française Serval au Mali. Les preneurs d’otages disent disposer de plusieurs dizaines de combattants armés de mortiers et de missiles antiaériens sur place et dans les environs de Tigantourine, à 100 km environ de la frontière algéro-libyenne, dans une région qui assure environ 10 % de la production algérienne de gaz naturel.
Le secrétaire britannique aux Affaires étrangères, William Hague, a confirmé qu’un ressortissant britannique avait été tué et que "plusieurs autres" étaient toujours retenus. "C’est une situation dangereuse et qui évolue rapidement", a commenté le secrétaire au Foreign Office. Washington a de son côté confirmé la présence d’Américains parmi les otages, sans préciser leur nombre. En déplacement à Rome, Leon Panetta, secrétaire américain à la Défense, a pour sa part affirmé : "Les États-Unis prendront toutes les mesures nécessaires et appropriées pour faire face à cette situation."
Mercredi soir, le P-DG de la société de services CIS Catering, Régis Arnoux, avait déclaré que 150 employés algériens étaient également retenus sur place. En Algérie, la presse a fait état d’un mort parmi les otages algériens et, selon d’autres informations, un Français a été tué.
À Paris, les autorités n’ont toujours pas confirmé la présence de Français parmi les otages, mais la chaîne de télévision France 24 a diffusé jeudi l’enregistrement d’un témoignage présenté comme celui d’un Français retenu selon lequel des Japonais, des Norvégiens, des Philippins, des Sud-Coréens et des Malaisiens figurent aussi parmi les otages. Toujours selon ce témoignage, les ravisseurs auraient contraint certains otages à enfiler des ceintures d’explosifs et menaceraient de faire sauter le site en cas d’intervention de l’armée algérienne. Pour Bruno Le Roux, président du groupe PS à l’Assemblée nationale, des Français figurent "sûrement" parmi les otages.
Le Premier ministre japonais Shinzo Abe, en déplacement au Viêtnam, a déclaré que "le Japon ne tolérera(it) jamais un tel acte", a rapporté l’agence Jiji.
Selon le gouvernement algérien, les assaillants sont dirigés par Mokhtar Belmokhtar, un vétéran d’Aqmi (al-Qaida au Maghreb islamique), qui a fondé son propre groupe en décembre dernier. Ils ne seraient originaires ni du Mali, ni de Libye, "ni d’aucun autre État frontalier". Le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, a assuré qu’Alger ne négocierait pas avec les preneurs d’otages. Ces derniers ont affirmé avoir repoussé une attaque des forces de sécurité, après avoir prévenu que toute tentative pour libérer les otages conduirait à une "fin tragique". Les preneurs d’otages exigent la fin des opérations militaires françaises au Mali, a rapporté l’agence de presse mauritanienne Ani. Et Sahara Media, une agence proche des insurgés, a déclaré que l’attaque avait été menée "en réaction à l’ingérence flagrante de l’Algérie autorisant l’usage de son espace aérien par l’aviation française pour mener des raids contre le nord du Mali".
La France reste de fait en première ligne sur le sol malien, où environ 1 700 soldats français sont déjà engagés dans l’opération Serval, lancée vendredi dernier pour contrer l’offensive des groupes islamistes qui contrôlent le nord du pays, ce qui fait de l’Hexagone une cible de premier plan. L’opération est entrée mercredi dans une nouvelle phase avec l’envoi de troupes au sol vers les zones de combat.
Pour Christian Rouyer, ambassadeur de France au Mali, la prise d’otages en Algérie donne à l’opération malienne "une dimension régionale et même internationale". "Certains en France ont pu douter de cette dimension, je crois que nous avons la preuve flagrante que ce problème dépasse la situation du simple Nord-Mali", a-t-il dit sur France Inter. Même si le président François Hollande a assuré mercredi que la France n’était "pas seule" dans cette opération, les soutiens de ses alliés tardent à se concrétiser.
Leon Panetta a assuré que les États-Unis prenaient "très au sérieux" l’intervention militaire française et qu’ils examinaient les conditions légales nécessaires à une éventuelle assistance américaine. Les premiers renforts en hommes à l’opération Serval devraient en fait provenir de la Cedeao, la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest. Celle-ci a annoncé que les troupes françaises recevraient prochainement le renfort de 2 000 soldats africains dans le cadre de l’opération menée au Mali sous mandat de l’ONU. Un premier contingent de 900 militaires nigérians pourrait arriver dès jeudi, avant l’envoi sur place de soldats tchadiens, nigériens et d’autres pays.

**

30 otages algériens échappent à leurs ravisseurs
Trente otages algériens ont réussi à s’échapper jeudi du site gazier en Algérie où ils étaient retenus en otage depuis mercredi à l’aube, a annoncé la Wilaya (préfecture) d’Illizi.
"Trente travailleurs algériens sont parvenus à s’échapper jeudi du site gazier de Tinguentourine (40 km d’In Amenas), où ils étaient retenus en otage depuis mercredi par un groupe terroriste armé" a indiqué cette source, citée par l’agence de presse APS.
Des otages algériens avaient déjà été libérés mercredi par petits groupes mais leur nombre n’avait pas été précisé.

**

15 étrangers dont un couple de Français, s’évadent
Quinze étrangers, dont un couple de Français, qui étaient retenus en otages par des islamistes sur un site gazier en Algérie, ont réussi à s’échapper, a rapporté jeudi la chaîne privée algérienne Ennahar citant une "source officielle".
"Quinze étrangers dont un couple de français ont échappé à leurs ravisseurs", a rapporté la télévision. Le patron de la chaîne, Anis Rahmani, a indiqué à l’AFP qu’elle citait une "source officielle". L’ambassade de France s’est refusée à confirmer.

 

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 16:54

 

                           Face à face à Beyrouth

mercredi 16 janvier 2013

 Au troisième jour devant l’ambassade de France à Beyrouth... Une tente a été dressée sur le trottoir d’en face pour abriter les protestataires des intempéries. Joseph est convaincu du retour au pays de son frère Georges et l’attend fermement.
(Photo de Mhammad Chrara, prise le 16 janvier 2013)

**

 

Vous pouvez écrire à Georges.
Nous lui remettrons votre mot à sa sortie de prison :

georgesibrahimabdallah@assawra.info
  
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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 16:44

Jusque là, on en parlait comme légalement impossible.  

 
                                Et bien, ça y est, c'est voté!
> > > > > > 

>   

> > > > > >
   Et voila, dernier acte, le tour de passe-passe est joué gagnant dans une indifférence quasiment générale.
> > > > > >
Les français vont pouvoir payer plus cher leur électricité pour alimenter encore un peu plus les actionnaires !   Bonne lecture ! 
> > > > > > 
PS : ATTENTION vis à vis des fameux nouveaux compteurs,    maintenant c'est individuellement qu'il faudra résister pour ne rien signer !!!  
> > > > > >  
AUJOURD'HUI DÉBUT ET FIN DE LA SESSION PARLEMENTAIRE AU SÉNAT POUR PASSER LE PROJET DE LOI NOME .......
> > > > > > 
et les Nouveaux Compteurs EDF !
> > > >
 DANS QUELQUES JOURS CE NE SERA PLUS UN PROJET MAIS UNE VÉRITABLE LOI SCÉLÉRATE AVEC
 APPLICATION AU 1 er JANVIER 2013.    
> > > > > >    
VOS FACTURES ET CELLES DE VOS AMIS VONT AUGMENTER
> ET ON NE POURRA PLUS DIRE QUE L'ON NE SAVAIT PAS .
> >
> > > > > >  
A DIFFUSER LARGEMENT ÉVIDEMMENT !
 
> > > > 
> > > > 
> > > >
> > > > >   APRÈS FRANCE TÉLÉCOM, LA POSTE, LA SNCF, ETC... MAINTENANT C'EST EDF.  
> > > > > >  Pour les fameux Compteurs qui devraient être installés bientôt et vont nous être facturés au prix

> > > > > >   
très très Fort (vers les 300 EUR ) et de surcroît, ne seraient pas fiables : il ne faudra rien signer
> > > > > >  

> > > > > > On ne peut pas refuser à EDF d’accéder aux Compteurs, et de les changer :

> > > > > >   
Par contre comme nous n’avons rien demandé, nous n’avons aucune Obligation    de Signer quelque Document que ce soit, et, du moment que nous n’aurons rien signé, EDF ne pourra pas nous obliger à payer ces Compteurs…. 
> > > > > >    

> > > > > > 
Attention aux Signatures :aucune, même pour la Réception de Travaux, etc.  
> > > > > >    

> > > > > > 
LES TARIFS D’ÉLECTRICITÉ VONT AUGMENTER POUR PERMETTRE LA CONCURRENCE !  
> > > > > >   
À TERME, L’USAGER PEUT S’ATTENDRE À DES HAUSSES SUBSTANTIELLES DE SA FACTURE, COMME CELA S’EST DÉJÀ PRODUIT POUR LE GAZ.
> > > > > >  
NE NOUS LAISSONS PAS FAIRE !
 
> > > > 
> > > > 
> > > >
> > > > >  C'est la Loi Nome, soit la N ouvelle O rganisation du M arché de l’ E lectricité, concoctée par le Gouvernement .
> > > > > >    

> > > > > > Le principe en est simple : constatant que la Concurrence ne fonctionne pas
  (plus de 96 % des Français restent Fidèles à l’Opérateur Historique (EDF), le Gouvernement a décidé de la créer… artificiellement
> > > > > > 
  La Loi étant passée dans une relative indifférence, cela s'est passé pendant les grèves de septembre 2010 contre l'allongement de la durée des droits à la retraite.
 
> > > > 
> > > >
> > > > >  Depuis le 1er Janvier 2011,    EDF a l'obligation de revendre à prix coutant (c'est çà dire au prix de sortie du transformateur) à ses Concurrents jusqu’à 25 % de sa Production d’Electricité.
 
> > > > 
> > > >
> > > > >  AUTREMENT DIT EDF DOIT FAIRE LE DEUIL SUR 25% DE SES BENEFICES.
> > > > > > 
En même temps EDF doit :
> > > > > >
Payer le surcout de la construction de l'EPR à Flammanville.
  • Investir en matériel neuf de remplacement pour augmenter la durée de vie des centrales nucléaires 900MW.
  • Prendre en compte le retour d'expérience de l'accident de Fukushima, pour mettre si besoin des parades en place , le but étant d'assurer et maintenir un haut niveau de sureté des installations nucléaires en France.
 Un Véritable hold-up !
 
> > > > 
> > > > 
> > > >
 Les nouveaux fournisseurs d‘Electricité ( POWEO, DIRECT ENERGIE, GDF SUEZ) vont se voir offrir un quart de la Production,  pour qu’ils puissent réaliser des Profits, au seul bénéfice de leurs Actionnaires.
 
> > > > 
> > > > 
> > > >
 C’est une première que d’obligerune Entreprise, dans le Monde de libre et non faussée ", à céder une partie de ses Atouts à des Concurrents qui produisent peu ou pas du tout d’électricité.
> > Si vous êtes scandalisé, diffusez au moins ce message !
 
> > > >
> > > > > >  Une fois livré à la Concurrence et surtout au " Privé "  on ne peut rien faire, c'est trop tard.

> > > > > > 
Le Prix de l'Electricité sera fixé par des Groupes Privés qui en fait seront des Filiales    d'un Seul et Unique Groupe ! Vous n'y croyez pas ?
> > > > > >   
Alors remettez vous dans le contexte de nos chères Autoroutes Françaises que nous, nos Parents et Grands Parents avons payé avec nos impôts et qui ont été Vendues et Bradées à de Grands Groupes Privés …
> > > > > >    

> > > > > >  Cela profite à qui ? Et le Prix à payer pour y circuler ? N'est-ce pas scandaleux ? 

> > > > > > 
Mais c'est trop tard, car ce Réseau Routier n'appartient plus en totalité à l'Etat !
> > > > > >   
Et pour le reste ce sera pareil !
> > > > > > 

> > > > > >  Aujourd'hui le service public coûte cher, mais ce n'est rien face à ce qui nous attend
 si nous le bradons à des Groupes Privés !
> > > > > > 
> > > >

> > > > > >    
SVP faites Circuler sans modération
 Ce message, surtout RESISTONS
 Ne nous laissons pas faire!
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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 16:31

                                                                          MARE NOSTRUM-copie-1

 

 

source:Liban Résistance

 

 

L’UNIVERSITÉ D’ALEP, CRÉATRICE D’UNE FUTURE GÉNÉRATION DU SAVOIR, DE L’ART, DE L’ARCHITECTURE ET DE L’INFORMATIQUE, VICTIME D’UN DOUBLE ATTENTAT TERRORISTE…
Le pire de leurs ennemis, un lieu du savoir, vient de témoigner de leur sauvagerie : quatre vingt deux tués et plus de cent soixante blessés, avec une destruction des superstructures, c’est le bilan du double attentat terroriste perpétré contre cette université implantée dans un secteur sous contrôle de l’armée arabe syrienne.
Parmi les tués, des étudiants et des familles déplacées et hébergées dans les enceintes de la cité universitaire.
Et comme d’habitude, leurs relayeurs se pressent pour accuser l’aviation de l’armée arabe syrienne !!!!
Quant à l’agence Infos-Asie, elle affirme que deux obus de mortiers se sont abattus sur l’enceinte universitaire en provenance des régions occupées par le Front al-Nosra d’Al-Qaïda.

L’AFP rapporte la version d'une source militaire qui assure qu'il s'agit d'un missile sol-air tiré par les rebelles et qui a raté sa cible et est tombé sur le campus.

Syria Truth rapporte que ce double attentat, selon le premier constat in situ, est dû à des voitures piégées littéralement pulvérisées sur les lieux.

Enfin, selon Infos-Asie, les parents et proches des victimes, se rendant à l’hôpital, ont manifesté, scandant des slogans hostiles à l’ASL et au Front al-Nosra.


LIBAN RÉSISTANCE 

Dénonce ce double attentat qui ne peut être perpétré que par les forces de l’obscurantisme et du fascisme…

Ces forces ont frappé le lieu de la connaissance et de l’ouverture aux grands acquis de l’humanité, un lieu dont le message est non seulement incompatible avec leur modèle de société, mais aussi et surtout dérangeant…

 

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 10:18

 

 Une pétition pour le droit de vote, aux  les élections locales dès  2014 à signer:  Le PARTI COMMUNISTE FRANCAIS est l'un des signataires.

 

Le collectif « droitdevote2014 »
138 rue Marcadet, 75018 Paris

http://droitdevote2014.org

 

Droit de vote pour les résidents étrangers dès 2014 !

Le suffrage universel a été une longue conquête dans l’histoire de la République.

Si, en 1793, lors de la Révolution, la première République en adopta le principe, il fut réellement mis en oeuvre par la IIe République, après la Révolution de 1848. Mais le suffrage resta limité aux hommes jusqu’en 1944, lorsque fut enfin instauré, à la Libération, le droit de vote pour les femmes. Trente ans plus tard, en 1974, l’âge du droit de vote fut abaissé de 21 à 18 ans.

En 1998, les étranger(e)s citoyen(ne)s des pays de l’Union européenne résidant en France ont été admis(es) au vote et à l’éligibilité pour les élections municipales et au Parlement européen.

En mai 2000, l’Assemblée nationale vote une proposition de loi accordant le droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales pour les étranger(e)s extracommunautaires, qui résident légalement sur le territoire depuis cinq ans au moins. Le Sénat, à son tour, le 8 décembre 2011, adopte cette même proposition. Il reste à mettre en oeuvre la révision constitutionnelle nécessaire.

De nombreux(ses) responsables politiques de gauche, et aussi du centre et de droite, se sont exprimé(e)s en faveur de ce droit.

En 2012, lors des élections présidentielles et législatives, la nouvelle majorité a inscrit cette réforme dans son programme. Conformément à ses engagements dans sa déclaration de politique générale, le Premier ministre, en juillet puis en septembre, a promis qu’il y aurait un projet de loi en 2013.

Près de deux millions et demi d’étranger(e)s extracommunautaires vivent et travaillent dans des communes où elles/ils participent à la vie locale et paient des impôts. Nombre d’entre elles/eux sont responsables d’associations, délégué(e)s de parents d’élèves, délégué(e)s syndicaux(cales)...

La vie locale est un lieu essentiel de la vie démocratique et il n’existe aucune raison pour que toutes celles et tous ceux qui résident sur ces territoires n’y participent pas de façon égale. Il est temps de franchir une nouvelle étape pour l’élargissement du suffrage universel, la démocratie, la cohésion sociale et pour l’égalité des droits.

Les promesses électorales faites depuis plus de trente ans, approuvées par les électeurs(trices) à au moins quatre reprises, depuis 1981, doivent maintenant être tenues.

Nous appelons à la mobilisation citoyenne pour que cette réforme, essentielle pour une République ouverte et fraternelle, soit mise en oeuvre dès les élections municipales de 2014.
Monsieur le président de la République,

Nous vous demandons d’engager le processus de révision constitutionnelle permettant d’instaurer le droit de vote et d’éligibilité pour nos concitoyen(ne)s résident(e)s étranger(e)s aux élections locales, dès les municipales de 2014.

Cet impératif d’égalité et de démocratie est urgent !

 

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 10:07

 

                                                                              CERVEAU.gif

 

 

al-CIA-daLa puissance médiatique s’est rapidement mise en branle pour apporter son soutien à l’intervention militaire  de la France au Mali. L’article du Time : « the crises in Mali : will french air stries stop the islamist avance ? » montre décidément que les vieilles ficelles ont toujours cours, en l’occurrence « la guerre au terrorisme ». Le Time soutient que cette intervention a pour but d’empêcher les terroristes islamistes de s’emparer d’une partie de l’Afrique avant d’étendre leur influence jusqu’en Europe. Dans ce même article, le journaliste affirme « qu’il y a une crainte, particulièrement fondée, que le Mali, devenu islamiste radical, menace par-dessus tout la France dans la mesure où la plupart des islamistes sont francophones et qu’ils ont des parents en France. (Des indications issues des milieux du renseignement à Paris laissent entendre que des candidats au djihad, partant de la France pour rejoindre le Mali afin de s’entraîner et y combattre, avaient été identifiés. AQMI (Al-Qaïda au Maghreb islamique), un des trois groupes qui composent l’alliance islamiste au Mali et qui en constitue une grande partie de l’encadrement, a également désigné la France, la représentante de la puissance occidentale dans la région, comme objectif premier pour les attaques ».

 

Ce que le Time ne raconte pas au lecteur, c’est qu’AQMI est étroitement lié au Groupe islamique combattant en Libye (que la France a soutenu durant l’invasion de la Libye par l’OTAN en 2011, en lui fournissant des armes, assurant sa formation, et l’appuyant même de ses forces spéciales et de ses moyens aériens). Bruce Riedel, qui a travaillé à la CIA de 1977 à 1990 et qui est aujourd’hui un des experts de l’association Brookings Institution, écrivait en août 2011 un article intitulé « l’Algérie sera la prochaine à tomber », dans lequel il prédisait que le succès des coalisés en Libye encouragerait les éléments radicaux en Algérie, et AQMI en particulier. Entre les violences extrémistes et la perspective des frappes aériennes françaises, Riedel espérait en fait voir la chute du gouvernement algérien. Ironie du sort, il observait que « l’Algérie exprimait des préoccupations selon lesquelles la crise libyenne pouvait conduire à la création d’un sanctuaire important pour Al-Qaïda et d’autres extrémistes djihadistes ». Et c’est précisément grâce à l’OTAN que la Libye est devenue ce qu’elle est aujourd’hui, à savoir un refuge sponsorisé par l’OTAN… pour Al-Qaïda. Avec la présence d’AQMI au nord du Mali et la participation française aux frappes dans ce secteur, nous saurons très rapidement si le conflit ne s’étendra pas à l’Algérie limitrophe.

 

Il est à noter que Riedel, qui est coauteur du livre « which path to Persia ? », pousse ouvertement à armer un autre groupe défini comme terroriste par le département d’État américain, l’organisation Mujahedin-e-Khalq, dans le but de provoquer le chaos en Iran et aider à faire pression sur l’administration locale, ce qui illustre clairement l’usage qui peut être fait des formations terroristes dans l’exécution des basses œuvres en matière de politique étrangère des pays occidentaux. 

 

Selon un autre analyste géopolitique, Pepe Escobar, un lien très étroit unit le Groupe islamique combattant en Libye et AQMI. Dans un de ses articles intitulé « How-Qaeda got to rule in Tripoli », il écrit : « le numéro deux d’Al-Qaïda, Zawahiri, a annoncé officiellement la fusion entre les deux groupes. Á partir de là, le Groupe islamique combattant en Libye et AQMI sont les deux faces d’une même pièce, dont Belhadj en est l’émir ».  Abdelhakim Belhadj, chef du Groupe islamique combattant en Libye, a obtenu des armes, de l’argent et la reconnaissance de l’OTAN lors de la tentative de renversement de la Jamahiriya arabe libyenne, et il a depuis jeté le pays dans la guerre civile. Cette intervention a vu aussi l’épicentre de la révolte, Benghazi, se détacher lentement mais sûrement de Tripoli pour devenir une région aujourd’hui semi-autonome, « l’émirat du terrorisme ». La dernière campagne de Belhadj doit probablement se dérouler aux confins de la frontière turco-syrienne, où il participe à la logistique de l’armée syrienne libre… avec la bénédiction de l’OTAN.


Extension de l'islamisme libyen

 

L’intervention des coalisés en Libye a ainsi ressuscité le Groupe islamique combattant en Libye, une formation affiliée à Al-Qaïda. Il avait déjà combattu en Irak et en Afghanistan. Il envoie aujourd’hui des combattants, de l’argent et des armes à partir du Mali vers la Syrie, là encore grâce aux bonnes faveurs de l’OTAN. Le redoutable « califat » dont les néoconservateurs nous ont rebattu les oreilles pendant une bonne dizaine d’années est en train de prendre réellement forme du fait des intrigues menées par les États-Unis, l’Arabie saoudite, le Qatar et Israël… et non de l’islam, régulièrement instrumentalisé par ces derniers.

 

Le Groupe islamique combattant en Libye, qui est en train de mener la bataille en Syrie avec l’assentiment de la diplomatie française, a donc officiellement fusionné avec Al-Qaïda selon le combatting terrorism center de West Point. Selon ce centre, AQMI et le Groupe islamique combattant en Libye n’ont pas seulement des objectifs idéologiques, mais aussi stratégiques et tactiques. Les armes que le groupe a reçues proviennent d’AQMI et ont probablement passé à travers les frontières poreuses du Sahara et du nord du Mali. En effet, ABC News a relaté dans un article en date du 10 novembre 2011 qu’un important représentant d’un groupe affilié à Al-Qaïda avait affirmé que l’organisation avait fait main basse sur quelques milliers d’armes disparues durant les événements libyens, alimentant les craintes des Occidentaux. « Nous (Al-Qaïda, NDLR) sommes les premiers bénéficiaires des révolutions arabes », a dit à l’agence de presse mauritanienne ANI Mokhtar Belmokhtar, un des leaders nord-africains d’AQMI.

 

Un autre conflit éclatait donc au nord du Mali dès la fin des combats en Libye. Ce n’est pas un hasard. Cela fait partie d’une vaste entreprise préméditée de réorganisation géopolitique qui a commencé avec la chute de Kadhafi. La Libye est utilisée aujourd’hui comme tremplin pour envahir d’autres pays bien ciblés, tels le Mali, l’Algérie et la Syrie. Les terroristes armés jusqu’aux dents, financés et appuyés par l’OTAN, ne sont rien moins que les mercenaires de ce projet. L’Algérie a réussi jusque-là à déjouer les plans subversifs échafaudés par les États-Unis en 2011 dont les révolutions arabes ont été la partie visible de l’iceberg, mais elle n’a certainement pas échappé à l’attention de l’Empire, qui aimerait bien transformer toute une région qui s’étendrait de l’Afrique jusqu’aux abords de Pékin et Moscou, en utilisant les terroristes tantôt comme casus belli à de futures invasions, tantôt comme mercenaires de leurs sombres besognes.

 

L’Empire apporte la guerre comme la nuée l’orage. Lui résister, de quelque manière que ce soit, est un véritable acte de Résistance.

 

Capitaine Martin 

                                                   source: résistancs-politique
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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 08:30

                                                                  MARE NOSTRUM-copie-1

 

 

 

Les rebelles étrangers pour un Etat islamique en Syrie

lundi 14 janvier 2013,

 Regroupés autour d’un feu dans un bâtiment en ruines d’Alep, des combattants djihadistes étrangers clament haut et fort leur détermination à créer un Etat islamique en Syrie, que cela plaise ou non aux autres rebelles cherchant à renverser Bachar al Assad.
Parmi les autres révolutionnaires et la population civile, ces étrangers inspirent à la fois le respect pour leur discipline de fer et la crainte de les voir retourner leurs armes contre leurs anciens alliés si le régime syrien tombe.
A Karm al Djabal, un quartier dévasté d’Alep, un combattant turc manifeste ainsi sa volonté d’imposer la loi islamique, la charia, qui inquiète de nombreux Syriens mais aussi l’Occident et même certaines puissances régionales appuyant la rébellion.
"La Syrie (...) sera un Etat islamique où règnera la charia et nous n’accepterons rien d’autre. La démocratie et la laïcité sont totalement rejetées", prévient ce combattant disant s’appeler Khattab.
Barbe hirsute et mitraillette sur l’épaule, il met en garde quiconque oserait s’élever contre ces projets. "Nous les combattrons, même si ce sont des révolutionnaires ou n’importe qui d’autre", dit cet homme qui a quitté son métier de chauffeur pour combattre pendant deux ans en Afghanistan avant de rejoindre la Syrie au cours de l’été 2012.
Membre de l’unité rebelle Djoundollah, Khattab parle à peine arabe - ses propos ont été traduits par un interprète syrien - et il refuse d’être filmé ou photographié afin de ne pas être identifié en Turquie.
Pendant des mois, le soulèvement contre Bachar al Assad, né en mars 2011, est resté en grande partie pacifique avec des manifestations à travers le pays. Puis certains ont pris les armes et les combattants étrangers ont afflué.
Pour beaucoup de rebelles et d’habitants d’Alep, la crainte occidentale des djihadistes est exagérée.
A leurs yeux, les pays occidentaux se servent de la présence de ces islamistes radicaux comme d’un prétexte pour ne pas fournir aux rebelles les armes dont ils ont besoin, ce qui prolonge de fait le pouvoir de Bachar al Assad.
A Alep, la plus grande ville de Syrie dans le nord du pays, l’influence de ces djihadistes est évidente. Nombre de rebelles y circulent à bord de voitures ornées de drapeaux noirs portant des inscriptions religieuses.
Il est difficile d’établir le degré de coordination entre ces combattants islamistes et les unités de l’Armée syrienne libre (ASL), cette force locale hétéroclite composée de civils et de déserteurs.
Beaucoup de rebelles saluent l’excellence au combat et le courage de la plupart de ces djihadistes, souvent passés par l’Afghanistan et l’Irak, qui ne se mêlent guère aux autres combattants.
D’autres, en revanche, sont des novices dans la "guerre sainte" qu’ils livrent à Al Cham, le terme par lequel ils désignent la "grande Syrie" des débuts de l’islam au VIIe siècle.
Parmi ces derniers, Abou al Harith est un jeune homme trapu de 27 ans à la peau claire. Originaire d’Azerbaïdjan, il porte un badge noir orné de slogans islamiques sur sa tenue verte de combat.
"C’est la première fois que je participe à un djihad car (...) personne n’est pire que Bachar. Même Staline était quelqu’un de miséricordieux comparé à lui", affirme-t-il dans la base rebelle de Karm al Djabal, un quartier tellement dévasté qu’il semble avoir été frappé par un tremblement de terre.
Les effectifs de ces djihadistes sont difficiles à évaluer.
Beaucoup d’entre eux ne cachent pas leur méfiance à l’égard de l’ASL et des puissances occidentales et régionales qui la soutiennent.
"Tous ces discours au sujet de la liberté, de la démocratie et d’un Etat laïque et d’un Etat de libertés générales à l’image de l’Amérique ou du système européen, les islamistes n’ont rien à faire de tout cela", dit Abou Mouaouiyah, un combattant de 25 ans, qui dit venir des environs d’Alep et sert d’interprète pour les étrangers.
"Il y a des factions combattantes telles que l’Armée syrienne libre qui sont liées à d’autres pays tels que la Turquie, l’Arabie saoudite et le Qatar et ces pays sont eux-mêmes liés au centre névralgique que sont les Etats-Unis", ajoute-t-il. "L’Amérique est hostile à tout ce qui est islamique. C’est une évidence pour tout le monde."
Tous les combattants étrangers n’ont pas une approche aussi radicale de la situation.
Après avoir participé au renversement de Mouammar Kadhafi en 2011, Abou Ahmed al Libi est arrivé en Syrie il y a huit mois en compagnie d’un groupe de 15 Libyens. Cet homme à la stature imposante s’est vite lié de camaraderie avec les combattants syriens de son unité. Il n’hésite pas à serrer la main de la journaliste, un geste rare parmi les combattants islamistes.
Abou Ahmed al Libi dit avoir formé une quarantaine de Syriens en Libye avant de les ramener dans leur pays. Il estime à environ 200 le nombre de combattants libyens en Syrie.
En décembre, les Etats-Unis ont certes reconnu la Coalition nationale formée par les rebelles comme le seul représentant légitime de la Syrie mais ils ont aussi qualifié le Front al Nousra, affilié à Al Qaïda, d’organisation terroriste après des attentats à Damas et à Alep. Cette décision n’a pas été comprise par de nombreux rebelles.
Les combattants du Front al Nousra ont la réputation d’être extrêmement disciplinés et il est difficile de trouver des Syriens critiques à leur égard. Abou Abdo dit avoir tenté d’intégrer ce groupe mais avoir été rejeté parce qu’il fume.
Chef du conseil militaire révolutionnaire de la province d’Alep, le colonel Abdouldjabbar Okaïdi défend le Front al Nousra. "Nous ne partageons peut-être pas leur philosophie", a-t-il récemment déclaré à Reuters. "(Mais) ce sont des combattants acharnés et loyaux (...) et au bout du compte, ils combattent le régime à nos côtés. Et nous n’avons pas vu leur extrémisme, ils n’ont rien fait qui prouve que ce sont des terroristes. Quiconque se bat contre le régime est un moudjahid et un révolutionnaire et nous l’embrassons sur le front."
Selon lui, le Front al Nousra ne dispose pas de plus de 500 combattants à Alep.
Par contraste, la popularité de l’ASL s’est érodée en raison de certains cas de pillage.
"L’unité la plus propre sur le terrain, sans la moindre corruption dans ses rangs, c’est le Front al Nousra. Le groupe jouit désormais d’un soutien populaire", dit Abou Ahmed, chef d’une unité des brigades Al Taouhid à Alep. "Mes idées sont différentes de celles du Front al Nousra mais telle est mon expérience avec eux."
Certains rebelles ne cachent cependant pas leur pessimisme.
"Nous craignons qu’après la chute du régime, ils essaient d’imposer leurs vues au peuple syrien. Leur objectif est que la Syrie devienne un Etat islamique et l’Armée syrienne libre est à l’opposé de cela", déclare Sakr Idlib, combattant rebelle de 24 ans en survêtement et baskets.
Marchant dans une partie dévastée du quartier de Soukkari à Alep, il lâche avec inquiétude entre deux bouffées de cigarette : "Nous craignons qu’il y ait des problèmes avec le Front al Nousra et les groupes du même genre après la chute du régime."
Abou Ahmed balaie ces inquiétudes et sa femme, voilée mais le visage découvert, intervient dans la conversation : "Le Front al Nousra a une idéologie islamique et en fin de compte, nous sommes musulmans."

(14 janvier 2013 - Avec les agences de presse)

 

Quatre-vingt-trois étudiants tués à l’université d’Alep

 

Un double explosion a coûté la vie mardi à 83 étudiants à l’université d’Alep où débutaient les examens du premier semestre, rapporte l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), proche de l’opposition.
Les rebelles et le régime de Damas se sont rejeté la responsabilité de cet acte, qui aurait été commis à l’aide de deux roquettes, selon la télévision publique. Un combattant rebelle a estimé qu’il pouvait s’agir de missiles sol-sol, tandis qu’un étudiant a parlé d’un avion de chasse.
Alep, ville la plus peuplée de Syrie où la ligne de front s’est stabilisée après l’offensive lancée par les rebelles en juillet dernier, est contrôlée pour moitié par les insurgés et pour moitié par les forces fidèles au président Bachar al Assad.

 

 

L’université est située dans la partie gouvernementale.

 

 

source "Assawra"

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16 janvier 2013 3 16 /01 /janvier /2013 08:08

Pierre Laurent (archive)

 - le 15 Janvier 2013

 

Emploi: les parlementaires Front de gauche diront non à l'accord

 

"Nous, nous n'accepterons pas en tant que parlementaires de transcrire cet accord en l'état", a affirmé Pierre Laurent ce mardi. Le sénateur communiste appelle le Parlement à "trouver d'autres bases" que cet accord trouvé vendredi entre le Medef et trois syndicats.

"Travaillons et allons plus loin que l'accord sur la sécurisation de l'emploi, parce que (...) malheureusement ce qu'il y a d'abord dans l'accord, c'est des mesures de sécurisation du licenciement pour les patrons", a-t-il expliqué lors de l'émission Le Talk Orange-Le Figaro. "On sait ce que ça veut dire. On fait du chantage aux salariés en disant "on va maintenir votre emploi, mais augmenter votre temps de travail et réduire votre rémunération". A l'arrivée, quelques mois ou quelques années plus tard, les salariés ont eu et l'accord et la suppression de leurs emplois"

Reculer les droits sociaux

Constatant les inquiétudes à la gauche du parti socialiste et chez les syndicalistes, le secrétaire national du PCF estime: "Il y a matière à d'autres bases que celles trouvées dans cet accord CDFT – MEDEF. Contrairement à ce que dit Pierre Moscovici, je parie sur le fait qu'il y aura un débat parlementaire. Je ne vois pas au nom de quel argument on va demander à une majorité de gauche de voter un accord qui ferait reculer les droits sociaux, alors que la vocation de la gauche est de faire le contraire."

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