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CHANTS REVOLUTIONNAIRES

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26 septembre 2017 2 26 /09 /septembre /2017 07:16
Conseil de Sécurité de l'ONU: Sauver de la décapitation le jeune saoudien Ali Mohammed Al-Nimr
Conseil de Sécurité de l'ONU: Sauver de la décapitation le jeune saoudien Ali Mohammed Al-Nimr
20 000
18 809

18 809 signatures. Atteignons 20 000

 

 

Pourquoi c'est important

Empêchez la décapitation et la crucifixion en public d'Ali Mohammed Al-Nimr

Au moment où l'Arabie Saoudite a pris la présidence du panel des droits de l'homme de l'ONU, Ali Mohammed Al-Nimr, un jeune saoudien de 21 ans a été condamné par les autorités de ce pays à la décapitation et à être crucifié cette semaine, pour la simple raison qu'il est chiite et qu'il a revendiqué que lui-même et les membres de sa communauté religieuse soient traités sur un pied d'égalité avec ses concitoyens sunnites.

Ali Mohammed Al-Nimr a été arrêté alors qu'il n'était âgé que de 17 ans. Après un simulacre de procès vite expédié, il a été condamné à être décapité et crucifié sur la place publique pour avoir participé à une manifestation pacifique.

La communauté internationale, représentée par l'ONU, peut-elle admettre que le pays qui préside l'une des plus importantes instances des droits de l'homme de cette même ONU procède à un véritable assassinat sous couvert de condamnation judiciaire ?

L'ONU, son Conseil de sécurité, son Secrétariat général, les représentants de ses pays membres doivent tout faire pour sauver Ali Mohammed Al-Nimr. Sinon, comment peuvent-ils expliquer à ceux qu'ils sont censés représenter le fait qu'ils aient intronisé à la tête d'une importante instance de défense et de promotion des droits de l'homme un pays qui bafoue au quotidien de la manière la plus brutale et la plus rétrograde ces mêmes droits de l'homme

 

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26 septembre 2017 2 26 /09 /septembre /2017 06:53

Contre l'augmentation de la CSG et pour la revalorisation des pensions (Appel au rassemblement)

image

 

Dans le cadre de l’appel lancé par l’Union syndicale des retraités CGT le PCF de Haute Corse s’adresse aux militants et sympathisants communistes afin qu’ils participent nombreux au rassemblement du :

 

Jeudi 28 septembre à partir de 10 H devant la Préfecture de Bastia

 

pour déjouer le piège tendu par le gouvernement Macron Philippe visant à opposer actifs et retraités. Il en est ainsi de la volonté de faire dépendre l’augmentation du pouvoir d’achat des salariés de la baisse de celui des retraités. Le cynisme de la mesure réside dans la culpabilisation des uns et des autres au nom de la solidarité intergénérationnelle. Le comble c’est qu’en définitive l’augmentation des salaires des actifs est un leurre destiné à briser le système de répartition indispensable au maintien de la sécurité sociale.

Opposer les victimes entre elles, est une méthode inspirée des pires stratégies managériales d’entreprise. Le racket des 15 millions de retraités est d’autant plus injuste qu’ils ont été créateurs de richesses en activité, et ensuite partie prenante de l’économie du pays voire de la stabilité ou la progression même de la croissance. Il est donc illogique d’assécher cette dynamique économique et sociale vertueuse.

 

Quel impact en chiffres ?

 

Si cette mesure antisociale devait être appliquée la CSG passerait de 6,6 % à 8,3 % soit une augmentation de 25 % soit une perte de pouvoir d’achat de :

 

- 204 € par an pour une pension de 1 000 € par mois,
- 306 € par an pour une pension de 1 500 € par mois,
- 408 € par an pour une pension de 2 000 € par mois

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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 15:38
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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 14:21

Une belle manif à Bastia contre Macron

Ce jeudi 21 septembre plus de 300 personnes ont manifesté ce matin à Bastia. Après s'être rassemblés devant la Préfecture et écouté la déclaration de la CGT (texte joint) les manifestants ont traversé la ville en musique rejoints par des lycéens. on lâche rien.

 

Le 12 septembre nous étions près de 500 000 à manifester dans 200 villes de France et environ 1500 en Corse. Tous ceux qui pariaient sur l’isolement de la CGT et l’échec des mobilisations en sont pour leurs frais. Comment affirmer et croire que le mouvement contre la Loi travail et plus généralement contre la politique de Macron est minoritaire lorsque toutes les enquêtes d’opinion confirment au contraire leur rejet massif par une majorité de la population. Chaque jour on peut mesurer les dégâts que cette loi va provoquer si elle était appliquée. Même les  dispositions fondamentales pour l’égalité entre les hommes et les femmes sont remises en cause. Alors que les femmes ont des salaires en moyenne inférieurs de 26%, des retraites inférieures de 40%, et occupent à 80% les postes à temps partiels, les ordonnances Macron vont contre la réduction de ces inégalités. Les indemnités pour licenciement d’une femme enceinte sont réduits; les congés familiaux pourront être négociés à la baisse dans chaque entreprise et les CHSCT n’auront plus l’obligation de négocier chaque année sur l’égalité professionnelle.

Pas étonnant alors et malgré le matraquage médiatique qu’aujourd’hui seulement un tiers des français soutient la Loi travail; tandis que 68% pensent à juste titre qu’elle va favoriser les licenciements et accroître la précarité. Ils sont aussi majoritaires pour penser que les choix de Macron en matière économique favorisent les catégories très aisées de la population. Au plan syndical, de nombreuses organisations FO, CFDT ou UNSA rejoignent la mobilisation malgré les blocages et même les intimidations de leurs confédérations. On le voit dans les transports routiers ou à la SNCF ou les appels à la grève sont très larges et unitaires. Le 28 septembre avec les retraités, mobilisons nous contre la hausse de la CSG. Le 10 octobre et c’est une 1ere depuis plus de 10 ans, tous les syndicats de la fonction publique appellent à la grève contre la baisse du pouvoir d’achat et tout un arsenal de mesures régressives contre les 5 millions de salariés du public ; mais aussi contre les coupes budgétaires  nécessaires pour le fonctionnement de nos services publics.

Non M Macron quoi que vous disiez vous n’avez pas reçu de mandat populaire pour détruire nos règles sociales ni transformer le pays sur le modèle libéral. La France n’est pas une start-up !!

Ce n’est pas en remettant en cause les syndicats et les droits collectifs des salariés, ni en baissant les salaires , les indemnités chômage et les retraites que le chômage va baisser. Au contraire et tous les organismes économiques et institutionnels en conviennent;  pour faire baisser le chômage il faut s’attaquer au pouvoir de la Finance et augmenter les salaires qui portent l’essentiel de la consommation et donc de la croissance.

La Loi travail comme les exonérations massives et coûteuses de cotisations patronales faites depuis plus de 30 ans sont inefficaces sur l’emploi; Si en plus Macron siphonne les budgets publics par la baisse de l’impôt sur la fortune  des grandes entreprises ou la quasi disparition pour les collectivités locales des recettes de la taxe d’habitation, le pays court à sa perte.

Même si le gouvernement affiche une fermeté quasi provocatrice voir méprisante contre nos revendications sociales, il craint énormément la contestation sociale. Alors qu’il annonçait la fin des emplois aidés, la mobilisation contre cette décision scandaleuse l’a fait reculer et les suppressions d’emplois aidés sont beaucoup moins nombreuses qu’annoncées. Pareil pour la baisse des APL. Le gouvernement est obligé de manœuvrer tant cette mesure soulève l’indignation et met clairement en lumière ses choix politiques envers les plus aisés.

Ces 2 exemples montrent que lorsque la mobilisation et les luttes s’organisent le gouvernement est à l’écoute ou du moins est obligé d’apporter des réponses. Ce n’est pas un hasard non plus si les syndicats de routiers sont reçus à Paris de peur d’un blocage la semaine prochaine.

Il faut donc multiplier les conflits et les luttes pour l’emploi et les salaires  pour nourrir le mouvement de résistance et alimenter le foyer de la contestation sociale.

Je salue la présence dans la manifestation de Bastia de salariés de l’ADMR qui vivent avec de très faibles salaires qui ont le plus grand mal à faire respecter leur convention collective et qui savent très bien que sans cette protection que la loi travail veut faire sauter, c’est la porte ouverte au pire en matière sociale.

Pareil pour les salariés des TPE. Suite aux élections de décembre dernier, des commissions paritaires employeurs/salariés sont installées dans chaque région. En Corse elles concernent environ 30 000 salariés. A quoi bon les mettre en place si chaque TPE pourra déroger au code du travail suite à la signature d’un seul salarié choisi de plus par l’employeur. La CGT proposera notamment lors de la prochaine réunion, que la commission paritaire Corse ait un regard et un avis sur tous les accords qui concerneraient les TPE imposés sur l’île? Il est scandaleux de précariser toujours plus l’emploi en Corse alors que nous explosons le nombre de travailleurs pauvres.

Vous le voyez bien chaque jour; les Corses comme l’ensemble des citoyens du pays et en Europe aspirent à des mesures sociales fortes. Ne croyez pas Macron et sa clique qui prétendent pouvoir redresser le pays en exigeant toujours des sacrifices pour les plus faibles.

Pas plus, ne pas croire alors que la campagne pour les territoriales  va s’amplifier, que les questions institutionnelles vont régler les problèmes urgents de logement, d’accès aux soins ou d’emploi. Déjà avec la collectivité unique que certains appellent de leurs vœux, des regroupements de services et des dizaines de suppressions d’emplois sont dans les tuyaux. Avec Macron, le patronat Corse rêve de pouvoir définir un SMIC par Région; ce qu’une évolution institutionnelle pour la Corse pourrait accélérer et imposer avec un salaire minimum Corse à moins de 1000 euros.

Alors comme on dit à chaque fois on lâche rien et on le fait. Et je terminerai par cette phrase que les salariées de l’ADMR ont écrite sur la banderole devant moi.

«Quand l’injustice devient une loi la résistance est un devoir». Alors oui on résiste et on se mobilise.

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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 11:47

20 septembre nouvelle année juive ,22 septembre nouvelle année musulmane .

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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 07:59

 

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21 septembre 2017 4 21 /09 /septembre /2017 06:25
CODE DU TRAVAIL AVANT ET APRES
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20 septembre 2017 3 20 /09 /septembre /2017 16:59
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20 septembre 2017 3 20 /09 /septembre /2017 14:51

Ordonnances Macron, uberisation, baisse des APL, hausse de la CSG…

Sécurisons les travailleurs,
pas les actionnaires !

 

Après la réussite de la journée du 12 septembre (400.000 participants)
et une très belle fête de l’Humanité (550.000 participants), amplifions
la mobilisation ! 8,5 millions de pauvres (+800.000 en 4 ans), 12 millions de personnes fragilisées par leur logement, 10 millions de personnes au chômage ou en situation de sous-emploi… Dans une telle situation la politique d’Emmanuel Macron est indécente et inacceptable, qu’il s’agisse de la baisse de 5 euros de l’APL, de la nouvelle loi travail qui va faciliter les licenciements et dégrader les conditions de travail ou de la réforme de l’ISF qui est un cadeau de 3 milliards aux amis du nouveau Président des riches ! Pour les communistes, l’heure est à combattre les mesures gouvernementales et à placer au coeur de l’alternative politique un nouveau projet de sécurité sociale qui repose sur trois piliers : étendre la protection sociale, gagner de nouveaux pouvoirs pour les travailleurs, libérer le travail du coût du capital.

 

Un nouveau projet de sécurité sociale, c’est :

Étendre la protection sociale :


ø Une sécurité d’emploi et de formation pour étendre la sécurité sociale au travail, à l’opposé de l’uberisation voulue par le pouvoir, avec la création d’un service public de l’emploi, profondément transformé, garantissant les revenus et les droits de chacun-e. Ce ne sont pas les actionnaires qu’il faut sécuriser mais les travailleurs, salariés comme indépendants!

ø La défense et le développement de la sécurité sociale avec la généralisation progressive de la prise en charge à 100 % pour tous les soins.


ø Le développement des services publics, notamment des transports, de l’éducation, de la santé, de la culture. Cela suppose de remettre en cause l’austérité budgétaire et de mettre fin aux baisses de dotations aux collectivités locales.


Gagner de nouveaux pouvoirs dans nos entreprises

pour en finir avec la toute puissance patronale qui ne vise qu’à augmenter
la rentabilité de la production pour augmenter le profit des actionnaires.
Nous voulons lui opposer un partage du pouvoir par les travailleurs dans de nouvelles coopératives de travail utiles aux besoins humains et à la protection de la planète.


Libérer le travail du coût du capital

c’est à dire des intérêts payés aux banques et des dividendes versés aux actionnaires. Ce n’est plus possible de laisser aux grandes banques privées un droit de vie ou de mort sur nous-mêmes ou les entreprises du pays ! Pour financer la réponse aux besoins humains, nous voulons des banques publiques au service de nos besoins, du développement de l’emploi de qualité et de projets écologiques.

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20 septembre 2017 3 20 /09 /septembre /2017 14:14
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